Vivons vivant
Comme le temps
Comme lui
Toujours changeant
Profitons des moments
Malgré hauts et bas
Apprécions sa beauté
Avant l'au-delà.

j'aime avant tout la philosophie

de votre texte

l'importance de la vie

nous avons une chance inouïe d'être en vie

et vous avez raison

vivons pleinement l'instant qui passe

vous le dites simplement

mais vous le dites très bien

j'ai beaucoup aimé

Une belle exhortation à profiter de la vie. Le texte est simple, sans grandes images, ce qui peut être dommage, mais l'ensemble se lit un peu comme une chanson qui passe.

Je n'ai pas compris "Malgré hauts et bas" ; c'est une question de syntaxe, il me semble. Il manque des déterminants.

Enfin, il est toujours bon de dire que le temps a aussi sa beauté, que le noir ne l'emporte pas.

C'est sympa, c'est virevoltant et joyeux. Et optimiste.
Je ne dis pas que c'est le poème du siècle, mais il tranche au milieu de beaucoup de textes pessimistes parfois déprimants.
Merci pour cet appel revigorant et frais.
Vivons vivant, une philosophie épicurienne.

Le titre ainsi que l'ensemble de ce texte me laisse une impression de "fait à la va-vite", plusieurs répétitions " comme ... un jour ... on ..." n'accentuent pas l'expression poétique mais banalisent plutôt l'écriture.
Le thème est intéressant et mériterait un travail et une recherche supplémentaire quant à l'écriture.

Bonjour MARIAJO

Je suis plutôt de l'avis de Marité. Le titre m'a interpellée mais je n'ai rien trouvé de ce qu'il m'a fait entrevoir.
Vivre vivant, c'est un peu Born to be Alive alors oui j'attendais quelque chose de péchu, une explosion, un allant quasi vertigineux.
Et c'est mou.
Peut-être quelque chose comme :
Ca pleure quand ça pluie, ça râle comme ça rafale, ça brille comme un rire.
Je ne sais pas, je suis archi nulle en poème, moins en rythmique musicale et là, malgré le titre, très original, ça ne me donne pas envie de danser ou d'exulter.
Merci et bonne continuation

Bonjour MARIAJO... Un thème vieux comme le monde car, comme disaient les Romains... Carpe diem quia memento mori !... c'est à dire... Profite du jour qui passe car souviens-toi que tu es mortel !
Tout votre poème est résumé dans cette locution latine...
L'idée est bonne mais votre texte manque de poésie malgré une tentative de métaphores avec pluie, vent et rire... ma foi très lourdes.
Je suis sûr que, sans en changer le fond, vous pouvez faire beaucoup mieux quant au côté poétique en remettant autant de fois que nécessaire l'ouvrage sur le métier... mais c'est vous qui décidez !

Comme le souligne Alexandre, le sempiternel "carpe diem"; "cueille le jour" comme une fleur qui nous est offerte et qui doit nous réjouir chaque jour, sans nous préoccuper de l'avenir '(quam minimum credula postero) ; pas toujours facile dans la vie courante...

" Vivons vivant
Comme le temps
Comme lui
Toujours changeant " Là, ce n'est pas une incitation au toujours beau ( sourire)

Je suis déçue, le titre manque d'originalité et je trouve pas la musique... sur un thème aussi fort, peut-être battu et rebattu, mais tout de même.
Et puis je ne m'empêcher de relever ces banalités sur la correspondance avec le temps changeant :
"Un jour ça pleure comme la pluie
Un jour ça râle comme la rafale
Un jour ça brille comme le rire"
et puis il n'y a pas que le "Celsius" qui "monte", je trouve ce passage plus que maladroit :
"On entend les cigales
On entend des chants
On entend les mâles
Tenter un rendez-vous..."

Ben voyons... "Profitons des moments", comme vous le dites...

chouette intention qui rate sa cible, un style un peu lourd à mes yeux, mais pas que...
à bientôt de vous lire

bonjour MARIAJO; première parution dans l'album d'Oniris, avec ce poème qui incite à profiter vivant, du temps ( de la montre, de celui des nues ) malgré les " bas "! Essayons de les mettre sous le paillasson, pour ne garder que les " hauts ", en savourer chaque seconde! Tâchons de bannir l'expression " on verra ", car pour ceux qui la serinent, dans l'au-delà, ils auront tout le temps de regretter de n'avoir pas su, savourer vivant le temps!
Continuez à pousser votre plume sur le papier et nous montrer encore plus de jolis vers!

Difficile de ne pas apprécier le message de ce texte, qui est plein de sagesse.

Ainsi, l'idée serait de vivre au fil du temps, de le suivre à chaque instant que que cela suffirait pour être heureux.
Il y a un peu d'utopie là-dedans, un peu de simplicité aussi, et de la beauté.

Et on s'arrête là.

Peut-être qu'avec un peu plus de profondeur, ce texte aurait pu susciter plus d'émoi.

Merci en tout cas pour le partage.

J'aime les répétitions, la structure un peu comme une boucle du poème.
Je retiens des vers comme
"Un jour ça pleure comme la pluie
Un jour ça râle comme la rafale
Un jour ça brille comme le rire"
Car c'est à la fois très mélodique et les comparaisons sont loin d'être absurdes.

J'aime moins la conclusion, un peu précipitée et trop "moralisatrice" (pas au sens le plus fort mais tout de même) pour un poème aussi beau, brillant (au sens où ça brille comme le soleil, comme les blés), d'autant plus que "vivons vivant" répété exprime très bien l'idée générale. Pas besoin de l'expliciter aux derniers vers...

C’est une poésie qui coule comme un ruisseau de printemps, joyeux du soleil, joyeux de son moment présent.

Je sens là, les balbutiements d'une plume qui s'éveille à la poésie.

Vos mots m'ont ramené vers cette chanson "Aimons-nous vivants" de François Valéry :

"Aimons-nous vivants
N'attendons pas que la mort nous trouve du talent
Aimons-nous vivants
S'il faut danser, je veux danser maintenant"

Votre écrit est parlant, mais il manque un peu de caractère, de profondeur, vous employez trop les mêmes mots (jour, entend, comme le temps), cela réduit l'expression de votre phrasé à trop peu de mots, c'est dommage, il y a de bonnes choses, cependant l'ensemble serait à retravailler, pour mieux le mettre en valeur.