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Les 6 saisons de Vivaldim
Chevalier d'Oniris
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29/03/2021 22:01
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Poétesses, Poètes, comment allez vous en ce mois de juillet doux et chantant ? Ne trouvez-vous pas que, comparé à l'été dernier qui fut "fouresque", nous sommes gâtés par cette agréable tiédeur printanière ?

Chers membres du Comité : merci beaucoup pour cette nouvelle publication, c'est un poème qui me tient à coeur et je suis très content qu'il intègre le catalogue d'Oniris.

Correctrices, Correcteurs : avez vous eu besoin de dégainer votre plume intraitable pour ce poème ? Que ce soit oui ou non, merci !

Edgard : un commentaire positif qui fait plaisir ! oui, il s'agit bien du sentiment amoureux qui est exprimé dans ce poème. Les heurts quant à votre parcours lectoriel sur mon texte sont acceptés et compris de ma part ; à l'exception de "une légère brise frappe mon chemin" : hein ?? C'est très bien comme ça enfin !!! En tout cas, c'est je crois votre première venue en commentaire sous l'un de mes poèmes et je vous en remercie chaudement. À bientôt Edgard !

Provencao : possession, c'est le mot… Je pense qu'à voir votre analyse vous avez vous même forcement connu la passion amoureuse n'est ce pas ? Malade et esclave oui, mais quand la passion est réciproque on s'envole et les nuages sont si doux ! Merci pour votre commentaire Provencao et au plaisir de vous retrouver très vite sur Oniris !

Papipoète : une nouvelle fois je vous trouve en dessous de mes poèmes, et une nouvelle fois votre calme et votre bonhomie, qui suintent par tous vos pores, me font l'effet d'un délicieux caramel au beurre salé qui colle aux dents ! Vous êtes insatisfait par le manque de ponctuation, mais sachez, cher Poète, que c'était totalement voulu ! C'est un choix artistique dirons nous. Merci pour votre commentaire Papipoète et à très vite !

Fanny : tutoyer une Dame, Poétesse de surcroit, sans même la connaître ni lui demander la permission, n'était pas très heureux de ma part et même présomptueux. Votre commentaire sous mon poème Stase me paru enthousiaste au possible... et si communicatif... que je m'en allais faire une vilaine bêtise ! Bref, je suis un peu fâché que vous dévoiliez qu'il y a 6 saisons dans une année, seule une infime partie de la population - une élite dont nous faisons partie vous et moi - est au courant ; oui, 6 : hiveremps, printemps, été, étomne, automne, hiver. Veillez à ne pas diffuser d'autres informations sensibles à l'avenir, sans quoi je vous dénoncerai au conseil suprême anti-reveil-français. je vous ai à l'oeil... Vous trouverez, chère Fanny, un petit quelque chose de ma part sur le Diaponiris vous étant destiné. Passez vous aussi un bel été. À bientôt !

AMitizix : votre premier passage en commentaire sur mes poèmes est touchant et très satisfaisant. "Vaporeux" : cet adjectif sied parfaitement à l'écriture et au ballotement de l'âme décrit dans ce poème. Vous parlez également de légèreté, vous aurez noté que la ponctuation est presque inexistante : léger, c'est ainsi que j'ai voulu ce poème, vous l'avez parfaitement abordé ! je vous remercie pour ce long commentaire qui fut un régal à parcourir et vous dis à bientôt sur Oniris !

Ferrandeix : un autre nouveau commentateur sur l'un de mes poèmes ! Vous vous êtes - presque - arrêté à la technique stricto sensu, que vous trouvez maladroite. Je l'entends. Il est évident que vous n'avez pas pu vous laisser aller sur "L'hiver est roi", mais vous notez tout de même ( entre tous les défauts que vous soulignez ) que l'absence de ponctuation est un bon choix ; et "choix" est bien le mot : vous avez visé dans le mil ! Un grand merci pour votre commentaire, à la prochaine !

Bonne journée à tous !

Contribution du : 08/07/2023 05:10
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Re : Les 6 saisons de Vivaldim
Chevalier d'Oniris
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29/08/2022 18:39
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Bonjour Vadim,

Non seulement je suis un peu jalouse de la trouvaille titrant vos remerciements, mais j'y vois parallèlement une perfide insinuation quant à mon niveau de culture musicale, non Monsieur, je n'ai jamais cru que Vivaldi avait écrit une œuvre composée de 4 saisons car je sais pianoter par cœur mes tables de multiplication sur les doigts et je sais parfaitement que 2 x 2 = 6 ; aussi avez-vous eu raison de m'offrir un dessin pour calmer ma ire, sans quoi je vous aurai vouvoyer à jamais, sans retour possible à l'innocence de nos premiers ébats, figée dans la petite étoile noire qui enfante des cœurs brisés.

Ce dessin est plutôt bien vu, oui, j'aime que la rigueur soit en mesure d'alterner avec la fantaisie, que les lignes soient le plus droites possibles pour atteindre l'astral et l'amour, que nos consciences d'adultes ne coupent jamais le cordon d'avec nos regards d'enfants et qu'un garçon dessine mon prénom avec de douces couleurs pastels, en faisant fi de l'accumulation des saisons et dans la fraîcheur d'un allegro : "au son festif de la musette, dansent les nymphes et les bergers, sous le brillant firmament du printemps".

Bon allez j'avoue, je ne savais pas qu'il y avait des poèmes associés à ces concertos et je profite de cette découverte pour vous offrir la primavera, absente dans votre poésie, mais dont les parfums semblent bien présents dans votre sentimentalité.

Je vous remercie beaucoup Vadim pour cette si charmante attention ;

Et de nouveau je vous souhaite de beaux moments cet été, au plaisir de vous retrouver à l'étomne.

Contribution du : 09/07/2023 17:48
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Re : Les 6 saisons de Vivaldim
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
29/03/2021 22:01
De La Rochelle
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La bonbonne du désespoir a t-elle été entièrement ingurgitée et jetée au tout-venant ? Elle pèse beaucoup moins lourd quand elle est vide, donc transportable, mais elle peut se remplir à nouveau, il faut se garder de la garder avec soi..

Cyrill

Ton retour sur Oniris ne s’est pas fait qu’à grand coup de quatrains incisifs, tu reviens aussi en commentaires. Merci pour celui que tu as laissé sous mon poème.

Pour le printemps absent, il faut voir ça comme une descente, pas aux enfers, mais vers le deuil, ou plutôt le deuil presque impossible. C’est passion pas mort, et pourtant on crève. Dans ce poème l’été serait le début du cheminement, on réalise pas encore, la chaleur, la douceur ambiante et les jours à rallonge nous épargnent encore la nuit. Ensuite l’automne, le vague à l’âme commence à poindre, la température baisse, les feuilles tombent une à une, les souvenirs se font de plus en plus perturbants, la nature semble s'y mettre de concert. Puis vient l’hiver, le déni s’envole, le froid, synonyme pour moi, quand on l’associe à la nature, de solitude, glace l’âme et la pétrifie pour de longues années ; pour quelqu’un comme moi en tout cas, de bien plus solides âmes fourmillent alentours…

Merci infiniment pour ton commentaire, pour l’esprit que tu y as mis, ainsi que pour ta notation qui - tu t’en doutes - me convient très bien…

À bientôt sur Oniris !!!

Contribution du : 18/08/2023 22:51
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