Bonjour, merci pour vos commentaires, et de nouveau pardon de ce délai pour ces remerciements.

D'abord, comme vous êtes plusieurs à évoquer cela, je voudrais vous parler de la mise en page.
En fait, je voulais présenter le texte d'une façon différente, sur deux colonnes, avec des cases à cocher, de la couleur, une simulation de listes déroulantes, un peu comme quand vous faites vos courses sur Amazon ou Cdiscount.

Cela aurait donné un autre impact au poème, qui aurait pu dépoétiser pour certains et en amuser d'autres… Une question de goût personnel, mais il me semblait que cela m'aurait permis de sortir du traintrain de la poésie toute linéaire.
Malheureusement, l'éditeur d'Oniris a ses limites et cela ne fut pas possible. Voilà pour cette mise en page.

Je voudrais dire aussi une chose à propos de la vulgarité apparente (pour certains) de ce texte. Ce n'est peut-être pas le texte qui est vulgaire, mais ce qu'il entend – probablement de façon maladroite – dénoncer.
Bon, je n'en fait tout de même pas un réquisitoire non plus ! Je l'ai aussi écrit pour m'amuser, et merci à vous qui en avez compris la dérision.


Bipol

Merci d'être toujours aussi prompt.
Je suis comblé de vous avoir amusé et surpris.
Je me dis que c'est tant mieux si cette forme est très éloignée de votre manière, car finalement mon narcissisme supporte peu la concurrence !!!


Bleuterre

Je crois que vous avez tout compris.
Non, aucun paramètre n'est oublié, mais par contre je suis certain que vous pouvez en rajouter à votre guise. Tout cela n'est qu'une question de fantaisie et d'imagination…

Plus hard, plus soft, plus romantique ou plus déjanté… comme je le disais, chacun est libre de ses choix, plus on navigue vers les marges plus les fans deviennent inconditionnels, mais plus leur nombre diminue. Il y a davantage de risques à naviguer près des côtes !


Purana

Oui, vous avez raison, pour arriver jusqu'ici il faut passer par quelques tamis… alors on canalise le fantasme, on le fait passer par quelques écluses, il faut décanter sous peine de déchanter.

Heureux que vous ayez trouvé ce texte poétique car j'ai vraiment essayé qu'il le soit.

Quant à la vulgarité, même potentielle c'est, je crois, une question d'appréciation personnelle et de contexte. La vulgarité se trouve bien trop souvent où on ne la voit pas, non ?

La dérision, c'est ce que j'essaie de pratiquer autant que possible : la vie est trop souvent morose pour qu'en plus on se prenne au sérieux.

Un seul regret, celui de ne pas pouvoir vous "voir" rougir !


PIZZICATO

Merci et encore merci !
Quand je lis votre pseudo, je trouve qu'il s'accorde vraiment bien avec le ton que j'ai voulu pour ce poème ! Comme je le disais au début, j'ai regretté que la mise en page en reste trop classique.


Damy

Je dois dire que j'ai toujours trouvé une grande poésie dans les mathématiques – de la création à l'état pur, les mathématiques ! - et surtout dans leur langage :
paraboles, hyperboles, infini, fractales et autres asymptotes ne cessent de me séduire.

Merci pour votre lecture et votre commentaire, pour le chiffre trois, même s'il paraît encore modeste à certaines.

Pour buc-gen, une pudeur naturelle m'engage à ne pas vous faire rougir vous aussi, alors je vous dirigerai peut-être vers Google, ou mieux, vers l'exploration tranquille quoiqu'émoustillante de quelques fantasmes.

Encore merci, j'adore qu'on me trouve "léger" !


Pussicat

Merci d'avoir lu et commenté.
Je ne comprends pas bien ce "autant", auquel j'attendais un pendant, mais peut-être en l'occurrence n'avez–vous rien voulu laisser pendre…
Je dois vous dire que je comprends vos exigences, les littéraires et les autres, et je vous demande de me pardonner pour cette performance vieille comme le monde, mais qui m'a tout de même coûté.

Oui, à bientôt, je l'espère, pour d'autres aventures !

Promis, je me mets au régime, j'éviterai le gras !


Corbivan

Merci de ce commentaire sensible sur le nageur téméraire.

Pour la grivoiserie, c'est comme pour la vulgarité… qu'est-ce qui sépare vraiment d'ailleurs ces deux termes ?
Je trouve que c'est une question d'appréciation : certains ou certaines ont nommé cela légèreté ou fraîcheur, facilité, créativité, ou même… délicatesse. Alors, allez savoir !

Tout de même, restons sérieux : n'y a-t-il pas une urgence à dire que l'Amour devient un produit de consommation bien marqueté en tête de gondole. Non ?
Vous n'avez jamais senti qu'on pioche ses partenaires comme dans une poche de bonbons qu'on recrache dès que le goût n'est pas le bon ; qu'on cherche l'amour comme on cherche les spaghettis et la sauce bolognaise quand on fait ses courses ?

C'est aussi dans cette dérision relevée plus haut que je voulais ancrer ce poème et pas dans la vulgarité ou la grivoiserie.
Ce n'est pas le texte qui est grivois ou vulgaire, c'est ce qu'il décrit. J'espère que vous adhérez à cette nuance.

Et voilà pour "l'homme" ! qui renouvelle tous ces remerciements.


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La mise en page

Janam a écrit :
En fait, je voulais présenter le texte d'une façon différente, sur deux colonnes, avec des cases à cocher, de la couleur, une simulation de listes déroulantes, un peu comme quand vous faites vos courses sur Amazon ou Cdiscount.

Oui, je pense qu'une simulation de "listes déroulantes" dont le lecteur pourrait même cocher son propre choix, pourrait métamorphoser ce poème en un texte particulier qui mériterait d'être proposé comme un "Laboniris".
Pourquoi n'aviez-vous pas demandé l'aide de notre Philipe ? Il peut tout faire !

Purana

Oui Purana ! Un poème à tiroirs !!!
Un hyper-poème comme un hypertexte, avec des liens partout !
On pourrait s'y promener comme dans un... lupanar ? ou dans une visite libre et non guidée (pléonasme) !
J'en rêve !

Je rêvais même que ce poème puisse être "en croissance", se développer au fur et à mesure de l'inspiration de différents auteurs qui pourraient chacun rajouter et écrire de nouveaux choix. une œuvre collective, quoi !

On m'a proposé de l'aide pour la mise en page, mais les limites de l'éditeur sont ce qu'elle sont. La plus belle fille du monde... ne peut donner que ce qu'elle a !