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| papipoete
12/11/2025
trouve l'écriture
convenable
et
n'aime pas
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prose
L'an 1000 avant, l'an moins 10000, les galaxies, Darwin et Copernick dans un checker ; vous secouez le tout en y mêlant quatre vents ( les sentinelles ) et des diamants de jaspe. Si la mixture prend, regardez vers les galaxies dans un vide sidéral... j'ai mal à la tête ! NB mon dieu, que le vent qui souffle sur les feuilles mortes, fait ployer les peupliers, et malmène les parapluies...est loin ! ce texte s'adresse-t-il au commun des mortels ? moi, j'aime bien l'entendre siffler, voir hanter la cheminée ; mais ces quatre-là malmènent mes neurones, de violente façon ! Comme je le dis toujours, il se trouvera un lectorat, qui fera des oh, des ah et tant mieux pour eux... papipoète |
| Robot
15/11/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Même si le propos est dans le thème du concours, je vois dans ces lignes une prose trop réaliste et descriptive pour y déceler suffisamment de poésie. Plus récit que poème j'ai plutôt parcouru un conte ou une légende.
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| Donaldo75
21/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Je ne suis pas super convaincu de la catégorie "poésie en prose" proposée ici mais je reconnais à ce texte toutes les caractéristiques du récit poétique. Et c'est même réussi. Dans le cadre de ce concours, c'est une contribution intéressante.
Et la lumière ne fut plus ! J'aime bien ce renversement narratif, du très brutal après une narration soignée et impactante. Il y a une manière de raconter qui rappelle le vieux sage au milieu du village. Merci pour le partage. |
| Provencao
4/12/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour,
Au-delà de ce doux murmure des quatre vents qui éblouit, votre poésie nous enseigne la communauté des anges et la puissance de la légende. J'aime beaucoup ce versant que vous avez choisi pour ce concours. |
| RaMor
4/12/2025
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Bonjour,
L’ambition cosmique et le registre mythologique sont assumés et donnent un souffle ample au texte. Cependant, l’accumulation d’images dans un même champ lexical finit par uniformiser l’effet : la prose illustre beaucoup mais surprend peu. J’aurais aimé davantage de tension ou de rupture pour dépasser le descriptif et laisser surgir du poétique. Cdlt |
| Albertus
4/12/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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C'est un beau texte mais qui décrit plutôt l'avenir d'un univers qui se mettrait à rebrousser chemin après une période d'expansion et qui ferait disparaître lors de cet effondrement tout ce qu'il a créé depuis son origine, y compris la lumière. Je n'y vois pas vraiment un récit poetique sur le vent. En effet, même si on remplace l'expression "les quatre vents" dans le texte par "les quatre éléments", cela ne modifierait le récit que de façon marginale. Les seules autres références au vent sont le tourbillon et le cyclone qui ne sont ni vent d'Est, ni vent du Sud, ni vent d'Ouest, ni vent du Nord.
De fait il y a deux chansons qui me viennent à l'esprit en lisant votre texte : L'un c'est "Le plat pays" de Jacques Brel, qui évoque bel et bien les quatre vents individuellement à raison d'un par strophe, même si les vents ne constituent pas le thème central de la chanson. L'autre, c'est la chanson "Hard Rock Hallelujah" que le groupe Lordi présenta à l'Eurovision 2006 pour la Finlande, alors que beaucoup considéraient que ce numéro n'aurait même pas dû être sélectionné puisqu'il s'agissait plus d'un spectacle [de monstres] que d'une chanson. Mais chanson avec laquelle le groupe a quand-même remporté le concours Eurovision. |
| A2L9
4/12/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
n'aime pas
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S'il n'y avait rien, que serait ce rien ? Rien n'existe pas tant qu'il y a des êtres humains.
Dans votre histoire, les 4 vents reprennent, ils étaient même impatients, s'avaleront ils eux-mêmes ? Alors vite, un dernier poème et une dernière musique, des feuilles et des fleurs, les animaux, une dernière pensée apaisée, hop vide |




