Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie libre
driley : Le compromis politique
 Publié le 18/11/21  -  11 commentaires  -  636 caractères  -  188 lectures    Autres textes du même auteur

Ceci est un petit poème que j'ai écrit quand les mots sont spontanément entrés dans mon esprit.


Le compromis politique



Hier soir, j’ai vu, en regardant la télévision,
Que l'armée a tué six enfants avec ses drones,
Puis, quelqu’un, c'était peut-être un général,
A dit qu’ils étaient des victimes accidentelles.

Je pensais que ce n'était pas juste.

Mais aujourd’hui on me dit que ces choses se passent parfois,
Que j’ai le cœur bon mais que je suis un peu trop idéaliste,
Qu’il n’est pas possible de changer tout à la même fois,
Qu’il faut trouver un compromis, qu’il faut être plus réaliste,

Mais je pensais encore,
« Combien d’enfants, diriez vous,
Serait-il bien de tuer ? »


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Lebarde   
9/11/2021
 a aimé ce texte 
Pas ↓
Sans doute l'idée est de dénoncer: l'armée, le force publique, les gouvernants?
Oui sans doute quelque chose comme çà. Un sujet comme un autre qui pourrait être développé, pourquoi pas.
Oui mais il faudrait y mettre la manière que je ne trouve guère ici.

Des arguments sans envergure, une syntaxe lourde, une prosodie sans rythme, une ponctuation aléatoire ....
Il y a bien les rimes bien correctes, de la deuxième strophe mais est-ce suffisant pour faire une poésie?

Vraiment désolé et qu'il est difficile de dire qu'on n'aime pas.
Ne m'en veuillez surtout pour mon commentaire abrupt mais vous pouvez certainement faire beaucoup mieux en prenant un peu plus de temps à la rédaction.

En EL

Lebarde

   Miguel   
10/11/2021
 a aimé ce texte 
Bien
On sent que le français n'est pas la langue maternelle de l'auteur. Aussi peut-on louer son courage de se lancer dans l'écriture d'un poème. Encore un effort et ce sera bien maîtrisé. Pour le reste, dans toutes les langues la poésie repose sur l'image, la métaphore, toutes ces figures de style qui sortent du langage "standard" . Ici, on est encore un peu trop dans l'explication. Cela manque un peu de lyrisme. Mais la dénonciation de la guerre vaut toutes les figures de style.

   cherbiacuespe   
11/11/2021
 a aimé ce texte 
Pas
Le pitch d'introduction l'explique, mais là, pour moi, ce n'est clairement pas de la poésie, même libre.

Le ton n'y est pas. Dès les deux premières phrases j'ai eu l'impression d'être dans une rédaction et je me suis demandé pourquoi revenir à la ligne. Je ne parle pas du fond et ne le jugerait pas car conditionné par la forme. Une fois écrit, ces quelques mots sous le coup de l'émotion, je comprends bien, il aurait fallu attendre un peu et le reprendre, le travailler, y mettre d'autres mots, d'autres formulations, des images, de la passion. En l'état, c'est un peu plat et monocorde. Dommage.

Cherbi Acuéspè
En EL

   Cyrill   
11/11/2021
 a aimé ce texte 
Beaucoup
On devine bien dès l’exergue, avec la jolie féminisation de poème «une petite poème » et à quelques expressions au fil du texte, une maîtrise incomplète de la langue par l’auteur. C’est cependant ce qui donne de la fraîcheur et un côté enfantin à ce poème pour lequel je craque. Il exprime une révolte totale contre ces dommages collatéraux qu’on est sensés accepter sans moufter.
Il y a une exposition des fait dans le premier quatrain, puis la position de l’auteur qui se confronte au réalisme et à la compromission, et qui sans concession choisit son camp avec ces trois vers si émouvants, avec lequel je ne puis qu’être en empathie :

Mais je pensais encore,
«Combien des enfants, diriez vous,
Serait-il bien de tuer?»

On peut le dire, de façon maîtrisée ou maladroitement, dans n’importe quelle langue, avec ou sans connaissance des tenants et aboutissants de telle ou telle guerre, c’est toujours le même cri. Et ça fait du bien.

   Vincent   
18/11/2021
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bonjour

Vous expliquez là avec votre poésie

ces dommages collatéraux des femmes et des enfants

je ne sais si vous parlez de l'occident et en particulier de la France

mais j'abonde dans votre sens on ne parle toujours que du terrorisme mais jamais des enfants tués par les bombardements

merci de le rappeler

   papipoete   
18/11/2021
 a aimé ce texte 
Pas
bonjour driley
les jours se suivent et ne se ressemblent pas ; hier, nous découvrîmes le premier texte d'un apprenti onirien, dont la prose était dentelle resplendissante...là, je lis un article certes dramatique, mais à l'aspect poétique bien pâle !
NB il ne suffit pas d'évoquer la guerre et ses horreurs, d'en faire une remarque personnelle, pour qu'elle relève d'une performance poétique !
Cela me coûte d'écrire ce reproche, moi à qui cela arrive de produire un " devoir " de français au niveau bien scolaire...
mais cher poète, ne vous découragez pas !

   Marite   
18/11/2021
 a aimé ce texte 
Pas
Poésie libre ??? Ce texte, découpé à l'emporte-pièce pour se donner une allure de poème aurait été davantage à sa place dans la catégorie "Réflexion/Dissertations". On en termine la lecture sans ressentir une quelconque émotion ...

   Anonyme   
19/11/2021
Modéré : Commentaire hors-charte (se référer au paragraphe 6 de la charte ; en particulier ici une remise en cause des choix du CE).

   hersen   
18/11/2021
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Voici un poème qui évoque ce dont nous parlons rarement ici, pour ne pas dire jamais. Les victimes collatérales. Elles sont les oubliées de l'Histoire.
Il y a un beau contraste entre celui qui est assis devant sa télé, qui gobe tout, et cette petite lumière de la fin, cette question qui semble naïve, presque enfantine.

Oui, combien ?

La question cruciale, celle à laquelle jamais nous ne répondrons. Des "intérêts" (trop ?) haut placés empêchent la réponse.

Ce que j'aime beaucoup : un ton a l'air de ne pas y toucher, faussement naîf.
Ce que j'aime moins :le vers esseulé est une bonne idée, mais il n'est pas très percutant. A la place de l'auteur, je m'y repencherais.

J'encourage fortement l'auteur, dont visiblement le français n'est pas la langue maternelle. Il y a encore du travail pour donner plus d'ampleur aux mots, que les images soient transmises par leur agencement plus que par le fait de les poser.
Mais il y a du potentiel.

Merci de la lecture.

   Myo   
18/11/2021
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
L'intention est louable et le sujet mériterait qu'on s'y attarde.
Malheureusement, nous sommes sur un site de poésie et je pense qu'ici, il n'en est pas question.

Je vous encourage à vous faire aider pour améliorer vos connaissances linguistiques et corriger vos écrits.
Vous avez certainement encore à nous dire.

   Anonyme   
3/12/2021
Bonjour Driley,

Un premier poème proposé, publié, bienvenue !

Ce que j'ai aimé dans ce texte :
Le côté récit assez simple, presque simpliste, sans l'être, de ce narrateur "idéaliste", voire un peu naïf, qui pousse la naïveté jusqu'à "mathématiser" la question dans les deux derniers vers. Bravo !
Ce que je n'ai pas apprécié :
Une forme entre deux catégorie, pas du libre, pas du classique où il est très difficile de rester harmonieux et attractif.
Ceux qui aime plutôt le classique seront rebutés par la forme qui ne l'est pas assez et les amateurs du libre déploreront la mise en forme pas assez libérée.

J'espère que vous repasserez sur le site, proposerez à nouveau vos textes et vous lancerez à commenter les autres, exercice très formateur et enrichissant.

Merci du partage,
Éclaircie


Oniris Copyright © 2007-2023