Bonsoir Guaeris... Les feuilles mortes, un titre de saison qui avait attiré mon attention.

J'ai bien aimé les feuilles bohémiennes, beaucoup moins les pierres anciennes, lesquelles, à mon avis, ne sont là que pour la rime.

Je n'ai pas compris "Aux armes des rayons d'été".
Au lieu de pupilles closes j'aurais bien vu paupières...

Je n'irai pas plus loin dans mes critiques mais je pense que l'ensemble du poème est à revoir... Trop d'approximations, une chasse à la rime effrénée, et quelques passages difficiles à comprendre pour le lecteur lambda que je suis.

Désolé pour cet état des lieux plutôt négatif mais c'est ainsi que je le ressens ! Bonne continuation...

Un peu dépassé, c’est plutôt l’hiver mais bon, pourquoi pas un petit retour en arrière.

L’idée est là, les images sont évocatrices, de la bonne volonté dans la construction de ce poème mais c’est un peu confus concernant l’organisation des vers, avec des rimes croisées, d’autres embrassées et beaucoup de « pauvres ». Quelques vers déséquilibrés aussi.

Continuez à lire les poèmes de ce site, de vous en inspirer et votre prochain poème sera probablement plus élaboré.

Bonsoir

A mon sens le premier quatrain n'apporte rien au poème , quelques vers également m'ont gênés tel que
"Amis brisez ces barricades"
Cela m'a fait penser à Gavroche dans les misérables ! :)

J'ai trouvé de belles images
"Dans l’ombre des pupilles closes" et d'autres encore telles que
"Voyez ces feuilles bohémiennes
Aux couleurs de sang et de peau"
L'ensemble ...du bon et du moins bon !

Merci

Pour qui aime l'automne, je trouve que ce texte commence trop comme un hymne à la révolte : "amis renforcez vos cloisons". L'automne je veux le vivre à pleins poumons...
Un peu de confusion certes, mais de belles images toutefois :
"Voyez ces feuilles bohémiennes
Aux couleurs de sang et de peau"

Un petit air guilleret s'est fait entendre au fil de ma lecture, estompant peu à peu le ciel gris.

J'aime le côté volontaire que vos mots arborent, nous donnant l'envie d'une motivation sans faille. Je pense avoir décelé une légère petite touche d'humour, pour nous faire mieux accepter la saison avenir, souvent "tristounette". Il nous faut l'affronter sans l'ombre d'une hésitation, il faut être "le dominant et non le dominé".

Vos mots sont mélodieux, fluides, la compréhension en est aisée, un bon moment de lecture.

Et "Les feuilles mortes" feront une belle couverture pour protéger les plantes qui retrouveront vie au printemps.