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| papipoete
5/11/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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classique
je m'en vais vous parler du vent ; le vent d'ici et de là-bas ; celui qui épouvante quand un autre nous rassure ; celui qu'on attend avec impatience, pour faire avancer le bateau ; celui qu'on maudit alors qu'un incendie fait rage...et celui que je souffle dans ton cou, mon Amour. NB qu'en termes poétiques tous ces vents, nous viennent sous les yeux, même les furieux mais mon préféré est celui de la dernière ligne. un poème dont je pense que l'auteur manie le Classique sans difficulté, tant chaque alexandrin semble couler comme une eau limpide. ce poème me plaît beaucoup ! papipoète |
| Provencao
8/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Des vents humains à caractère différent qui font frissonner et celà ne s'oublie pas
Bon courage pour le concours. |
| Robot
10/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Trés beau texte classique dont sourd une poésie riche en rime et en vocabulaire déclinée en fonction des vents évoqués.
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| Donaldo75
13/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J'ai vraiment bien aimé ce poème dont la lecture a été rythmée par des vers bien agencés. Le thème du concours est décliné avec foison et le champ lexical résonne dans mes oreilles comme une jolie musique. C'est une réussite.
Bravo ! |
| Cyrill
13/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Un poème maillé d’une jolie rime tierce et orné d’un vocabulaire séduisant : haubans, drisses, estran, ainsi que tous les poétiques noms de vents.
Son biais d’énumération a tendance tout de même à casser l’ambiance, dommage. M’ont semblé trop neutres, peu chargées en émotion des formules telles que : « éloigner les nuages », « rarement sans encombre » (j’entends un météorologue), ou encore « en créant des mirages » (lesquels ? Exposez-les ) ou « capable d’étonner » (oui mais vous, poète, vous étonne-t-il, ce vent, et de quelle façon ? Dommage de rester dans la généralité spéculative). Heureusement, l'intime réussit à poindre dans les derniers vers. |
| Cristale
27/11/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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L'auteur(e) nous fait grâce des vents destructeurs pour nous offrir une palette colorée qui décoiffe, ou caresse et toujours en mouvement sur des vers fluides et musicaux.
À l'origine la terza rima s'écrivait en hendécasyllabes, un mètre dont les plus grands ont laissé de magnifiques pièces. Aujourd'hui l'alexandrin semble avoir... le vent en poupe pour cette jolie forme. L'écriture soignée de ce poème n'est pas sans me rappeler le mouvement ondulatoire du vent, qu'il soit doux ou virulent. Le dernier vers, avec son "je" qui se dévoile enfin, offre au lecteur une chute romantique inattendue et bienvenue. Ma notation s'en souviendra. Bonne chance pour le concours ! |
| Roxanne
27/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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J'ai toujours du mal avec ce type d'inventaire qui donne souvent l'impression d'une énumération pédagogique sans autre cohérence qu'elle-même
mais le travail sur la forme et la versification sont de qualité et surtout le dernier tercet grâce au renvoi clôt d'un joli clin d'œil intimiste cette proposition que l'on aurait aimé parcourue du même souffle. Roxanne |




