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"Décroissance", merci et éclaircissement
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Merci à vous, membres du comité de publication pour avoir accepté mon texte (chose bien inattendue à vrai dire), et un grand merci à vous, chers commentateurs pour votre lecture, votre patience et votre temps précieux.

« Décroissance » a été rédigé sans contrôle ni retouche, d’où les deux fautes relevées par Poldutor (qu’on me « vend », bien sûr et non qu’on me « vent ») et Senglar (j’ai pris ma vie de « court » et non de « cours »).
Serait-ce là déjà un des premiers symptômes de ma décroissance (« dégénérescence » serait peut-être un terme plus approprié ?)

Il faut voir dans ce texte le parcours de l’être humain en général plutôt que celui d’un unique petit bonhomme(le narrateur, l’auteur ?) qui, seul, serait bien incapable de changer quoi que ce soit de cette malheureuse civilisation dans lequel il s’agite, invisible et en vain.
C’est l’être humain qui doit changer de mode de vie, franchir les barbelés (les frontières, les barrières, les murs dressés entre les uns et les autres), toutes ces friches des idées abandonnées par le vent de la conscience, de l’intelligence, réduire ces besoins, cesser d’être manipulé et d’être manipulateur.
Puis imaginer une autre civilisation pour les décennies futures, les millénaires, une utopie qui ne doit plus être un rêve, et d’une force aussi grande que ce désespoir envahissant, ce découragement général, omniprésent, inconscient surtout et qui fait naître partout ces réactions stupides de replis sur soi, de destructions, de courses insolentes vers l’enrichissement personnel, d’individualisme forcené, de cet orgueil maladif qui pointe partout son nez induisant un véritable mépris pour la Vie.

Le ballon sans nacelle est pour moi l’image centrale car cette nouvelle façon de penser nous obligera à quitter notre zone de confort (certains disent d’inconfort étant donné que nous y vivons de plus en plus mal), de prendre notre envol sans aucune sécurité.

Plus de respect pour la nature apporterait sa régénération, nous pousserait à penser autrement nos lieux de vie (nos villes sont devenues des aberrations inhabitables engendrant les pires névroses).

Un véritable travail sur l’esprit et la conscience depuis la plus tendre enfance (la base de l’éducation bien avant l’apprentissage de l’écriture ou du calcul) nous amènerait à mieux cerner nos peurs, ce maquillage de nos pensées (le vernis craquelé des poupées russes).

Voilà, j’espère que ces quelques clés vous auront apporté un petit éclaircissement sur ce texte.

Merci encore à vous tous.


Contribution du : 19/07/2019 09:12
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