D'abord, je veux remercier chaleureusement le CE d'avoir accepté mon roman sur le site. Le dernier avait été publié en 2012, alors j'ai pris mon courage à deux mains et envoyé ma Licorne, écrite il y a quelques années et que j'avais déjà publiée à compte d'auteur chez Lulu. La ressusciter ainsi m'a donné beaucoup de plaisir.
Mais surtout, je tiens à exprimer ma gratitude à Marimay et ses acolytes: corriger un texte si long, où j'avais laissé traîner beaucoup de scorie, c'était un défi qui exigeait beaucoup de dévouement! Et puis les échanges avec Marimay à propos des corrections m'ont beaucoup enrichi!
Bien sûr, je suis un peu déçu que personne où presque, si j'en crois les statistiques, n'a entrepris la lecture... quitte à critiquer vertement après les premiers chapitres. Merci à Robot, premier commentateur, et à Marite, qui est peut-être la seule à s'être aventurée au-delà des chapitres introductifs. C'est vrai que la structure du récit, qui mêle passé et présent, le rend peut-être un peu énigmatique. C'est voulu! Mais je dois avouer que j'ai eu de la peine, en écrivant, à garder un niveau de cohérence convenable...

Bonsoir Acratopege ! Comme je l'ai dit dans mon dernier commentaire (L'enlèvement) dès qu'une licorne pointe le bout de sa corne ... il me faut savoir où elle va me mener alors je vais continuer à lire

Marite, soyez patiente. La licorne va revenir en force au prochain chapitre! Et les fils du récit vont se rassembler autant que faire se peut.
Quand vous aurez terminé, allez-voir ici: vous connaîtrez tout du secret de cette licorne:

http://www.oniris.be/nouvelle/acratopege-le-sphinx-tete-de-mort-3486.html

Je déroge deux secondes à ma résolution de ne pas intervenir sur O et uniquement dans le but de promouvoir le roman de notre ami Acratopège.

Ayant eu le privilège de lire ce roman en version papier et tout aussi gratuitement qu'ici, je peux dire sans déflorer le moins du monde l'intrigue qu'elle comporte des rebondissements, qu'elle est écrite d'une plume sachant tout de même un peu causer le français - et même plus qu'un peu - et que j'ai lu le tout jusqu'au bout. Je sais que "j'ai lu jusqu'au bout" peut apparaître comme une piètre promotion, mais si vous saviez tout ce que je n'ai pas lu jusqu'au bout, vous sauriez qu'il s'agit d'un compliment.

L'écriture d'un roman est une entreprise de longue haleine.
Elle mérite certainement mieux que deux ou trois lecteurs.

Merci Stony ... je me sens moins isolée et à la limite moins bizarre d'être la seule sur le site à suivre les péripéties des personnages. Je suis aussi surprise que ce roman ait si peu de lectures et de commentaires ... bon les miens, de commentaires, ne sont pas terribles mais c'est l'histoire qui m'intéresse et maintenant que je me suis habituée au rythme de l'écriture c'est bon.

Oui Acratopège, j'ai retrouvé la licorne ... et je me prépare au voyage

Stony, quelle merveille de te relire en train de faire la promotion de mon roman! J'espère que tu auras bientôt de nouveau le loisir de reprendre ton attitude active sur Oniris, appréciée de beaucoup.
Shepard, merci d'avoir entamé la lecture, et poursuivi malgré l'abondance des descriptions. Je dois dire que je les adore comme lecteur, elles me mettent doucement dans l'ambiance. C'est pour cela que je n'aime pas lire le théâtre, par exemple. Quand j'écris des nouvelles, je ne peux pas me laisser aller à décrire l'environnement sinon de manière concise et liée à l'intrigue. Dans ce roman, j'ai pu lâcher la bride! Pour moi les descriptions de paysages ou de lieux servent à cerner le monde intérieur des personnages qui les traversent. Mais je comprends bien que ça ne marche pas toujours!
Et puis c'est vrai, l'intrigue démarre lentement, comme un train régional. Je ferais sans doute différemment aujourd'hui, mais alors l'intrigue m'a paru dès l'abord si complexe que j'ai eu besoin de creuser des fondations solides avant le grand départ...
J'espère que vous crocherez à la suite. J'attends impatiemment votre écho.
Marite, ne vous perdez pas en route!

Salut Acratopège (et les autres, bien sûr !)

Oui, faites des appels pour que les gens entrent dans la salle. Vous savez, ça me fait à un concert ou la moitié du publique reste dehors à fumer sa cigarette ! Pourtant vous jouez plutôt bien.

Je comprend l'engouement de vos descriptions, le principal c'est de vous faire plaisir, vous, avant les autres. J'ai probablement une mauvaise habitude du cinéma - bande-dessinée ou les descriptions sont implicites à l'image.

Ensuite, je pense comme Marite, je crois que je me prends à votre rythme tranquille. Vous savez attirer le lecteur, puis refermer la couverture du bouquin pour être sûr qu'il reste là = )

Un grand merci à Marite et Robot, qui sont arrivés au bout de mon pavé. Je suis heureux que vous ayez apprécié, et j'ai apprécié vos commentaires et messages. Deux lecteurs, c'est beaucoup quand ils donnent un écho! Il y a eu aussi certaine correctrice qui a aimé ce roman. Elle a beaucoup apprécié la chute, Robot l'a trouvée fadasse... Moi-même, j'ai hésité à supprimer cet épilogue que je n'aimais pas trop...
Robot, vous avez apprécié les derniers chapitres, les plus délirants. Vous m'encouragez à poursuivre dans cette veine déjantée. L'épisode sur la dune, c'est celui que j'ai eu le plus de plaisir à écrire!
J'espère avoir encore quelques échos avant que mon roman tombe dans l'oubli sur Oniris... on ne sait jamais.

Et puis toute la vérité sur mon héros Aristide se trouve ici:

http://www.oniris.be/nouvelle/acratopege-le-sphinx-tete-de-mort-3486.html

C'est une nouvelle, mais sous l'enrobage fictionnel - la cérémonie funèbre, le marchand de tuyaux - tout est vrai: j'ai vraiment rencontré Aristide, il a vraiment lu mon roman, il est vraiment mort.

Shepard, je me réjouis de voir que vous ne vous laissez pas décourager... Votre remarque sur les dialogues moins dynamiques que les passages écrits en flash-back me fait réfléchir. On dit en général le contraire, mais c'est vrai que je ne me suis jamais senti à l'aise en écrivant des dialogues, cela doit se sentir...