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Les Coquelicots fous : remerciements détaillés
Chevalier d'Oniris
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27/09/2014 00:27
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Les Coquelicots fous

Désolée pour le retard, ces remerciements ont été écrits depuis un bon mois mais je n'ai pas eu le temps de les relire, ni les forces à vrai dire, je suis légèrement fatiguée ces temps-ci, convalescente on va dire.

Je remercie Oniris d'avoir accepté ce texte en publication – ce n'était pas gagné – les lecteurs qui l'ont validé, et l'équipe Jano, Robot et Marimay ; point virgule avant l'avalanche de remerciements à Marimay qui m'a donnée un... (propos modérés)... coup de main sur la mise page qui se rapproche vertigineusement de la version originale.
Grand merci à vous Marimay sans qui ces « Coquelicots fous » n'aurait jamais pu être publié comme je le désirai, et cela aurait été dommage.
Et encore, manque t-il le final : deux fleurs de Coquelicots en calligramme écrites en forme de coeur, trop complexe à reproduire pour l'instant
Les lettres "o et q" qui se joignent devaient être en rouge.

.................................................l..............................l
.............................................e......i.....................e.......i...........
........................................u................c..........u................c.......
......................................q......................oq........................o..
.........................................o.................t......o...................t.......
...............................................c........s.............c..........s...........
...................................................s.........................s................
.......................................................e...................e..................
...........................................................l............l..............
..............................................................l......l
.................................................................l

Ce texte se compose de trois, ou quatre parties, comme vous le lisez.
Des petites formes qui peuvent ressembler à des Haiku et qui sont là pour rendre compte d'une réalité temporelle. (Jfmoods est le seul à se rapprocher de mon intention d'écriture).
« Les blés mûrissent » c'est peut-être banal Automnale, comme il fait chaud en été et froid en hiver, mais cela est essentiel dans le temps du poème.
Ces petites formes qui se terminent sur un sizain (et non un sextain tizef !), sont comme le début de l'amertume de la vie amoureuse.

Les deux quatrains en alexandrins, dont je casse volontairement la structure, sont un hommage à ces soldats envoyés se faire exploser au front pendant « la grande guerre » (bien vu TheDreamer !), et un clin d'oeil à Rimbaud (bien vu tizef bis !). Vous pouvez y lire la traduction de la plante « Coquelicot » en trois langues (anglais, espagnol, italien), avec son final en 4/4
( Je pense à toi/petit soldat).

Et enfin, la dernière partie est une déclaration d'amour à cette plante semée de références : Eluard, Louise Labé, et Mallarmé, dont le premier vers est un pastiche de « L'Après-midi d'un Faune » :

«Ces nymphes, je les veux perpétuer.
........................................................Si clair,»

«Ces Coquelicots fous, je les veux décliner»

J'ai d'ailleurs suivi la métrique utilisé par cet immense poète (pour information, l'ensemble ne devait pas se présenter sous la forme de 9 distiques mais en un bloc de 18 vers, en alexandrins, avec ses cassures en escaliers et ses blancs à l'intérieur d'un même du vers – espaces signifiants – je ferai mieux la prochaine fois ;)

Et là encore, je dois remercier Marimay qui a mis en page cette dernière partie particulièrement ardue à reproduire sur ONIRIS – je ne connais pas encore toutes les possibilités et subtilités de ONIRIS ; à ce propos, je ne sais toujours pas où se cachent les balises couleurs, faut-il les créer soi-même ?

Remerciements

Oui Bleuterre, mêler une écriture « contemporaine » je dirai pour faire court, et un style un peu désuet faisait partie de mon projet.

Papipoete, arrêtez de me couvrir d'éloges, je vais finir par me prendre pour une poétesse, ce que je ne suis pas. Je ne suis qu'une passionnée qui tricote des mots pour en faire des vers, ; quand le pull est plus ou moins réussi, je peux en faire cadeau, sinon je garde les chutes, ça peut servir ;)

Merci à chimen, vous avez saisi « le fond » de ce texte

à corbivan pour votre relecture...

à TheDreamer pour votre référence juste à la « 1ère guerre mondiale »

à RB, tu sais dire les choses essentielles en peu de mots

à tizef, tu as su lire la référence à Rimbaud (elles sont nombreuses dans ce poème : Eluard, Louise Labé, Mallarmé), mais il s'agit bien d'un sizain et non d'un sextain – le dernier vers en escalier fait suite à « Rouge sang... »

à Pivoine qui, tout comme RB, dites tout en deux phrases de commentaire

à leni, oui, les deux derniers vers expriment une double intention : le travail d'écriture et le plaisir des sens, qui peuvent se croiser pour n'en faire qu'un ;)

ah Automnale, vous êtes impayable ! « Si les coquelicots de Pussicat étaient un tantinet moins fous, », ils ne seraient pas de moi ! À vous lire, je soupçonne que ce « charivari » dans ma « vie » n'est pas sans vous déplaire... un peu « usante » la Pussicat ? mais « adorable, pleine de vie, brillante, originale, tendre, un peu folle… et difficile à saisir », ouche, quelle avalanche ! vous êtes profiler pour me cerner aussi bien ? « usante » je retiens : partout où je suis, j'énerve mon monde

à Robot, vous qui m'avez filé un coup de main, et comme dit Brassens, ça ne s'oublie pas... comme Bleuterre, vous avez saisi « ce mélange de classique et de libre, et même de haïku », quant à « l'addiction » que vous évoquez pour cette plante, elle est juste : j'ai des feuilles entières qui lui sont dédiée.

à jfmoods, que dire que je ne t'ai déjà dit : je pense n'avoir jamais lu quelqu'un d'aussi passionné et pointu que toi dans l'analyse de textes ; dérangeant au début, cela en devient indispensable. Personnellement, je le prends comme un hommage au travail de l'auteur. et

et merci à Francis, vous résumez ces commentaires en quelques mots bien choisis.

Je vous remercie tous, chacun pour chacun, pour votre lecture et votre commentaire, votre relecture et votre révision, ce fut un plaisir de vous lire.



Pussicat

Contribution du : 29/08/2015 13:16
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