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Poésie néo-classique
maxime : Ô, lune argentée
 Publié le 17/09/14  -  13 commentaires  -  686 caractères  -  387 lectures    Autres textes du même auteur

Sonnet.


Ô, lune argentée



Ô, lanterne argentée de mes rêves nocturnes,
Ô, ma muse, Ô, égérie tant aimée des dieux,
Enlève la peine en mes pensées taciturnes.
Ô, lune argentée, Ô, vagabonde des cieux.

Sur l'océan glisse un linceul immaculé,
Soupir d'une triste nuit d'automne sans lune.
Astre argenté, laisse les nuages filer,
Ils sont sans âge et vont mourir sur la lagune.

Sur la grève fumante, divine blancheur,
Un rayon d'argent, en son voile opalescent,
Caresse la mer de sa si douce pâleur.

D'un mirage ondoyant sur l'étendue marine,
La vague joue de son reflet évanescent.
Ô, lune argentée, Ô, vagabonde féline.


 
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   LeopoldPartisan   
27/8/2014
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
certe bien écrit mais Ô combien de fois ressassé... cette lune argentée sans la moindre originalité que finalement je trouve vraiment dommage de ne pas oser quelque chose de plus personnel, c'en est presque de gâcher son talent... Désolé mais il y a vraiment de quoi attendre beaucoup plus de l'auteur.

   Anonyme   
17/9/2014
 a aimé ce texte 
Bien
J'ai l'impression d'avoir déjà lu ce poème depuis si longtemps...
Que dois-je commenter ?
La technique ? Elle semble parfaite. La musicalité ? Elle aussi.
Sans vouloir le moins du monde vexer l'auteur de ce sonnet, je trouve qu'il illustre ici à merveille ce que que l'on peut appeller un exercice de style. Il est réussi.

(EDIT : j'ai soupçonné moi aussi, mais en EL, que c'était une parodie. Je commence à y croire de plus en plus. Sinon, c'est vrai, on comprend la désillusion de certains auteurs que j'ai pu découvrir en EL dans de très beaux textes et qui ne furent pas publiés.... moi itou dernièrement d'ailleurs malgré deux commentaires assez généreux, trop sans doute...^^ L'auteur nous répondra-t-il /elle en forum ? Je l'espère.)

   Ioledane   
17/9/2014
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
Ce qui m'a d'abord le plus dérangée dans ce poème, c'est son rythme : il ne suffit pas d'écrire des vers de douze pieds pour leur donner la grâce des alexandrins, et l'absence de césure fixe gâche pour moi réellement la lecture.

Ensuite, les images : elles me paraissent convenues, sans réelle recherche, déjà lues cent fois ailleurs.

Le premier quatrain souffre selon moi d'une indigestion de "Ô", que l'on retrouve avec un peu plus de mesure dans le tercet final.

"Argenté(e)" et "argent" sont répétés jusqu'à plus soif : 2 fois dans le premier quatrain, une fois dans le second, une fois aussi dans chaque tercet.

Bref, j'étais prête à regarder le tableau mais ni la technique ni le style ne m'ont permis d'y rentrer, c'est dommage car il semble que l'auteur l'ait écrit avec coeur et sincérité (c'est en tout cas ce que je perçois).

   Arielle   
17/9/2014
 a aimé ce texte 
Pas
Voilà pour moi, l'exemple type du texte "sans âge (qui va) mourir sur la lagune"
Rien de neuf, rien de personnel qui vienne pimenter un peu cette parodie romantique particulièrement lourde à digérer.
Que ce soient la lune, la lanterne, l'astre ou le rayon le fait de les argenter ne les rendra pas plus brillants, hélas !
La lune a beau être le personnage principal de cette élégie, le mot répété trois fois dans un si court poème devient vite pesant tout comme ces Ô tellement imbus de leur auréole poétique !
Je suis convaincue, qu'en vous impliquant un peu plus, vous pouvez faire infiniment mieux que de nous servir ce plat mille fois réchauffé, vous en avez les moyens techniques, reste à les mettre au service d'une émotion, d'une expression plus personnelles

   Anonyme   
17/9/2014
 a aimé ce texte 
Pas
Votre poème présente plusieurs éléments qui, à mon avis, l'affaiblissent.

Le sujet, à la base, a été beaucoup traité, battu et rebattu, voire tabassé, mais je suis persuadée qu'il est toujours possible de trouver des manières personnelles et touchantes de dire. Seulement, en l'occurrence, je ne trouve pas que vous y soyez parvenu ou parvenue. Je m'explique.

1) L'abondance des "Ô"
Cette locution fait vraiment vieillot, je trouve, et la lire aussi fréquemment me donne l'impression qu'elle vous sert de cheville, presque de ponctuation. Elle ajoute selon moi, par son archaïsme, à l'impression de sujet rebattu.

2) Le champ lexical, les clichés
Vous employez des mots et expressions comme "obligés" au vu du sujet : les rêves nocturnes, les pensées taciturnes, la nuit d'automne sans lune (qui paraît peu cohérente, d'ailleurs, avec le sujet), le rayon d'argent, la douce pâleur, la lune argentée... Vous vous répétez (trois fois "lune" : même si l'une des répétitions est volontaire, la troisième "lune" est franchement de trop à mon avis ; l'astre est argenté, la lune est argentée et c'est une lanterne argentée). Bref, j'ai l'impression sur quatorze vers d'un ressassement, d'un manque de recherche et d'une difficulté à arriver au bout du nombre de syllabes imposé par la forme !

3) Le rythme
Au vu du sujet, j'attendrais plutôt un rythme serein, ondoyant, quelque chose de paisible qui coulerait et m'amènerait à une contemplation de la beauté des cieux. Or, j'ai le sentiment que vous avez totalement négligé cet aspect de l'écriture et vous êtes limité ou limitée à "découper" l'ensemble en douze syllabes qui riment. La scansion des vers est pour moi heurtée à cause de décalages à la césure, ce qui achève de ruiner l'ambiance douce de ce nocturne :
Ô, ma muse, Ô, / égérie tant aimée des dieux,
Sur l'océan glisse / un linceul immaculé,
Soupir d'une triste nuit / d'automne sans lune.
Sur la grève fumante, / divine blancheur,
Un rayon d'argent, / en son voile opalescent,
Caresse la mer / de sa si douce pâleur.

Malgré tout, j'ai le sentiment qu'une expression cherche à émerger dans ces vers, ainsi les nuages sans âge qui vont mourir sur la lagune ne me déplaisent pas, ainsi que la grève "fumante" de brume, le voile opalescent un peu moins cliché à mon avis. Mais je pense que ce poème nécessiterait beaucoup de retravail pour éveiller (du moins chez moi) un sentiment de beauté.

   Anonyme   
17/9/2014
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
Bonjour Maxime,

La 1ère strophe comporte trop de Ô et en seulement 1 quatrain, et cela lui donne du coup un style trop pompeux.

Il y a de la fluidité, de la musicalité, de jolis vers, mais est-ce que cela est suffisant pour me toucher? Votre poème est d'une grande banalité, sans surprise, l'impression d'avoir déjà lu plusieurs fois ce genre de poème avec les mêmes images.

Il faudrait donner à votre plume une unicité, ne pas avoir peur de prendre le risque de l'originalité tant que cela exprime et nous démontre votre style propre.

   Anonyme   
17/9/2014
Bonjour maxime

Même si les césures sont inexistantes ou mal placées, les contraintes du sonnet irrégulier sont peu ou prou respectée. Vous n'êtes donc pas un débutant.

Ce que laisserait pourtant penser l'accumulation de clichés et le nombre de ô (7 pour 14 vers, dont 5 pour le premier quatrain !)

Ce sonnet, que je ne suis pas seul à trouver très mauvais, ne serait-il pas paradoxalement une parodie réussie ?

   Anonyme   
17/9/2014
Bonjour

Que dire de plus qui n'ait pas encore été dit sur ce texte ?

J'aimerais me faire l'avocat du diable et trouver quelque chose
à sauver.
Allons, un peu de témérité :

Ô lanterne argentée de mes rêves nocturnes
Sur l'océan glisse un linceul immaculé

Au final, un sonnet à épurer de ses trop nombreuses clichés,
de ses ô jusqu'à saturation et du reste.

Je me doute que beaucoup d'auteurs voyant leur texte refusé
peuvent se sentir désabusés
devant la publication de celui-ci.

   Rathur   
17/9/2014
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Il faudrait vraiment cesser de se regarder écrire pour commencer à s'exprimer. On dirait que l'auteur ici a volontairement énuméré les poncifs d'une intention poétique archi-datée. Dans quel but ?

   Robot   
17/9/2014
Je me suis noyé dans les Ô répétitifs à l'excès de ce texte, qui sans cette multiplication d'interjections aurait pu gagner en simplicité. Le premier tercet est ce qu'il y a de meilleur dans ce texte alors que le premier quatrain pêche par sa grandiloquence un peu outrée.

   Anonyme   
17/9/2014
Salut maxime... Voilà une ode à la lune qui fait couler beaucoup d'encre... et c'est déjà un résultat.
Tout ou presque ayant été dit dans les commentaires précédents, je ne vais pas en rajouter d'autant que ça sent le poète débutant et que nous sommes tous passés par là... quand bien même certains auraient tendance à l'oublier.
Fut un temps, ici même, on trouvait une catégorie apprentissage qui avait pour but d'accueillir ce genre de poésies...
L'auteur, en y proposant un texte, admettait son peu d'expérience en la matière et les lecteurs/commentateurs en tenaient compte dans leurs appréciations écrites.
Alors oui, ce poème est maladroit, le sujet éculé et la syntaxe laisse pour le moins à désirer mais derrière tout ceci on sent le désir de bien faire et ce désir il ne faut pas l'ignorer...
Maxime, je n'accolerai pas à votre sonnet de très faible ou de très bien mais je vous encourage tout simplement à persévérer dans cette voie plus ou moins classique que vous avez choisie...
Bonne continuation...

   David   
19/9/2014
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Bonjour Maxime,

Les Ô sont des exclamations à mon sens, mais dans le poème ils semblent plus proche d'une onomatopée comme "ah... " qu'une autre comme "Oh !" qui ressemble plus à l'usage à mon goût.

Le thème est assez clairs, le poète demande à sa muse, la lune, d'emporter son vague à l'âme comme elle le fait de son reflet sur l'océan.

L'expression proprement dite est très brève, le poème compte de nombreux adjectifs : "lanterne argentée", "rêves nocturnes", "pensées taciturnes", "linceul immaculé", "triste nuit", "Astre argenté", "grève fumante", "divine blancheur", "voile opalescent", "douce pâleur.", "l'étendue marine", "lune argentée", "vagabonde féline".

Certains peuvent avoir du sens dans le contexte, mais l'accumulation donne l'impression de formuler ce qui devrait être ressenti : "nuit d'automne sans lune" devrait suffire à faire comprendre "triste" sans l'écrire, par exemple.

   Anonyme   
12/7/2017
 a aimé ce texte 
Vraiment pas ↑
Dernier écrit de vous que je lis, et je suis loin d'être conquise
par celui-ci.

Là, encore c'est trop "pompeux", pour parler de ce sujet tant de
fois traité, il aurait fallu un peu d'originalité.

Et puis, donner une touche un peu plus personnel, à votre poème pour éviter qu'il ressemble à tant d'autres sur ce thème, presque mot pour mot.

C'est morne et sans éclats, ennuyeuse lecture.

Du coup, aucune image n'a retenu mon attention, le ressenti est complètement absent. Quand à la forme, elle est basique, n'apportant rien de probant à ce poème.


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