Je voudrais remercier ici les lecteurs et commentateurs qui se sont arrêtés sur mon texte. J’ai pris notes des remarques qui m’ont été faites. Je reconnais les quelques imperfections de métrique signalées ; je les trouve trop évidentes et faciles à éviter. C’est dire que la prochaine fois avant d’envoyer un ancien poème, il faut que je le revisite.

Ioledane : Merci d’avoir nuancé votre appréciation en indiquant aussi les vers qui vous ont plu.

Pimpette : Votre joli compliment me touche. Ravie que vous ayez apprécié.

Robot : Juste merci pour votre objectivité.

Leni : votre visite et votre lecture me font plaisir, ainsi que votre commentaire qui ne tarit pas de compliments, ce qui me touche et m’encourage. Je vous en remercie du fond du cœur.

PIZZICATO : Tout à fait d’accord avec vous, la liberté d’expression n’est pas chose acquise dans beaucoup de pays, les freins en sont nombreux, et le plus dangereux, à mon sens, est celui du poids des mentalités archaïques qui sévissent toujours. C’est pour ça que l’écriture pour beaucoup de gens(les femmes en particuliers) reste un excellent exutoire au mal-être de la vie, elle permet sinon de s’en libérer, du moins de l’apaiser. Merci de votre ressenti.

Alexandre : je lis toujours avec beaucoup d’intérêt vos commentaires dont j’apprécie la justesse et la pertinence. Ne soyez surtout pas gêné de faire les remarques qui s’imposent, tant que le but n’étant pas de dévaloriser le travail fourni -comme le font malheureusement certains commentateurs-, mais au contraire d’attirer l’attention sur les maladresses afin d’aider à mieux faire. Sincèrement, merci.

Hantermoz : contente que vous ayez apprécié le fond, je salue votre humanité.

Arielle : merci de partager les idées de mon texte. Pour ce qui est du choix des alexandrins et non de la poésie, je crois que c’est question de goût ( j’ai un faible pour la poésie classique et la plupart de mes poètes préférés sont des classiques) et de formation académique reçue. J’aurai aimé en effet, comme vous le suggérez, opter pour la forme libre du vers pour accentuer l’idée de délivrance, mais je ne suis Arielle qui réussit ce genre de poésie !!

Brisemarine