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| Provencao
11/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J'ai bien aimé cette vibration presque médiatrice entre la terre et le ciel, entre ombres et nuances.
Mon passage préféré : "Les espérances renaîtront quand les orages auront lavé les humeurs froides de l’hiver ; Avec les bises du printemps et les douces brises d’été." Bon courage pour le concours. |
| papipoete
11/11/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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libre
Une déclinaison des vents lors de ces saisons de fin d'année, où le vague à l'âme, les espérances, la tristesse au linceul blanc, s'emparent de notre esprit. Il faudra attendre les bises d'un Printemps nouveau, venant sécher les humeurs froides de l'Hiver, faisant une révérence à l'Eté - nous vous attendions... NB quand les éléments agissent sur la nature végétale, et ricochent sur la nôtre qu'ils font - gaie, morose, désenchantée, et bientôt ragaillardie face à demain. chaque version venteuse est ici peinte avec talent, et ses images tantôt sages, furieuses, et plus douces que velours. Aucune d'elles n'a la couleur de monstre destructeur, sévissant loin de France et semblent vouloir se faire pardonner, d'avoir outre-mer de si affreux cousins ! c'est pourtant la 3e strophe sombre, qui a ma préférence ! papipoète |
| Lebarde
12/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un vent pour chacun des mois de l'automne qui "emporte au loin /les rêves comme feuilles mortes", "où les espoirs/redeviennent des illusions", "pour nous rappeler que la vie /n’est qu’un instant, avant la mort."
Beaucoup de tristesse, de douceur et de poésie dans ces vers fluides qui se prêtent bien à la saison. "Les espérances renaîtront...Avec les bises du printemps / et les douces brises d’été." J'aime bien l'atmosphère qui se dégage de ce poème sur "Les vents d’illusions et d’espoirs" et le ton de l'écriture qui utilise avec sobriété des mots simples. bonne chance pour la suite. En EL |
| Cyrill
19/11/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Rien à reprocher vraiment à ce poème, mais je dois dire qu’il ne m’a pas touché durablement. La boucle qu’il forme le ferme sur lui-même sans que les vents le traversant n’ait eu à m’apporter quelque chose de bien original. Du coup je le trouve plutôt reposant, fluide et agréable pour tout dire mais presque trop confortable, avec des images pour la plupart attendues. C’est un peu l’écueil du thème proposé.
Merci pour la lecture. |
| Donaldo75
19/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J'ai bien aimé ce poème, surtout dans le cadre de ce concours de poésie sur Oniris. Il tient de la composition appliquée mais tonale, un peu triste mais réussie.
La concours continue avec des textes de qualité. Merci pour la partage. |
| Boutet
3/12/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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J'aime beaucoup ce poeme libre qui déploie une belle progression des saisons pour traduire le passage des émotions humaines, mêlant mélancolie et renouveau. Le thème du concours est bien évidemment respecté
Le vent de décembre en colère porte les bourrasques de neige afin de poser son linceul, pour nous rappeler que la vie n’est qu’un instant, avant la mort. Ce passage a ma préférence. |
| A2L9
3/12/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Les vents sont des passages.
Parfois, ils nous donnent la main et puis il disparaissent nous laissant penaud. Nulle colère car la vie c'est la mort à chaque instant, des passages. Faut-il pour cela préférer les douces saisons lorsqu'ils semblent complices ? Les vents sont des mouvements, des magiciens de mort et de vie, des espoirs et des désillusions. Votre poème fait tourner la boussole des vents. |
| AntoninMartaud
4/12/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Bonjour !
Ce texte est de toute évidence abouti, construit et travaillé. La boucle des vents automnaux est clair, on passe d'octobre furibond, au novembre désespérant pour arriver enfin sur un décembre, qui bien "qu'en colère" est en réalité surtout lucidement dépressif sur la condition des êtres vivants. C'est d'ailleurs cette strophe qui a ma préférence, même si la dernière est également sympathique, ramenant, comme une chute, un petit peu d'optimisme dans un texte qui serait sinon bien maussade... Reste donc à parcourir l'hiver, nous ne sommes qu'encore à l'automne ! Le vers libre est maîtrisé, avec des strophes mélodiques et de logueur semblable, des vers relativement courts et donc une forme d'équilibre rythmique et prosodique. Cela dit, bien que maîtrisé, ce poème m'a semblé bien convenu... Les allitérations en v et f pour le chuintement du vent et en "r" pour marquer le roulis et le grondement sont assez classiques et je crois qu'elles seront présentes dans la plupart des textes du concours. Ce n'est bien sûr pas un mal, cela est parfaitement dans le thème. Mais après cette lecture, je ne crois pas retenir grand chose, presque aucun vers ne m'a surpris, si ce n'est "venu rabattre le grésil", qui m'a semblé être plus singulier. En fait, je crois que je trouve le texte un peu "sage" et presque scolaire. Les saisons qui renvoient au cycle de la vie humaine, la neige comme linceul, le brouillard des illusions... Ce ne sont pas des images d'une inventivité folle. Le texte semble écrit pour le concours, parce qu'il fallait parler du vent et donc tout le vocabulaire est météorologique ou presque, ce qui rend le tout assez homogène et plat. C'est à la fois une force (parce que cohérent) et une faiblesse (parce que quelque peu monotone). Cela plaira sans doute à un public, mais je crois que ce n'est pas réellement à mon goût, même si c'est très bien réalisé et donc il s'agit plus d'une sensibilité personnelle que d'une critique formelle. J'espère que vous ne prendrez pas ombrage de cette critique, cela reste un poème solide et cohérent, mais classique et tout en retenue, ce qui limite son impact en ce qui me concerne... J'aurais sans doute apprécié plus d'aspérités ! Au plaisir de vous relire ! |
| RaMor
4/12/2025
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Bonjour,
J’ai apprécié la fluidité du texte et la construction en cycle saisonnier. Le thème du concours est respecté sans ambiguïté. Cependant, les images restent dans un registre très traditionnel (automne mélancolique, hiver gris, retour du printemps) si bien que rien ne vient me surprendre. Le vent est surtout décrit, rarement utilisé comme force poétique. Un peu plus d’audace dans les métaphores offrirait sans doute un relief plus personnel. Cdlt |




