Bonjour,

Un sincère merci aux lecteurs et surtout aux commentateurs {Papipoete, Donald, Robot, Pizzicato, Eclaircie (à bientôt ?) et JFMoods} de mon dernier essai de vers libres.

Je considère avec une grande attention les réserves qui ont été exprimées ici et j'encourage d'autres éventuels lecteurs à me faire part de ce qui leur déplaît dans ce texte-ci comme dans le précédent essai.

Bien à vous,
A.

Un grand merci à Queribus qui y a (affreux double hiatus) trouvé de l'intérêt.

FABIO,

Merci à nouveau pour m'avoir consacré un peu de votre temps.
Votre "pauvre" avis a ceci d'intéressant qu'il enrichit l'humble pisse-lyre que je suis.

Justement, j'ai consciencieusement filé la métaphore maritime (brassent, nageurs, archipel, dérive, phare, océan, noyer, repêcher, naufragé, sombrer) tout le long de ce petit texte.
Je vous accorde que l'analogie ciel/mer n'a rien de remarquable.

A.

Un grand merci à Marite.
Vous avez raison pour la "rupture de rythme": mais comme je voulais mettre en évidence le mot "espoir", je n'ai su arranger la fin autrement.

Merci à Wasche d'être passé.
Pour le soleil qui se couche et le phare toujours debout, il n'y a pas de problème puisque le soleil continue de briller, même si l’œil humain ne le perçoit pas : considérerez que la nuit cache le soleil comme une tempête voile un phare.

En revanche, je concède la probable redondance "moment" et "temps", dont j'examinerai la question.

Admettons, quoi que votre explication me paraisse un peu laborieuse. D'autant que l'expression sous-entend que les phares, les vrais, ne le sont pas toujours, debout... Alors là, excusez-moi, Antinoos, mais l'affaire est carrément capillotractée !... à moins que quelque chose m'échappe encore ?

Wasche, j'avoue que c'est un point sur lequel je n'ai pas grand chose à ajouter, sinon un merci pour votre intérêt.