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L'AIEULE Remerciements et réponses aux commentaires
Maître Onirien
Inscrit:
31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
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Post(s): 12934
Hors Ligne
A défaut d'adresser à chacun de vous un mp de remerciements (pardonnez ma flemme!), j'aimerais le faire ici, de manière collective.
Merci à vous tous, donc, d'avoir eu l'envie et la patience de me lire jusqu'au bout et de vous être exprimés sur ce poème.
J'ai voulu faire de « l'aïeule » un concentré de saveurs, d'odeurs, de sons et de mouvements. Ainsi ne puis-je que me réjouir si certains y ont été sensibles. Merci Robot, Leopoldpartisan, Marite, Arielle pour votre approche du texte, votre ressenti et votre appréciation. Cela m'encourage vraiment dans la poursuite de ma démarche en poésie qui est d' « impressionner » (au sens photographique du terme) plutôt que d'expliquer.
Cela étant, je conçois que d'autres aient besoin d'être un peu plus orientés. Je me plierai donc à cet exercice pour répondre à leurs interrogations. Je remercie également Lunar-K de s'y être arrêté et d'avoir pris le temps de commenter.
La clef du poème est ici « la mémoire à l'envers ». Arielle, tu as bien vu, ton analyse est ce qui ce rapproche le plus de ce que j'ai voulu exprimer. L' âge n'a aucun rôle important dans le bonheur du personnage. Bien au contraire. Il faut entrer dans l'esprit de cette vieille femme qui, d'un coup, se retrouve plongée dans ses souvenirs.
Ce midi-là, tel qu'il arrive jusqu'à elle avec ses effluves et ses bruits, est sa madeleine de Proust ; la voilà transportée avec un bonheur nostalgique dans le monde sépia de sa jeunesse, celui des gamins en galoches et de l'encre violette qu'on versait dans les encriers blancs... Ces souvenirs suffisent à eux-seuls à adoucir la tristesse et l'angoisse inhérentes à l'état de « vieillard » et à la conscience que tout humain a de sa finitude.
Pour le reste, je dois dire que même si certains peuvent heurter ou sembler incongrus, chacun des mots que j'ai employés a été mûrement réfléchi et délibérément choisi pour coller au plus près à l'image qui me venait (« brouillasse » par ex.) ou à la sensation que je voulais produire. Il ne me paraît pas souhaitable d'ailleurs de le modifier car, en sa forme, il a été primé et publié par « Flammes Vives » .

Merci encore de votre attention

Contribution du : 16/03/2014 16:50
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