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Poésie libre
Vincente : Ô compagne [concours]
 Publié le 30/03/23  -  7 commentaires  -  1006 caractères  -  191 lectures    Autres textes du même auteur


Ô compagne [concours]



Ce texte est une participation au concours n°33 : L'ombre et la lumière
(informations sur ce concours).





Très chère amoureuse
tu m'accompagnes discrète dévouée

tu m'épouses à volonté
aimes même m'envelopper jusqu'à me difformer
me redessiner à grands traits

par toi je me sens exister
je nous sais ainsi excités

j'aime beaucoup
ta plastique coulée
si élastique
qui m'embrasse goulûment
quand tu te fonds dans mes anfractuosités

je te reconnais me révéler

pourtant souvent
je te crains

quand tu m'emportes dans l'état d'urgence qui nous atterre
et au plus terne nous disparaît
ainsi dans l'éphémère tu m'abandonnes
sans grâce tu m'effaces moi pauvre trace

alors sans même l'ombre de mon ombre
s'évide mon évidence


 
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Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Lebarde   
30/3/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
Je cherche en vain dans ce texte simpliste, aux propos puérils et peu compréhensibles: « j’aime beaucoup/ta plastique coulée/ élastique «  ou «  quand tu nous emportes dans l’état d’urgence qui nous atterre «? , un rapport même lointain avec le thème du concours et l’occasion de m’enthousiasmer.
Désolé de ne pas vous suivre sur ce coup là.
Une autre fois peut-être.

Lebarde

   Anonyme   
30/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
C'est curieux, quand j'ai lu votre poème en Espace Lecture il m'est apparu clairement que la compagne en question était la solitude du narrateur, et je ne retrouve pas cette évidence en relisant ici ; ou alors je confonds avec un autre poème.
Si je demeure sur cette interprétation, elle me semble tenir la route (je pense aussi à la dépression), et j'aime assez que cette compagne soit présentée comme active, indépendante du narrateur et non une émanation de son être. Elle l'aime, le recherche, je trouve que c'est correctement dit, sans trop d'effets de manches sauf là :
par toi je me sens exister
je nous sais ainsi excités
et dans une moindre mesure là :
alors sans même l'ombre de mon ombre
s'évide mon évidence
où les jeux sur les sonorités me sont trop visibles, si je puis dire.
Mais j'apprécie que le champ lexical, de bout en bout, soit simple voire quotidien : on parle bien de la difficulté d'être de tous les jours, vécue par un être humain à qui je peux m'identifier, non une espèce de héros romantique qui s'émerveille de sa souffrance à nulle autre pareille.

   Myo   
30/3/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
J'avoue ne pas tout saisir...

Il y a une tentative de jeu de sons mais le sens se disperse.
Et l'envoi ne m'éclaire pas davantage
Désolée, je n'accroche pas.

Myo

   Robot   
30/3/2023
Ou sont les passages qui parle d'un contraste ombre et ou lumière ? Mettre ombre dans le dernier vers pour supposer être dans le thème ne me suffit pas.
Et comme je considère que ce texte ne répond pas aux espérances que j'attendais dans le cadre du concours je me contenterai de dire qu'il est correctement rédigé, mais je ne porterai pas d'autres appréciations sur le fond et sur la forme.

   Provencao   
30/3/2023
Je suis désolée, mais je n'ai pas trouvé le lien avec la consigne demandée.

Très belle écriture, par ailleurs, c'est fortement dommage....

Une autre fois, vous lire...

Au plaisir de vous lire
Cordialement

   Donaldo75   
30/3/2023
J’ai l’impression de ne pas être le seul à ne pas avoir compris ce texte, au-delà même de la thématique du concours. Le second tercet m’embrouille la lecture et la suite ne s’éclaircit pas. Pourtant, la strophe centrale avec la « plastique coulée si élastique » porte quelque chose, une tonalité que je retrouve par-ci par-là dans le poème. Les deux derniers vers retombent dans les travers de ce texte où des formulations artificielles – « je te reconnais me révéler » celle-là m’a frappé même si elle porte probablement du sens mais reste mal surréaliste – cassent la petite musique de l’ensemble.

C’est dommage parce qu’il y a un potentiel, un ton.

   Errances   
7/4/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
Je ne vais pas révolutionner le palais des glaces, gelato al limon.
Ma lecture a navigué dans un flou.
Flou du respect du concours aussi. Je m'interroge. Que l'on m'éclaire !
S'il y a des idées le choix des mots est étrange ? Perfectible ?
La si élastique plastique coulée, ne fonctionne pas. Pas d'euphorie dans cet amour qui se ternie.
Ni rage ni emphase. Morne plaine.
Aimez à fond et mourrez dans les affres d'un amour perdu, dégainez les mots qui transpercent. Vivez !


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