Merci d’abord au CE d’avoir accepté ce petit texte sans prétention, écrit pour me distraire de la rédaction paralysée d’un roman. L’idée m’en est réellement venue dans un bon bain chaud. Merci à tous les gentils commentateurs, trop nombreux – quel plaisir! – pour que je les énumère. Qu'ils me pardonnent de respecter leur anonymat.
Je suis content que mon récit ait fait sourire. Certains ont aimé le début, d’autres la fin. Si j’avais osé proposer ma nouvelle dans la catégorie « Humour, délassement », j’aurais sans doute trouvé une chute moins absurde. Je pense après-coup que celle-ci m’a été dictée par la nécessité d’introduire du fantastique bien soutenu, quitte à tomber dans l’absurde.
Quant à mon narrateur, je l’ai voulu plus complexe et moins angélique que l’image qu’il donne au début. Déformation professionnelle, sans doute. On ne travaille pas plus de trente ans comme psy sans savoir que les êtres humains sont à double face, que les personnes dépendantes en particulier, peuvent se montrer retorses et sournoises envers ceux qui veulent les aider et envers elles-mêmes.
Merci à tous, donc. Je me sens encouragé à venir plus souvent sur Oniris.

Pierre Jean