Bonjour à toutes et à tous et merci à Oniris d’avoir inclus ce travail poétique sur l’embrassement d’un duo de rimes opposées tant dans leur sonorité que dans leur fréquence d’apparition en poésie.

Il est vrai que puiser dans un groupe de mots restreints peut aisément épuiser le lecteur. Merci d’avoir validé la difficulté technique Laurent-Paul.

Concernant le pauvre amant « éplorer », il s’agissait de jouer sur le fond et la forme de l’histoire. Tant pis pour lui, Dimou mais un participe passé mal accordé peut être fatal à tout projet romantique surtout lorsqu’il devient la preuve d’une préméditation là où ne valent jamais mieux que les hésitations imparfaites et pardonnables de l’improvisation.

Désaccord dans la rigueur des rimes papipoete comme dans la rigueur grammaticale du mot doux glissé dans le creux de la main au vers 10 qui pointe le moment de bascule de la romance dont l’acmé fatale est la preuve écrite rendant rédhibitoire l’accord entre ces deux êtres.

Je l’admets, c’était un peu trop cérébral et « tarabiscoter » cette fois encore mais merci d’avoir apporté vos précieux commentaires,


Roxanne