Bien tardivement mais sincèrement, un grand merci à tous les commentateurs d’ « Au hasard de la route », Cyrill, Queribus, Papipoete, Cristale, Miguel, Gil, Provencao, Ferrandeix, Emilia, Beaufond,

Beaucoup ont apprécié la forme de cette Gérardine, certains ont ressenti le thème et l’envie de vivre en pleine conscience des moments de complicités sensuelles que l’on sait fragiles et éphémères.

Pour d’autres, le style a semblé trop précieux et l’envie de bien faire, forcée. J’assume ce choix classique qui me vient bien plus naturellement que tout autre même si cela peut paraître démodé.

Merci à chacun d’avoir partagé son point de vue et permis à cet écrit de prendre vie.
Au plaisir de vous lire.

Myo

Bonjour Myo,
Merci pour ce retour sur commentaires.
Vous avez utilisé une forme fixe, l'une de mes préférées également, qui, bien que répondant aux règles de prosodie de la versification régulière (dite classique) est absolument moderne puisque crée au XXè siècle par notre contemporain Gérard Laglenne vivant actuellement en Ardèche. Sur le net on trouve de nombreux articles concernant cet auteur brillant, il a aussi une page personnelle sur un réseau social bien connu..
De plus votre versification respecte parfaitement la mise en forme de ce quinzain décroissant dit "Gérardine".
Un poème réussi à mon avis que j'ai commenté en espace lecture où j'admets être plus sévère qu'en publication directe, aujourd'hui ma note serait supérieure.
J'aime beaucoup votre plume Myo elle s'affine et s'affirme à chaque nouvelle publication.
Au plaisir d'autres lectures.
Cristale

Merci Cristale pour ce gentil retour.

Lorsque j'ai découvert cette forme sur Oniris, j'ai cherché à en savoir plus et lu quelques articles sur l'auteur qui l'a créée.
Il est vrai que cette lente décroissance des vers imprime une atmosphère toute particulière au poème.

Le challenge est donc de faire évoluer votre appréciation même en espace lecture

Vos encouragements positifs ne peuvent que m'y aider.



Myo