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Remerciements autour de mon poème Brume
Organiris Animodérateur
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Je remercie sans réserve les membres du comité éditorial d'Oniris, dans un geste de reconnaissance qui est plus qu'une simple convention polie.

Je voulais d'ailleurs signaler que mon absence du site ces deux dernières années était sans rapport avec un quelconque ressentiment vis-à-vis de son contenu ou de ses intervenants. Elle a été due essentiellement à des turbulences qui sont en grande partie apaisées aujourd'hui.

***

À l'adresse des commentateurs qui m'ont fait l'amabilité de me donner leur ressenti, je veux également dire tous mes chaleureux remerciements.

Corto - Vous avez flotté dans ma nappe de brume, dans son incertitude et dans mon espérance dès l'espace lecture. Nous avons été bien en phase dans ce regard, c'est un vrai plaisir de s'y être croisé.

Cher Jfmoods, mon poème s'est réjoui de pouvoir être commenté par votre regard expert et amical. Vous avez une façon si particulière de déshabiller vos sujets sans abîmer leur pudeur. Vous analysez le fond de la forme et la forme du fond sans tout démonter, sans rien casser ; c'est un art à part entière.
D'ailleurs, je dois vous avouer qu'avant d'être passé devant votre œil avisé, j'étais un peu inquiet. J'ai pu parfois craindre l'écorchure nécessaire à la mise à jour du squelette et de ses chairs ; mais en fait, ça ne fait pas mal, ça fait même du bien… de se sentir compris. Je crois même que vous êtes allez un peu plus loin que ce que ma conscience me disait ; j'ai vu ainsi que si le marais est le lieu où je vis physiquement, il n'est pas sans quelques convocations psychiques. Je vous remercie chaleureusement de la délicate pertinence de votre analyse.

Papipoete - Je suis heureux d'avoir pu vous retrouver, je suis aussi un papy poète, nous avons déjà échangé. J'aime votre façon, singulière, de réécrire dans vos mots, comme en écho, une sorte de contre-poème qui s'accole à l'original. C'est sympathique et très empathique.
J'ai beaucoup aimé votre image " Même par un soleil radieux, la brume peut nous envahir, et faire de notre vie un roc immergé qui accroche tout ce qui passe devant ses yeux".
Je me réjouis d'avoir pu vous booster dans un matin un peu morne.

Domi - La volonté de faire saillir la lenteur de la scène et la souplesse des émotions qui viennent s'y percuter, était la base qui permettrait de dire l'état d'esprit du moment. Je suis heureux que vous ayez été quelques uns à l'apprécier. Et effectivement, une interligne aurait été plus appropriée entre les vers de la première strophe. D'ailleurs, c'était dans cette démarche que dans ma version originale je les avais regroupés en vers de deux mots avec des espaces importants entre eux. Et puis nous avons globalement eu le même ressenti, tant mieux.

Hersen - Comme avec papipoete, je suis heureux de vous retrouver par le biais de mon poème. Même si vous avez dû "patienter" jusqu'à la deuxième strophe… Quand l'image qu'installent les premiers mots parle de suite au lecteur, je comprends que c'est plus propice à l'émotion. Du coup, c'est au filtre de ce petit suspens émotionnel que vous m'avez rejoint. Aussi vous dites avoir eu à batailler entre la brume et le feu, vous êtes donc passé dans la même "bousculade" existentielle que je voulais évoquer, celle des mots de pierre…
Si bien que pour en revenir au début, j'aurais pu, oui, remonter la première strophe dans l'incipit pour tout de même souligner la langueur etc… et démarrer à partir de "La nappe de brume serait si belle si…"

PIZZICATO - Mélancolie, vous êtes le premier à dire le mot qui inonde mon poème. Tsunami au ralenti, presque doux, qui offre l'espérance comme respiration. Oui, merci !

Lucilius – Dommage que ces vers en un mot vous aient pris à contrepied dès l'entame. En fait, par rapport à cette question soulevée plus haut avec Hersen, pour relater la lenteur dans une épure puissante et prégnante, il y a problème à l'écrit. Comment marquer le silence ? En tant que tel mais aussi dans sa durée, sa discrétion, sa lourdeur,… En poésie libre, on dispose de voies diverses, allant jusqu'aux parenthèses précisant, à la façon d'un synopsis, comment exprimer ce temps-mort. Dans ce texte, j'ai pris le parti de scinder l'avancée en vers minimaux, ne butant sur aucune ponctuation, à la lecture les respirations devront être amples pour induire cette langueur. L'incipit était sensé, peut-être pas assez fortement, souligner l'atmosphère alentie.

Eki – Vous m'avez bien suivi, j'en suis ravi. Avec moi, vous redites l'espoir "La brume toujours se lève comme un espoir qui s'entête..." à l'issu d'un même trouble, d'un même doute…

A tous, bonne fête de nouvel an.

Contribution du : 26/12/2018 16:09
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Re : Remerciements autour de mon poème Brume
Organiris Animodérateur
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Bonjour Davide,

Merci beaucoup de rétro-activer ce poème par ton commentaire très appréciant, j'en suis très touché. Et puis tu lui as permis d'arborer une petite plume, il en est tout guilleret…

Aussi ce qui m'est très important, c'est ta phrase qui le résume avec brio : " Comme si la vie venait de prendre conscience d'elle-même, de sa beauté, de sa force et de sa fragilité...". Je le voulais humble et sobre, au risque de le rendre si discret qu'il pouvait en devenir transparent pour le lecteur, tu me rassures enfin sur ce plan, à la suite des autres commentateurs.

Je suis ravi d'avoir pu te toucher par un poème qui, le dis-tu, "illustre tout ce que je recherche en poésie, tout ce que j'aime.".

À bientôt.
Vincente

Contribution du : 25/10/2019 10:23
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