Retours sur le texte :
http://mobile.oniris.be/nouvelle/laz-le-souvenir-d-une-femme-5511.html

Tous mes remerciements aux membres du CE pour avoir choisi de publier ce texte et aux correcteurs pour leur travail. Merci également à tous les lecteurs et, bien sûr, à ceux qui ont pris la peine de déposer un commentaire.

toc-art : question de sensibilité personnelle, je pense, je ne pourrai pas vous convaincre que « tu comprends ? » change la donne. Vous n’avez pas trop apprécié, je vous remercie d’autant plus d’avoir pris le temps, toc-art.

Salima : je n’ai pas compris : « le narrateur continue à nier que Catherine est un être distinct de lui-même.» Ça me donne l’impression que mon propre texte m’échappe ! Mais je ne vais surtout pas imposer ma lecture. Je ne sais pas si c’est une bonne idée que je commente les commentaires car je divulgue mes certitudes d’auteur.
Merci Salima.

Cyrill : j’aime votre idée de l’« aberration » de la déduction. Décidément mon texte montre plein de choses que je ne vois pas. Désolé de n’avoir pas suffisamment laissé planer le doute… Merci Cyrill.

Donaldo75 : « amoral en diable » me rappelle la question de Salima, « comment fait-on pour vivre après un acte etc. ? ». Je dis ça sans proposer de réponse. Heureux que ma petite histoire t’ait plu. Merci Donaldo !

Volontaire : J’aime beaucoup « il a fallu faire rentrer la réalité dans l’ordre du fantasme, quitte à salement l’amocher ». Je n’ai voulu glacer personne, d’autre que mes personnages :))
Merci Volontaire !

Papipoète : « Je retourne au silence de ma geôle chaque nuit, rejoindre Catherine qui dort », voilà qui est tellement bien résumé, merci papipoète.

Provencao : sans un sens, le moindre, on cherche le sujet et scrute le fameux verbe, donnés à l’inconnu.e, retravaillés sous quelque lumière essentielle pour une farandole de sèmes : j’échoue. Merci malgré tout, Provencao.

Nino :« les yeux de truie » est non pas doublé, mais triplé, rien que ça ! Une fois suffit, effectivement. Je note que le fond semble vous convenir, c’est déjà ça. Je prends note de vos remarques, merci Nino.

Hi Laz, what's up ? J'ai bien ri à ta réponse. Et tu as intérêt à continuer à répondre aux commentaires sinon je te boycotte. C'est ça le plus cool dans l'histoire, papoter après-coup.
Je me disais : il a froid, il pense qu'elle aussi, c'est comme un petit enfant qui ne réalise pas encore que si lui n'a plus faim les autres peuvent avoir encore faim. Il attribue ses sensations à l'autre. Donc il nie l'altérité de Cat. Et puis il nie la mort, puisque le corps et son système nerveux sont détruits, on peut voir l'après mort comme on veut, mais il est certain qu'on 'e peut pas y ressentir les sensations physiques liées à un corps vivant.
Heu... C'est de la logique pure, donc je suppose que tu n'es pas d'accord avec moi, hon Hon HON !!!!!

@Salima. honHonHON !!! Je comprends maintenant ton « nier l’altérité de l’autre ». Mais pour ce qui est de ce qu’on ressent dans la mort, je ne suis effectivement pas d’accord avec toi. On ne sait rien de la mort, rien. Donc tout est imaginable, tout, y compris avoir froid. C’est comme ça que je le vois. Mais dans le cas qui nous occupe, c’est évidemment la culpabilité qui oriente l’imagination du narrateur.

Hmmm. Typique Laz. Et la faim ? Pourquoi tu mets pas du pain et du fromage dans les tombes ? Ce serait très utile pour les bouches des morts, heu les mouches des bords.

Brrr. Tu es de mauvaise foiaaaaaaa !!