Cat, je ne lamine pas Papipoete, je lui demande de préciser sa position développée en commentaire, vis à vis des femmes.


Papipoete, ne confondez pas tout. Je n'ai pas en tête les Trump, Depardieu ou encore Weinstein. Je ne fais que lire ce que vous écrivez.
Et en substance, ce que vous défendez est une vision passéiste et réductrice de la femme, la remisant au rang d'objet marchand, celui de votre choix. C'est un premier palier vers la culture du viol. Vous vous y accrochez (à ce palier) par confort, sans vouloir écouter ce que disent aujourd'hui les femmes.
Et je vous parle de votre commentaire et non pas de vos aventures passées que vous nous livrez comme un certificat de bonne conduite.

Perle-Hingaud

Ah mais je comprends votre désir de rester fidèle à votre ligne éditoriale. Je déplore simplement sa bêtise. Car c'est bêtise effectivement que de traiter d'intolérance la critique de l'intolérance : avec une telle mentalité, le fascisme islamique qui veut couvrir les cheveux (des femmes, justement, puisqu'on en parle) et bâillonner les bouches a encore de belles heures devant lui.

En tant que membre de longue date, qui a beaucoup publié et beaucoup commenté, je crois avoir le droit d'exprimer mon opposition à une telle censure. Les libres penseurs de notre tradition littéraire, qui ne se sont pas gênés pour critiquer parfois très ouvertement l'obscurantisme chrétien, doivent se retourner dans leur tombe : Molière, Voltaire, Baudelaire... Que des noms en -ère, comme l'air qui vient à manquer sur ce site.

Je me pose en effet avec tristesse la question de ma présence ici.

Cyrill
Vos croche-pied me font tomber, et vous le savez, mais je me relève toujours !
Ce n'est sera pas le dernier, j'ai l'habitude mais je me relèverai!
Ai-je parlé dans mes lignes, de femme paillasson ? Ça m'étonnerait beaucoup !
Conter fleurette oui, mais pas aux femmes comme depardieu !

Je poursuis cet échange avec Hiraeth.
Dois-je comprendre que c’est moi qui suis bête ou l’ensemble du CE ? Votre argumentaire tourne malheureusement en rond. Inutile de faire parler les morts, même si c’est tentant car pratique, ils ne risquent pas de vous contrarier. Et puis, on a les arguments d’autorité qu’on peut, alors, des morts illustres, pourquoi pas ? Cerise sur le gâteau, vous voulez jouer à celui qui a la plus grosse ancienneté ici ? Amusant.

Bravo Lebarde : au moins, ça barde !

Je ne suis pas sourd, Robot, merci d'utiliser une taille de caractères moins agressive. Et de me parler directement plutôt que ce "il".

Ostraciser ? Je donne un avis. En commentaire et en forum. Ma préférence va à la poésie inventive, pas à celle qui essaie tant bien que mal de refaire ce qui a été fait - et défait - de conserver les valeurs d'un autre temps, alors que les valeurs sont en constante évolution et remise en question. La poésie est faite pour la vie et le mouvement. Celle qui se fossilise sur des formes et des thématiques passées sans apporter son tribut de contemporanéité n'est rien de plus que du travail de copiste.

Citation :

Je n'ai pas dit ça du tout.
"m'égarer" suggère que le locuteur est victime d'une "Léa" qui l'entraînerait dans la fange.

Mais j'ai été clair dans mon commentaire et je commence à en avoir ma claque de devoir justifier un commentaire négatif, et ma façon de penser la poésie. Et ma claque aussi d'en prendre plein la poire.
Je n'ai jamais demandé aux commentateurs de justifier leurs critiques de mes propres textes. Je les prends tels quels, et je n'ai pas non plus une armée qui se soulève pour venir taper sur ceux qui n'apprécient pas mes écrits.

C'est votre jour de chance, Perle-Hingaud (post 5), je vais faire semblant de croire que vous avez besoin de moi pour éclairer votre lanterne.
Même si avec mon penchant immodéré pour la dive métaphore je ne peux garantir une lumière adaptée à toutes les comprenettes...

- Un monde qui tourne rond, c'est le monde tel qu'il faudrait qu'il soit toujours. Un monde où chacun est libre de mener sa vie à sa guise, du moment qu'il n'empiète pas sur la liberté du voisin. Une vraie liberté, sans se faire constamment rabrouer ou taper sur les doigts par ces fameux "ayatollahs" qui voudraient tous nous aligner en rangs d'oignons bien sages, bien-pensants, mais tellement insipides, vous en conviendrez.

- "Nature" ou encore "homme sain dans un corps sain" :
Par exemple, lorsqu'un être de chair et de sang (un homme, quoi !) suscite le désir chez un autre être de chair et de sang et que cet autre s'en émerveille pour nous offrir un joli poème.
Quoi de plus naturel en somme ?
(Merci Lebarde !)

Quant à mes ayatollahs, la définition 2 du Petit Robert fait très bien l'affaire aussi :

"ayatollah
2. sens figuré :
Représentant intransigeant d'une tendance."

La pensée woke, par exemple, pour ne citer que celle-là...

S'il y en a ici, me demandez-vous ? Vous testez mon degré de naïveté, c'est ça ?
Il faudrait être rêveur-doux-dingue ou bien avoir oublié de réajuster ses lunettes sur son nez pour croire un seul instant que Oniris est épargné par ce fléau qui ravage la planète entière.



PS : euh, la prochaine fois, essayer de mesurer vos propos avant de me traiter d'homophobe. Ma communauté LGBTHQR... était pliée de rire en lisant vos suspicions.

Cyrill
Vous ne sous-entendez quand même pas que je puisse être l’instigateur de cette cabale? Alors que votre commentaire en est peut-être à l’origine?
Chutt je n’ai rien dit…de quel droit voyons …je suis déjà parti!

Citation :

Absolument pas.

Citation :

Peut-être, mais ça ne veut pas dire que je l'ai recherchée. La cabale n'est le fait que de ceux qui s'y prêtent en s'associant. je n'ai fait que donner un avis négatif sous votre poème, et l'étayer.