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Remerciements et retours sur l'Indien
Apprenti Onirien
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27/03/2020 06:34
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Bonjour à tous.

Je reviens ici pour rebondir sur quelques commentaires à propos de mon deuxième poème : « l’Indien ».

Un remerciement collectif, tout d’abord, qui s’adresse en premier lieu au Comité pour sa sélection, et à vous tous pour avoir pris le temps de me faire part de vos impressions. Je savais, en soumettant ce texte, que ce genre de « petite histoire » (ou petite forme épique) était un genre un peu désuet et moins prisé que d’autres, mais je suis heureux de voir que les commentateurs l’ont, dans l'ensemble, apprécié.

Permettez-moi maintenant de réagir plus en détail :

Anje, merci pour votre message. J’adore John Wayne, mais peut-être pas pour le rapport aux indiens que ses films suggèrent (encore que The Searchers soit un film complexe à ce sujet…).

Sodapop, je suis heureux d’avoir éveillé votre imagination. Faire naître des images dans l’esprit du lecteur était bien sûr l’ambition de ce texte. A propos de la longueur, il me semble que huit ou neuf strophes sont encore raisonnables, même si je sais que c’est un peu risqué. Mais il me semblait nécessaire de poser le cadre, de mettre en place l’atmosphère sereine et la progression lente sur le fleuve pour mieux faire ressentir le choc que va éprouver cet homme.

Pouet, merci pour votre jugement sur le caractère «juste…, simple et coulant » du texte. J’attache toujours beaucoup d’importance à la fluidité de mes textes (parfois au détriment de la métrique, pas trop malmenée dans celui-ci je pense).

Donaldo75, je suis heureux que ce texte ne vous déplaise pas malgré son genre. Je suis, je l’avoue, très friand de contes, d’apologues ou de petites histoires en vers, à condition qu’elles racontent des situations et non des sentiments. C’est l’histoire – fût-elle anecdotique – qui doit, selon mon goût, faire naître l’émotion. C’est ce qui explique ma réticence devant la poésie lyrique dont j’ai toujours l’impression qu’elle me dit ce que je dois ressentir. Mais je n’érige en aucun cas mon opinion en avis péremptoire, ni en jugement définitif. Et je suis ravi d’avoir fait naître une vision cinématographique lors de votre lecture. Merci pour votre message.

Merci papipoete pour votre commentaire. J’ai en effet essayé de retrouver le ton de certaines lectures d’enfance sur l’Ouest et les indiens, mais sans occulter le drame final de la condition amérindienne.
Par ailleurs, votre remarque sur la virgule après « flammes » me permet de préciser mon choix de ponctuation. J’écris souvent mes poèmes, dont celui-ci, pour une mise en page centrée et non alignée (je ne crois pas qu’une présentation selon ce format soit possible sur Oniris). Je m’en tiens donc à la règle que m’avait indiqué un typographe : il est de bonne pratique esthétique de ne pas faire apparaitre de ponctuation en fin de vers lorsque la composition est « non ferrée » (non alignée, souvent centrée), sauf pour la ponctuation expressive (points d’exclamation, d’interrogation et de suspension). J’ai donc pris cette habitude de confier au rythme naturel du vers le soin de marquer la ponctuation grammaticale (virgule, point) en fin de vers, sans la faire figurer.

Emilia, merci pour votre aimable commentaire. Je suis en accord avec vous, les indiens furent victimes des envahisseurs, mais ils n’étaient pas que victimes. D’ailleurs le texte ne désigne pas les coupables. Les guerres inter-indiennes furent aussi sanglantes, bien avant l’arrivée des européens (voir plus bas ma réponse à Ascar).

Eclaircie, je vous remercie pour votre appréciation, et particulièrement pour votre remarque sur la métrique fautive d’un vers. Ah, cette diérèse sur « réjouir » (comme sur « jouir », de « gAUdere », bien sûr), je l’avais oubliée !
Je ne saisis pas bien en revanche votre remarque regrettant de ne pas connaître « les produits de son troc », puisqu’ils sont explicitement listés dans la deuxième strophe : « parures, miroirs, outils de fer » en échange de « fourrures ».

Ascar, c’est moi qui vous remercie, particulièrement pour les compliments sur l’écriture. Et comme évoqué plus haut dans ma réponse à Emilia, il est tout à fait possible que les coupables soient d’autres indiens et non des « visages pâles ». Les Shoshones (c’est à ces amérindiens des Rocheuses que je pensais) ont été massacrés par l’armée US (massacre de Bear River), mais aussi par les Cheyennes ou les Arapahos. L’histoire n’est pas manichéenne.

Contribution du : 25/05/2020 09:51
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Re : Remerciements et retours sur l'Indien
Visiteur 
Oupsss, au temps pour moi, veuillez m'excuser, je n'avais pas encore détaillé l'ensemble du poème lors de cette remarque, je retournerai lire.

Merci de votre retour.

Contribution du : 25/05/2020 10:06
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