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Mercis excessivement longs (comme d'habitude) en retard (comme d'habitude)
Expert Onirien
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Je n'ai pas la prétention de croire que vous êtes tous suspendus à mes publications sur ce forum (ni sur le catalogue, d'ailleurs), mais je m'excuse quand même du retard. Vos commentaires sur ma dernière nouvelle ont été, comme d'habitude, d'une grande générosité.
Si je réponds ici à tous ceux qui ont commenté le titre, je dirais que je comprends rétrospectivement en quoi il laissait à désirer, mais qu'il m'était tout simplement venu tout naturellement dans l'idée que j'avais de rester collée à l'expression "attraper la mort" (morbide ou non). Maintenant, il est vrai que le terme "attrapeur" n'est pas du plus délicat, sauf en termes de Quidditch.
Ce texte est né de la manière bête et délicieuse habituelle. Il était trois heures du matin, je regardais un vieux film à la télé et l'un des personnages, dans l'une des seules scènes du film qui en valaient le coup, sortait en chemise de nuit, pieds nus dans la neige, attendant son amour parti à la guerre, ou peut-être était-il mort... Toujours est-il que son amie arrivait derrière elle et déclarait : "Rentre voyons, tu vas attraper la mort." Et je me suis arrêtée à l'expression, avec la beauté de la neige contre les cheveux sombres de l'héroïne en filigrane. Pour ne pas oublier j'ai noté "attraper la mort" sur un calepin proche de moi, et j'ai éventuellement extirpé une histoire de ça. C'est la petite histoire de ce texte sans prétention.
L'escalade des "bad lucks" comme on dit, certainement quelque peu irréaliste, était certes voulue en un sens mais pas si volontaire que ça, en écrivant sur la mort je suppose que j'avais besoin de glisser la mort un peu partout. Mais j'ai toujours eu une tendresse pour ce genre de choses-là, en les racontant je suis toute molle, je me sens mieux qu'en écrivant une histoire d'amour, en fait. Mon personnage, je l'ai aimé très fort.
Mais bon, pour le côté irréaliste, je me disais qu'à la base, le seul décès d'un proche que j'avais connu à date, c'était celui de mon chat. Alors mon approche de la mort semblera sans doute bien naïve à plusieurs.
Aller, assez avec l'introduction, sinon ça ne finira jamais.

Neojamin : Merci beaucoup pour vos commentaires constructifs et bien décortiqués. L'impression que j'en fais trop, comme d'habitude, est tout à fait compréhensible, et vous avez su cibler des passages qui, je le sais, s'ils n'avaient pas été écrits de ma main et en connaissance de cause, m'auraient également semblé trop poussés. Merci, donc, pour votre honnêteté toujours bien utile pour les relectures. "La grâce de mourir comme la farine". C'est exactement ça. On ne sait plus la légèreté, et dans la mort sans doute on ne l'a jamais sue. À une prochaine fois.

jaseh : Quel bonheur de lire votre commentaire ! Il est truffé de poésie et d'authenticité, je vous remercie de m'en faire cadeau, et de vos compliments si généreux. Je suis heureuse et touchée de vous avoir fait vivre un bon moment. J'ai profondément aimé mes personnages également, encore plus que d'habitude. Je serais bien restée un petit moment de plus avec eux aussi ;) Merci !

in-flight : Je suis heureuse que vous notiez quelque chose d'aussi original que la mise en page : on n'hésite pas à la critiquer quand elle est en forme de pavés mais on n'y pense pas vraiment quand on l'apprécie. Je suis heureuse que vous trouviez ma manière de faire fluide, en fait les sauts de ligne m'aident à écrire, depuis bien longtemps. Ils me laissent respirer aussi. Je vous remercie beaucoup pour vos compliments et également pour votre effort de compréhension du titre bien con, juste pas assez inspiré pour se détacher de l'expression directrice.

corbivan : Quelle gentillesse et quelle douceur dans votre commentaire même. Donner une voix à ceux qu'on ne pense pas d'ordinaire à faire parler, oui, c'est bel et bien l'une des choses que j'aime le plus dans l'écriture. Pas dans le sens d'une littérature engagée, comme vous l'aurez compris, mais plutôt pour laisser des gens normaux montrer que personne n'est normal. Gabrielle Roy, l'une des plus grandes écrivaines de langue française, a écrit qu'un jour où elle se promenait, une nouvelle est née d'une femme qui jardinait, relevant la tête pour lui lancer avec le regard ce que peut-être chaque être humain demande silencieusement à l'écrivain : raconte ma vie. Tendresse, oui, c'est le mot, quand je pense à cette dame, à toutes ces dames, à tous ces hommes qui, un jour, croisent le regard de quelqu'un sans parler. Merci d'avoir si bien cerné cet aspect, je suis flattée et heureuse qu'il transparaisse. Le recueil se forme, et, si possible, sera proposé à des maisons d'édition avant la fin de l'été. Mais je ne correspond pas vraiment au matériel demandé au Québec en ce moment, alors je n'espère pas trop. À la prochaine !

Pepito : Pepito, que je délaisse depuis deux (excellents) textes ! Désolée, premièrement, et deuxièmement, je pense n'avoir jamais rencontré en ligne quelqu'un qui ait à ce point le sens de l'humour à l'onomatopée que vous. Quel fou rire de vous lire, à chaque fois :P "La pensée de la vie", plutôt que "la vie", c'était pour évoquer le regard du petit garçon, et non les faits mêmes : le fait de penser à sa grand-mère survivant telle qu'elle était le traumatisait plus que l'idée de la mort. Je sais, c'est boiteux, car je suis moi...
Pas de kleenex, mais je serais preneuse de blagues. À un moment donné, Paf le chien est dans la rue. Y a une auto qui passe. Pis paf le chien. Content ? :P
Merci, comme toujours, pour vos gentils et constructifs commentaires, toujours aussi utiles. J'espère que la toux a passé et qu'aucune crise cardiaque ne s'est prononcée
À la prochaine (promis, je cesserai de me la jouer indigne avec vos textes :P).

Francis : Je suis très heureuse et honorée d'avoir pu toucher votre sensibilité, trouver les bons mots pour vos perceptions. J'espère que les souvenirs que ça a fait "resurgir" n'étaient quand même pas trop pénibles, autrement je me sentirai coupable. À la prochaine, j'espère !

Automnale : J'espère ne jamais être lue en tant que récipiendaire d'un véritable prix littéraire, je crois que je ne survivrais pas à une inspection plus critique :P Mais je suis très heureuse que vous soyez venue commenter, et bien évidemment flattée que vous ayez tant aimé. Les fans, en écriture, c'est bien vague. Je ne me vois pas comme ayant des fans, mais comme ayant des miroirs littéraires particulièrement assidus, et ultra gentils (d'accord, selon plusieurs dictionnaires, ce sont des fans). C'est donc sans aucun sentiment blasé que je vous "accueille" et souris largement chaque fois que je relis ce si généreux commentaire. "Étonnante, brillante"... le savais-je ??? :P
Mes idées, je vais les chercher comme il se doit, le plus à fleur de peau, à fleur de tête, à fleur de quotidien possible. Faut dire qu'elles finissent pas mal toutes par se ressembler, alors côté originalité on repassera, mais voilà : on accroche sur une réplique de film et on reçoit un merveilleux compliment. Merci infiniment.

widjet : Je suis également plus satisfaite du résultat dans mes textes courts. Une "distilleuse", oui, je préfère nettement ça à une "compileuse". Le passage concernant le cancer, vous ne pouvez pas savoir à quel point j'ai eu envie de le changer en centrale en outrepassant mes droits d'auteur :P Je pense qu'il faut publier un texte pour voir ce qu'on aurait dû y changer, à plusieurs égards. Plusieurs passages lourds sont déjà supprimés, mais certainement pas tous, parce que chez moi ça dégoulinera pour l'éternité Merci à vous, une fois encore.

Mare : Merci beaucoup pour votre passage et votre analyse. Je suis heureuse que la fin vous ait semblé percutante. Ses motivations, à ce moment-là, sont vraiment de l'ordre de celles d'un enfant. Je ne suis pas psychologue, mais un côté "stress post-traumatique", resté en lui et accumulé au long des morts, le fait craquer, ironiquement dans la certitude complète. Il veut réellement sauver Amélie, et non se couper lui-même. Comme un enfant, il ne voit que le résultat, pas les conséquences, et pas d'autre option de résultat (il ne pense pas à sa propre mort passé le moment de "l'attrapage", il ne pense pas à la tristesse qu'elle pourrait avoir si elle survit, il ne pense pas qu'elle peut ne pas survivre après ce qu'il aura fait). Merci infiniment et à une prochaine fois !

Marite : Si je peux vous faire renouer avec un aussi beau genre littéraire que les nouvelles (sur ce site du moins) c'est déjà un honneur. "Anesthésié" est un qualificatif fort mais vrai, je pense. Il y a une forme d'anesthésie de la douleur, par le froid de la neige, la légèreté de la farine, chez mon personnage, et ça s'est sans doute retrouvé partout dans mon texte. De toute façon il est rare que j'écrive de manière plus crue, ce qui peut être un défaut.

hersen : Merci beaucoup pour ce nouveau passage. Moi et "style épuré", ça va rarement ensemble, dans le sens où vous l'entendez, je crois. Comme c'est un Axel adulte qui raconte son enfance rétrospectivement, je me disais... Mais le ton enfantin est si agréable à écrire qu'il aurait sans doute valu le coup de me placer vraiment dans sa tête à ce moment-là. Un grand merci et à une prochaine fois !

Mauron : Je n'avais nullement pensé à cette ambiguïté avec les temps ! Sérieusement c'est une révélation. Pour moi, il racontait au moment où il allait prendre les pilules, ou quelque chose comme ça, autrement dit il n'y avait presque que la dernière phrase qui était dite au présent sans l'être. Je n'y ai guère pensé, je l'admets sans mal et c'est vrai que ça se voit. Je devrais sans doute mettre ma première phrase à l'imparfait, c'est du bonbon ce commentaire ! Je vous remercie beaucoup pour vos compliments (pas de quoi être jaloux trop longtemps, selon moi, mais bon :P) et pour votre commentaire constructif.

alvinabec : Ah, les métaphores qui pleuvent, un souci éternel. Mais merci beaucoup pour votre appréciation, pour avoir pris mon texte tel qu'il venait, tout en accumulations. Je ne connaissais pas cette écrivaine de chez moi, je me plongerai un brin dans ses œuvres, si vous en avez une à conseiller n'hésitez pas... Merci infiniment pour votre passage et votre franchise.

CharlesH : Copain du "bon" côté de l'Atlantique, bonjour. Merci de vous être arrêté, même en quatorzième et même en Sentimental/Romanesque. La naïveté comme protection face à la mort, exactement. Mais aussi le sentiment de pointillisme, de s'attarder à des détails (comme une expression hasardeuse) pour ne pas ressentir le tout, pourtant instillé dans chaque mot du détail. Je suis heureuse d'avoir eu votre avis. À une prochaine fois !

Anthyme : Quelle gentillesse dans vos commentaires si brefs mais si parlants. Le courage de continuer, de continuer à regarder, d'accepter qu'on oublie, qu'on oublie toujours, y compris qu'on oublie. Je vous remercie infiniment pour votre profondeur toute en humilité.


Je ne sais pas trop quand je proposerai un nouveau texte, par conséquent je ne sais pas trop quand j'aurai à nouveau la chance d'être publiée, corrigée par (admettons-le) la plus génialissime équipe de correction intercontinentale du monde et lue par d'aussi charmants et sérieux lecteurs et commentateurs, mais je pense m'adonner un peu plus au jeu du commentaire dans les prochains jours. Je me sens toujours mal d'être si bien commentée et cotée en laissant si peu mes impressions, pour ensuite venir me jaser toute seule sur ce forum pour la longueur d'une Bible...

Je retrouve donc bientôt certains d'entre vous sous leurs textes avec le plus grand plaisir.

Un merci gigantesque à tous ces oniriens qui m'ensoleillent l'écran depuis plus d'un an (ce qui compense pour mes insomnies et le fait que je dorme en fait toute la journée en manquant par conséquent lamentablement le soleil).

Alice

Contribution du : 21/06/2015 11:37
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Écrire est un acte d'amour. S'il ne l'est pas, il n'est qu'écriture.
-Jean Cocteau
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Re : Mercis excessivement longs (comme d'habitude) en retard (comme d'habitude)
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Alice au pays des merveilleuses nouvelles, Je vous promets que, dorénavant, je ne dirai plus que je fais partie de vos fans ! Je dirai, penserai et écrirai que je fais partie "de vos miroirs littéraires particulièrement assidus, et ultra gentils" ! (Il va falloir, quand même, que je note cela sur un petit bout de papier !). Merci à vous, chère Alice, de m'accueillir...

Contribution du : 21/06/2015 12:44
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Re : Mercis excessivement longs (comme d'habitude) en retard (comme d'habitude)
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Chère Automnale, je ne m'attendais à rien de moins de la part de quelqu'un capable de choisir un si joli pseudo. C'est entendu, notez bien je compte sur vous : je vous invite également à promulguer l'expression, parce que même moi je ne pense pas être capable de la réécrire exactement pareille à l'avenir :P

Un nouveau merci pour placebo : Oui, je suis vraiment gâtée côté commentaires, c'est le cas de le dire. Ils comprennent souvent mieux mes textes que moi :P Les répétitions venaient bien tout droit d'un désir d'évoquer l'enfance, qui s'accroche tantôt par naturel, tantôt par amertume, je suis heureuse que vous l'ayez soulevé. Merci pour votre passage et pour votre appréciation !

Contribution du : 21/06/2015 14:14
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Re : Mercis excessivement longs (comme d'habitude) en retard (comme d'habitude)
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De À même l'écorce des peupliers
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Bonjour Alice,

Il faudrait que je rattrape mon retard sur tes textes...

Je viens de lire tes remerciements et j'avoue avoir vaguement souri à ce passage...

"j'ai éventuellement extirpé une histoire de ça"

Cependant, j'avais tort en pensant à une traduction machinale de l'adverbe. Il semblerait que l'anglais ait finalement imposé ici son diktat au français.

Je ne connaissais pas l'expression "connaître à date". Merci pour ma culture et à bientôt !

Contribution du : 21/06/2015 14:15
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Re : Mercis excessivement longs (comme d'habitude) en retard (comme d'habitude)
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Coucou jfmoods !

Pas de presse, pas de presse, je suis toujours en retard sur toutes les nouvelles.

Navrée pour le "éventuellement", parce que je crois deviner que ça vous chagrine, même si je ne suis pas de ceux qui pensent que le français se fait manger par l'anglais (étrange position pour une Québécoise amoureuse de la langue, mais bon). J'évite la plupart des anglicismes au quotidien, mais on n'est jamais à l'abri de la langue influente du moment. Il fut un temps où c'était le français... ;)

Je ne savais pas que ce n'était qu'ici qu'on disait "à date" pour dire "jusqu'à maintenant". Ça a sans doute aussi à voir avec l'anglais "to date". Ou "up to date"... Enfin. C'est sans doute très oral, j'ai tendance à baisser ma garde en forums. "À ce jour", donc. :P

Contribution du : 21/06/2015 14:32
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Re : Mercis excessivement longs (comme d'habitude) en retard (comme d'habitude)
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Un coucou à bigornette, très courageux d'être sincère après cette avalanche de positivisme (que je ne prétends certainement pas avoir pleinement méritée, alors vous avez très bien fait). Je suis très heureuse d'avoir votre avis, et vous avez bien exprimé votre ressenti. Je comprends en quoi le tout vous paraît intangible, émoussé. Il est vrai que j'ai une tendance à écrire en fable. Sans doute le manque de réalisme et mon mode d'écriture plus imagé brouillent-ils le contact de bien des lecteurs avec mes personnages (vous n'êtes certainement pas le seul), et cela vous aura marqué particulièrement pour cette nouvelle. Je ne verrais pas mes personnages comme des saints à qui l'on ne peut rien reprocher, mais je peux comprendre qu'on n'ait pas l'impulsion de vouloir leur parler, leur apporter quelque chose dans le cœur, et que l'impression qu'ils sont intouchables et figés dans une prétendue perfection en résulte.
Votre ressenti n'est donc absolument pas faux ou trompeur, il est honnête et compréhensible, et je vous remercie beaucoup de me l'avoir communiqué. Peut-être une prochaine fois !

Contribution du : 22/06/2015 01:49
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Re : Mercis excessivement longs (comme d'habitude) en retard (comme d'habitude)
Expert Onirien
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Et un rappel pour Jaimme, quelle belle surprise je trouve en me connectant de si bon matin. Merci beaucoup pour votre commentaire, même si je suis un brin tristounette que vous n'ayez pas aimé l'une de mes phrases les plus "vivaces" (de temps en temps, il y en a une qui est particulièrement imagée dans notre tête quand on écrit, et vous avez trouvé (et critiqué) le jackpot !) ;)
Pas grave, je m'en remettrai.

Je pense que je suis beaucoup plus faite pour les nouvelles que pour les romans, ça, ça ne fait aucun doute. Qui m'endurerait jusqu'au bout ?

Merci infiniment et à une prochaine fois

Contribution du : 22/06/2015 14:11
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