Merci au CE pour la publication de ce poème. Il est déjà loin dans les entrailles d’Oniris, mais ô magie, le revoilà pour les ceusses qui n’en ont pas eu assez :
http://www.oniris.be/poesie/cyrill-eh-la-mer-12112.html

J’ai tardé à ces remerciements, ayant été par ailleurs très occupé. Mais trêve d’excuses, je suis toujours en retard.

Du bien et du moins bien dans vos commentaires pour mon âme qui s’est faite mer le temps d’un trop long poème. Même ennuyeux pour certains d’entre vous… bon, je ne me suis pas ennuyé à l’écrire, c’est déjà ça.
Âme, reflet de l’existence, c’est un peu tout ça.
Et puis j’aime la mer , mais je radote.
Bien sur, « La mémoire et la mer » de Léo Ferré me toisait de sa hauteur, mais même pas peur.
Trop long, je le reconnais bien volontiers, je n’ai pas su choisir, rayer, biffer, resserrer, trier. C’est mon drame !
Je revendique cependant la façon cavalière que j’ai adoptée pour l’apostropher, elle et moi sommes très proches et nous dispensons de courbettes.
Merci à Elena, Boutet, Eskisse, Robot, Papipoete, Vincente, Edgard ( qui me fait regretter les passionnément ), Pouet, pour vos avis conseillers et vos conseils avisés. Je tâcherai, une prochaine fois et en rebattant bien les cartes, d’être au dessus du lourdingue. Mais bon, hein, sans rancune aucune et avec des anémones de mer.