Merci beaucoup aux acteurs en tout genre en tout masque à tous ceux qui font vivre un site tel que celui-ci, un beau site au demeurant, avec ses défauts, comme toute agrégation ou société humaine virtuelle et physique, un beau site car des mots s'y échangent, des mots de poésie ils sont disséminés, s'entrecroisent.... il y en a partout.
Je ne parle évidemment pas de mon texte mais je m'exprime de manière générale.

J'ai été vraiment touché par les mots écrits par vous sous mon texte, des mots justes, émouvants, bruts, sincères. Du moins c'est ainsi que je les conçois. Que j'aime à les concevoir.

Alors merci beaucoup à

Cyrill
Eskisse
papipoete
hersen
Provencao
EtienneNorvins
Cat
A2L9
Hiaraeth
Myndie

pour vos mots qui forment une direction, une interrogation et qui démontrent une manière de lucidité.
La lucidité est bien rude, je rejoins Char en y voyant plus un soleil froid, un astre friable ,asséché mais toujours ressourçant car quasi non- épuisant, solide comme l'eau de nos rivières.

Bien à vous.

Pouet

Bien à toi aussi, Pouet, très contente de te revoir par ici !

Même si je n'ai pas commenté je fais irruption, votre retour fait du bien à beaucoup d'Oniriens Pouet c'est certain, moi le premier.

Un seul poète vous manque et tout Oniris est...

Non.. pas question de dépouiller Lamartine je m'arrête là !

Prenez soin de vous, et bon retour.

Merci hersen et dimou pour vos mots fort gentils. C'est vrai je suis moins présent sur le site ces derniers temps... les vagues et leurs creux.... et puis le partir est aussi le plaisir du revenir.

Merci Pouet, pour ce messsage plein d'élégance, de sensibilité et d'humilité.
Je fais partie de ceux qui ont toujours grand plaisir à retrouver ta poésie, alors j'espère que les vagues auront moins de creux pour toi à l'avenir.

J'ai toujours sur moi un petit nécessaire de couture pour les accrocs de toute nature, mais nécessité ne fait pas loi.
J'aime aussi la frange de soi et l'épi récalcitrant.
Au plaisir, Pouet !

Merci Myndie c'est sympa j'apprécie aussi ta poésie tu le sais.
Sinon oui les vagues... la vague de d'Hokusai... à l'âme ou à l'ivre, au mot s et à la vie. Les vagues où l'on vogue sont celles qui portent nos instants et fixent le moment présent, forcément bénéfique puisque là de présence.


Cyrill, faut y aller au sécateur ou au burin, à la foreuse, au katana...à grands coups d'insomnie et de trépanation de gens à qui on parle mais qui n'existent ailleurs que dans nos têtes rouges, le réel est par ciel, partiel et béant.
Sûrement ne pas choisir entre la lucidité et l'indifférence.