Merci beaucoup pour la sélection de cette nouvelle et les commentaires qui m’aideront à améliorer encore ce texte.

J’ai précisé à la fin ce que signifiait une « corvée de bois » pendant la guerre d’Algérie, car ce n’est pas une évidence de le savoir.
Pour rappel (pour celles et ceux qui n’ont pas lu la nouvelle) :
La « corvée de bois » était l’expression utilisée par les soldats français, entre eux, pour désigner les exécutions sommaires des prisonniers durant la guerre d’Algérie, le plus souvent des civils, qui devaient creuser leurs propres tombes (sources Wikipédia.) On estime à trois cent mille, le nombre de militaires ayant souffert de graves traumatismes à l’issue des « événements » d’Algérie.

Cette guerre a anéanti la vie du personnage de cette nouvelle, et sa fiancée.

Aujourd’hui, j’espère que le peuple algérien va parvenir à atteindre une nouvelle aire de liberté.

Très bonne soirée.

Luz

Merci pour vos commentaires, Pouet et Donaldo75 !

J'ai pensé à mon frère en écrivant cette nouvelle. Il a fait son service militaire en Algérie, à Oran, en 1962 ou 1963, lorsque la guerre était finie. Mais j'étais quand même très inquiet pour lui (j'avais 5 ou 6 ans à l'époque). J'attendais ses lettres avec impatience, comme Roseline... Il n'a pas été traumatisé comme Carle, mais la vie a quand même été dure pour lui pendant cette période : une hépatite, les ordres imbéciles des gradés, la durée de l'éloignement...
Beaucoup plus tard, en 1982 et 1983, j'ai fait mon service national en coopération en Algérie, dans le désert, et j'ai découvert un pays et des habitants absolument merveilleux.

Très bonne soirée !

Merci, Jocelyn, pour votre commentaire !

Il y a quelques explications sur cette nouvelle dans les envois précédents.
C'est une nouvelle un peu triste, mais j'espère que l'image de la promenade matinale avec le chien Boby (pas pour une corvée de bois...) aura quand même ensoleillé votre journée.
Merci encore !

Luz