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Poésie classique
Cristale : La promesse [Sélection GL]
 Publié le 19/07/23  -  20 commentaires  -  958 caractères  -  768 lectures    Autres textes du même auteur


La promesse [Sélection GL]



La montre égraine l’heure et moi j’attends l’aurore
Dans un rayon de lune espérant du sommeil
Le refuge idéal, à nul autre pareil
Où, d’un fantasme exquis, mon rêve s’évapore
À travers les volets pour vivre en plein soleil.

Le temps s’est alangui sous mes saisons décloses.
L’amour existe-t-il ? Vraiment, je ne sais pas ;
Je vogue à contre flots sans sextant ni compas
Sur la mer du plaisir aux mille apothéoses.

Je dois me raisonner, la nuit porte conseil.
Fébrile entre mes draps, mon corps exprime encore
Un désir pour cet homme et son sceptre vermeil ;
Les yeux fermés je songe, à l’aube du réveil,
À sa peau sur ma peau qu’une clarté mordore.

Adieu bise et froidure, allez donc à grands pas !
L’hiver s’évanouit traînant ses jours moroses ;
De ma fenêtre ouverte, au parfum de mes roses,
Le printemps me promet la fin d’un long trépas.


 
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   Lebarde   
2/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
Un poème classique disparaît à mes yeux en EL avant que j’y mette un commentaire, mais il est remplacé par un autre superbe, que je ne veux surtout pas rater.
Beaucoup de gâteries sont en effet offertes aujourd’hui, un vrai bonheur.
Serait ce le retour de la poésie classique devenue moribonde au fil des jours? Ce serait vraiment super si c’était le cas!

« La promesse », voilà bien l’œuvre d’un poète ou plutôt une poétesse au sommet de son art dont l’écriture, fluide, élégante, charmeuse et charmante, magnifiquement poétique me ravit au plus haut point.
Je note cette petite touche d’érotisme discret et délicat qui pourrait être une signature.
Sur la forme j’ose à peine dire que tout est parfait: le rythme des alexandrins, les rimes, le choix des mots, la simplicité du propos…tout ce que j’aime.

Bravo je suis comblé.

En EL
Lebarde

   Mokhtar   
4/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
Poème très technique, dénotant une maitrise affirmée de l’art prosodique. Le choix de l’alternance de quatrains et de quintils baudelairiens implique un traitement rigoureux de l’alternance des rimes.

Les strophes centrales développent le thème érotique du désir, mais le premier quintil (mon préféré, dès…sa deuxième lecture) et le quatrain final pourraient introduire, ou conclure, un tout autre thème.

Une petite réserve sur la virgule de l’avant-dernier vers, affaiblissant le sens de l’image et le traitement de l’e muet. Cette virgule, je l’aurais mise après « s’évanouit ». Ainsi, on créerait un rythme césure-césure pour les deux premiers vers, pour enchainer sur deux beaux alexandrins « coulant » concluant harmonieusement le poème.

« La fin d’un long trépas » ? Je ne sais pas pourquoi, mais c’est exactement ça que j’ai ressenti en découvrant ce texte, et ce style d’écriture.

Merci. Et Bis ! Promis ?

Mokhtar, en EL

   Ornicar   
4/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
L'impression est bizarre à la première lecture. Quelle est la finalité de ce texte ? Que veut-il nous dire et nous transmettre en fin de course ? Le lecteur que je suis est un peu perdu.

La narratrice elle-même, prise d'insomnie entre "fantasme exquis" et réalité, éprise d'un amant dont on comprend qu'il est absent, le sait-elle seulement ? Voir la deuxième strophe avec sa question existentielle ("l'amour existe-t-il ?"), cette image d'un navire livré à lui-même ("Je vogue à contreflots sans sextant ni compas / Sur la mer du plaisir aux mille apothéoses.") - Voir également la troisième, décrivant le combat que se livrent au milieu de la nuit, la raison et les sens affolés. Sommes-nous au printemps ou en hiver comme le laisse entendre ce vers : "Le temps s'est alangui sous mes saisons décloses" ? On ne sait. A moins que le printemps, ne soit ici que la représentation métaphorique du renouveau de l'amour. Mais question suivante : y a-t-il véritablement une saison pour les amours ?

Tous ces questionnements distilent un trouble, une sensation étrange et diffuse qui s'accordent parfaitement à l'état de confusion mentale dans lequel baigne cette amoureuse. Derrière ses rimes fort sages et parfaitement classiques, ce poème nous dit tout des "tourments" de l'amour, de ses atermoiements et des fluctuations de l'âme. Un poème qui, tout en délicatesse, nous fait pénétrer au coeur de l'intimité véritable. Celle de la pensée. Je le dis sans détour et sans que ce "sceptre vermeil" qui s'invite au douzième vers, s'en trouve offensé.
Je suis sous le charme et conquis.

   Vincent   
19/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
Bonjour Cristale

N'étant qu'un petit parolier et pas du tout littéraire

Je goûte votre texte comme un néophyte différent de tous les membres et d'ailleurs

J' ai pris cependant beaucoup de plaisir à la lecture de ce ce poème d'amour

Et je vous remercie de ce bon moment

   papipoete   
29/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
bonjour petite nouvelle
J'ai fait un rêve, qui pourrait bien se réaliser lorsque le jour se lèvera ?
Je n'ai plus l'age de la chair, et de ses tendres ébats ; je vais me réveiller, sortir de cet Hiver où mes sens engourdis vinrent à tressaillir, me faisant miroiter cet homme " au sceptre vermeil "
Je vais renaître ! la Lune me l'a dit...
NB encore des vers qui vont hanter l'esprit de ceux, chez qui la machine est sur PAUSE, depuis quelques lunes !
Je ne traduis pas ce poème, je l'interprète à ma façon, comme d'habitude " ah, ma belle dame... si vous m'aviez connu au temps de ma verdeur ! aujourd'hui, sous ma ceinture de flanelle, ce ne sont plus l'Etna ou Krakatoa, mais la chaîne des Puits en Auvergne...
Bien sûr qu'immense est ma joie, de retrouver " notre Cristale " que l'Automne avait retenu dans ses nimbes ; et à l'image de ce texte, cela promet de fameux moments de poésie ( classique )... à moins qu'elle vînt à tâter du Libre, ou de la Prose ?
Bienvenue chère Madame !
Je ne sais si cette construction porte un nom ?
la 3e strophe a mes faveurs
je survole la métrique de ces alexandrins, au cas où... mais y'a rien !
édit ce matin la rose illustrant " la promesse "/// cette rose carmin ; quoi de plus beau en notre jardin... à part celle qui sur cette fleur se baisse

   Myndie   
19/7/2023
Bonjour Cristale,

c'est avec une grande joie que je salue ton retour ! C'est un régal de retrouver l'élégance et la malice de ta plume.
Qui donc a écrit un jour que « le but caché de l'Art est de figurer le sens caché des choses ? »

En découvrant ce poème, si je n'avais pas eu l'identité de l'auteur sous les yeux, il me semble que j'aurais pensé à toi. Et pas seulement pour la richesse de tes vers, leur musique époustouflante qui paraît toujours si simplement couler de source ; pas plus pour la perfection classique qui caractérise ton écriture (y a t-il un défaut ? Un défi pour moi et je laisse à d'autres plus calés en la matière, le soin d'en déceler un seul. D'ailleurs, je compte sur toi pour m'éclairer sur cette construction qui intercale une strophe de 5 vers entre les quatrains...)
J'aurais surtout pensé à toi pour ce que je lis entre les lignes et ce que je retrouve en filigrane dans un poème remarquable de rigueur et d'expressivité : la signature Cristale.
Même si le vers 3 semble annoncer la couleur par « un fantasme exquis », je te reconnais l'art consommé – et pervers - de manipuler nos esprits de lecteurs à coup d'images d'un romantisme sublime :
« Le temps s’est alangui sous mes saisons décloses. » ou le dernier quatrain
et j'aime beaucoup celle-ci également :
« Je vogue à contre flots sans sextant ni compas
Sur la mer du plaisir aux mille apothéoses. ».(euh..le sextant est quand même plus suggestif que romantique, non? Ou alors c'est moi la perverse...^-^)

ou à coup de réflexions existentielles sur l'amour.

Et puis non, d'un coup, le suggestif devient explicite et la confidence à demi mots se fait désir clairement exprimé. C'est là qu'intervient cette fameuse 3ème strophe, sans doute ma préférée parce, émouvante sans mièvrerie mais franche et sans froideur.
C'est magnifique.

Myndie
Après ça, qu'est-ce que tu vas bien nous promettre encore ?;)

   Geigei   
19/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
C'est fluide. On ne voit pas le travail.

Pardonnez-moi, mais en fouillant dans les draps (pour me former) j'ai trouvé des rimes en miroir, inversées d'un quatrain à l'autre, d'un quintil à l'autre. C'est magistral !

Respect !

Et merci pour la douceur de chacun de ces mots, la couleur d'une peau et le parfum des roses.

"Sur la mer du plaisir aux mille apothéoses".

Autant de voyages.

   Dimou   
20/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
Bonjour Cristale

Une nouvelle poètesse sur Oniris ces trés bien

Vous devriez contactez les modérateur vous avez fais une faute pendant l'inscription il n'y'a pas de E a Cristal sa s'écrit Cristal pour changer le pseudo

Vous dites votre vie dans le poème et ces emouvent et jolie


"La montre / dans un rayon / espérant du sommeil" : oui moi aussi j'ai travailler en mise en rayon a carrefour et ont regarde la montre souvent parceque ses long et aussi c'est dure comme travaille et ont veut rentrer pour dormire

"mon rêve / les volets" : oui moi j'ai changer mais volets il'y'à pas longtemps mais c'est dure à transporter surtout pour une femme donc il faut vous téléphoner aux installateur de leroy Merlin mais ces 50€ la pause des volet

"Alangui" : la poesie ces bien pour s'exprimez surtout quand ont ses fait enlever la langue pour un concert. Moi je sais pas si je vais avoir un cancert mes je fumes plus j'ai arretez donc je ses pas

"Mon / désir pour / son sceptre / du / mordore" : j'aimes bien le seigneur des anneau aussi ses une passion j'ai lu en BD avec soron dedans mais y a pas de E a mordore mais un T sa s'écrit comme ca mordore

"L'hiver s'évanouit traînant ses jours moroses ;
De ma fenêtre ouverte, au parfum de mes roses," :

Bon vous débutée donc je vous montres comment sais pour être jolie :

L'hiver ces quand la nuit mes rose je les poses
Sous ma fenaitre, mon jardin il sens le parfum des rose

Ces mieux comme même non

On n'ai tous débutant au debut il faut avoir aucune honte a sa


Felissitation pour votre premieres poésie Cristale je ses pas si je vous reverrez bientôt j'espère que je vous reverrez


Vadim


—————————————


Cristale : mes derniers commentaires n'ont pas su trouver leur place sur Oniris et ont depuis été effacés ; si à la lecture de cette rinçure vous vous sentez heurtée, vous trouverez ci-dessous le lien du site internet de la gendarmerie nationale afin de les contacter pour porter plainte contre moi.

https://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/


Bon jeudi

   Provencao   
20/7/2023
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très aboutie
et
aime beaucoup
Bonjour Cristale,

" Le temps s’est alangui sous mes saisons décloses.
L’amour existe-t-il ? Vraiment, je ne sais pas ;
Je vogue à contre flots sans sextant ni compas
Sur la mer du plaisir aux mille apothéoses. "

J'ai beaucoup aimé ce passage où vos mots choisis et précieux font précisément échos de ce temps médiateur permettant à tout amour d’apparaître et peut-être d'exister.

En cette montre égrainant l'heure, l'amour est ce qui ne cesse d’être, ce qui demeure en soi, sauf, intact, intégral: le serment.

Cet amour demeure en lui même, comme parfum des roses et promesse de printemps...

Au plaisir de vous lire
Cordialement

   fanny   
20/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
Nostalgie du mont chauve + temps alangui des saisons decloses = insomnies de la maitresse.

A part qu'au lieu de compter les moutons, elle compte les vers et compose des strophes du meilleur effet qui la guident à grand pas vers la fin du trépas.

C'est un vrai plaisir de vous retrouver Cristale.

   Eki   
20/7/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
Plaisir lascif mêlé de lassitude
Mêler ses regrets aux promesses désirées
Parfois, tout naît de la solitude et s'éclaire
Les roses, source de renouveau de votre éveil à la douceur de vivre

Votre plume butine les mots et vous en faites des bouquets éclatants.

Je vous soupçonne d'avoir la main verte...

Sourire d'Eki

   archibald   
20/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime bien
Et Cristale nous revint, telle qu'en elle-même. Nul ne s'en plaindrait. Un rondeau redoublé aux rimes savamment agencées qui témoigne une fois encore de la culture et de la technique de l'auteure. Elle sait ce que je pense de sa thématique favorite, mais c'est sa marque de fabrique et elle emporte tous les suffrages (ce qu'ils peuvent être fleur bleue ces oniriens!). Elle continuera donc de cheminer sous une pluie de plumes, jusqu'à retrouver sa position suprématique dans le palmarès des meilleurs auteurs. Et ce sera bien mérité.
Je retiens le « sceptre vermeil » qui s'ajoute à sa collection de métaphores sur l'objet de tous ses désirs, et j'acquiesce à la proposition de Mokhtar quant à la ponctuation de l'avant-dernier vers.

   Malitorne   
21/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime bien
Je suis heureux de vous voir revenir du purgatoire Cristale, vous nous avez manqué. Pour votre retour vous avez choisi votre thème de prédilection, de l’érotisme haut de gamme, cette fois-ci mâtiné d’une réflexion émouvante sur l’attente. C’est bien écrit comme d’habitude, n’y connaissant rien j’imagine dans les parfaites règles de l’art. Le « sceptre vermeil », par contre, m’apparaît très précieux, peu original car mille fois employé et pour tout dire presque ridicule. À vouloir trop magnifier la chair on en fait un ersatz grotesque, mais nous sommes en classique, de l’élégance avant toute chose ! La poésie libre ou contemporaine aurait sans doute sorti une « bite » de dessous les fagots, la différence est là.

   pieralun   
20/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
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aime beaucoup
Le retour de Cristale !
Oniris a tout à y gagner, et moi je suis content.

Un très beau poème, très féminin.
Une écriture tout en douceur, fluide, rythmée.
Une simplicité qui rend le le tout poetique.
J’aime.

   Cristale   
21/7/2023

   leni   
24/7/2023
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très aboutie
et
aime beaucoup
ce texte au style abouti me plait à coeur la plume de Cristale que je connais après longtemps d'absence m'empoigne comme hier
JOLI leni gaston ligny

   jfmoods   
27/7/2023
Un jeu appuyé de contrastes permet de fixer le point de basculement du poème en son centre. Au "sommeil" du vers 2 répond ainsi le "réveil" du vers 17, aux "saisons décloses" du vers 6 les deux personnifications des vers 20 et 24 ("L'hiver s'évanouit traînant ses jours moroses", "Le printemps me promet la fin d'un long trépas"). Le passage de l'obscurité à la lumière va ainsi servir de révélateur, redonner un cap à celle qui a perdu la maîtrise de son existence (constructions négatives : "je ne sais pas", "sans sextant ni compas"), s'enferre dans les redites d'un bonheur envolé (métaphore agrémentée d'une hyperbole : "la mer du plaisir aux mille apothéoses").

Il est bien difficile toutefois de s'extraire de l'univers fantasmatique qui consacra un amour (modalisation : "Je dois me raisonner"), fixa les termes d'une parfaite concorde ("sa peau sur ma peau qu'une clarté mordore"), bien difficile de se relever d'un aussi glorieux règne (métaphore : "son sceptre vermeil").

Merci pour ce partage !

   Miguel   
27/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
J'arrive avec un peu de retard, et je me permets de saluer le retour de Cristale, heureuse surprise.
S'il y a là une forme fixe je ne la connais pas. Mais le poème est superbe, les vers musicaux à souhait, tout est maîtrisé. Les images sont fortes, et on admirera la métaphore du sceptre vermeil, vibrant hommage à la virilité. Quel souverain !
La sensualité du texte est soulignée par la puissance de l'expression. Un beau travail. Bravo

   Donaldo75   
29/7/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
Un poème franchement réussi ; il montre une maitrise de la prosodie classique et une science de la versification. La rime est picturale, au sens des couleurs, comme dans un tableau dont le motif ne serait qu’une dimension parmi d’autres mais sans laquelle il ne prendrait pas tout son sens. C’est un peu ce qui caractérise les tableaux de William Turner et c’est ce que j’essaie d’exprimer par cette analogie avec un autre art que la poésie.

   Quidonc   
29/7/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
Ce poème exprime un sentiment mélancolique et introspectif lié à l'attente, l'espoir, et l'amour. La narratrice est en proie à ses propres émotions complexes, évoquant des doutes concernant l'existence de l'amour ("L'amour existe-t-il ? Vraiment, je ne sais pas") tout en étant attiré par l'idée d'une relation passionnée avec une personne spécifique ("Un désir pour cet homme et son sceptre vermeil").

La narratrice attend l'aurore avec impatience, espérant un rêve où il pourrait échapper à ses tourments et à ses doutes. Le passage du temps et des saisons est également évoqué, symbolisant peut-être l'évolution des émotions du narratrice et l'attente d'un nouveau départ.

La dualité des émotions est palpable tout au long du poème, avec des sentiments contradictoires de désir, d'incertitude et de mélancolie. La narratrice lutte entre ses désirs profonds et ses craintes, cherchant à se raisonner tout en étant submergé par ses émois intérieurs.

L'image du printemps qui promet la fin d'un long trépas peut être interprétée comme l'espoir d'un renouveau et d'une guérison émotionnelle, alors qu’elle fait face à l'incertitude et aux défis de son amour.
Merci pour cette lecture


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