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Remerciements pour "Le Pont"
Onirien Confirmé
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11/10/2018 12:14
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Pour commencer, merci à tous pour vos gentils commentaires.
Et merci aussi à ceux qui ont accepté mon poème et pour leurs commentaires privés. Je vous en suis très reconnaissante.

Sarah

De manière plus personnelle :

lucilius a écrit :
Un petit "couac" de prosodie dans la 2ème strophe de cette poésie par ailleurs bien équilibrée.
J'ai surtout apprécié l'apaisante fluidité de la toute dernière strophe.


Bonjour Lucilius,
Eh oui, je ne suis qu'une sotte. J'ai inversé "alors" et "seront" en recopiant d'où cet abominable e non élidé à la césure. Et pas moyen de corriger une fois le texte posté ! Tant pis pour moi, je serai plus attentive la prochaine fois.


domi a écrit :
Dommage le 6ème vers qui, en classique, compte 13 pieds à cause du "e" de tristesse.
La métaphore est originale, bravo, c'est un bon poème.
"Qui veut, de mon Éden, éradiquer la rose ;" est magnifique !
Au 4ème vers, "je le veux...", j'aurais entendu "si tu veux..." mais c'est votre poème.


Bonjour Domi,
13 pieds... c'est trop ! Comme je le dis à Lucilius, c'est de la faute à mon incorrigible distraction, mais bon... ce qui est fait est fait.
J'essaierai d'être plus attentive la prochaine fois, mais ce sera difficile


Gemini a écrit :
Très bien construit ce pont. Belle gradation entre le fleuve de l'exergue, la rivière et le filet d'oued.
Quelques remarques : Il y a une erreur de césure au vers 6, rattrapable en mettant "alors" à la suite de "tristesse". Et j'aurais mis "Emportés par" v7.
Je ne sais pas s'il était nécessaire d'amplifier l'emphase (naturelle pour un texte lyrique) par des majuscules sur "Amour", "Esprit", "Lac" et "Sorcier".
Mais c'est un très bon texte, bien écrit et avec de belles images.


Bonjour Gemini,
"Facilement rattrapable" effectivement... surtout que c'est ce que j'avais écrit à l'origine et que j'ai mal retranscrit ! Mais bon, il est trop tard une fois que l'on a posté.
Il me semble que "emporté par" implique l'idée que l'on est dans l'eau. Mais on se trouve sur la barque de Charon, mais je me trompe peut-être.
Quant à Amour et Esprit, c'est vrai que la majuscule n'est pas nécessaire mais pour le Lac au Sorcier, c'est une région du Québec, d'où...


Corto a écrit :
Mettre sa volonté et son énergie à construire du solide, voici une belle ambition: "Je le ferai solide, en pierre, en fer, en bois,
Ce petit pont jeté par-dessus ma rivière ;
J'y mettrai, s'il le faut, l'art d'une vie entière
Pour te rejoindre un jour : je le veux, c'est mon choix !"

Définir son horizon comme basé sur un amour durable voilà un bon complément: "Pour que l'arbre d'Amour jamais ne se nécrose".

Une philosophie de vie à encourager.
Bravo.


Bonjour Corto,
Que dire ? Si ce n'est merci.


PIZZICATO a écrit :
Il ressort de cette poésie une ferme pugnacité envers la vie, affronter ses écueils " je le veux, c'est mon choix ! " .

" Moi, je ne cesserai d'arracher le roncier
Qui veut, de mon Éden, éradiquer la rose ". Une image intéressante.

Ce " Pont ", métaphore origininale pour illustrer le désir d'atteindre la sérénité à deux.

Un beau quatrain final.


Merci Pizzicato de m'avoir si bien comprise.

VictorO a écrit :
Le fleuve et la vie. A priori, une métaphore classique. Mais il y a le pont, les plantes, l'amour. Belle dernière strophe : de l'humilité avec "un filet d'eau fragile", et de l'espoir comme point d'orgue avec ce jardin merveilleux et cette oasis tranquille.


Bonjour VictorO,
"La vie est un long fleuve tranquille"... oui, c'est classique. Mais il fallait bien ce cours d'eau pour justifier le pont, non ?


papipoete a écrit :
bonsoir Sarah
Du premier coup d'oeil, nous voyons que nous avons affaire à une plume ailée, dont les vers nous incitent à traverser ce pont sans crainte...quand sur l'autre rive attend la récompense d'amour enfin consumé ! Et les oiseaux de mauvais augure auront disparu, et les rares survivants ne feront guère de bruit !
D'avoir tant et tant bataillé, mon sang ne coulera plus que tel un ru, mais il fera fleurir un jardin merveilleux !
NB la Saint Valentin est-elle fortuite au moment où parait cette promesse de félicité, ce voeu que rien ne pourra barrer, de rejoindre l'autre rive de la rivière où éclot cette si délicate rose ? " prenez-moi la main, voulez vous ? et allons voir si la rose..."
le 6e vers mesure 13 pieds
au 14e vers, je ne sais si " oued " se dit en diérèse ?
Avec ce 6e vers, malheureusement, le " néo-classique " vous échappe !


Bonjour Papipoète,
La Saint Valentin est fortuite puisque c'est Oniris qui planifie les parutions. Mais le hasard fait parfois bien les choses.
Eh oui ! cet alexandrin manqué à cause de ma distraction (voyez ma réponse à Lucilius).
Quant à "oued", je ne sais non plus s'il fait diérèse. Moi, je la fais, mais ce n'est pas une référence. Si l'on se réfère à "ouest", il ne faut pas la faire. J'aurais dû y penser. Je serai plus attentive la prochaine fois.


SaintEmoi a écrit :
Bonjour
J'aime toutes les vertus de ce pont qui traverse les rivières, le temps, la mort et sur lequel bien des choses magiques circulent, comme la poésie ou l'amour, parfois en même temps.
Je crains que chacun d'entre nous utilise à des fins exclusivement personnelles tous ces ponts qui nous "construisons" et si nous l'ouvrions aux autres, notre humanité n'en serait que plus harmonieuse, mais il s'agit là d'une réflexion toute personnelle où votre poème m'amène.
j'en ai aimé la musicalité et la tragédie qu'il sous-tend.
Merci


Bonjour SaintEmoi,
A mon sens, susciter une réflexion personnelle est le but de la poésie. Votre commentaire semble donc prouver que je n'ai pas trop mal réussi.
Merci.


BlaseSaintLuc écrit :
deux vers dans le poème ce détachent par leurs "splendeurs"

"Mes oiseaux de tristesse seront alors défunts,"

"Qui veut, de mon Éden, éradiquer la rose ;"

ce pont est solide , il nous porte bien , c'est le combat de la vie , de l'amour , belle énergie contre l'adversité , contre le courant du quotidien , et celui des imbéciles , c'est l’intelligence du cœur.


Oh merci, BlaiseSaintLuc,
Votre commentaire me va droit au cœur.


Hananke a écrit :
Bonjour

Il est bien joli ce pont jeté par-dessus ma rivière.

J'aime bien les oiseaux de tristesse seront alors défunts même
si le vers n'est pas très académique.
Oui, un texte court mais qui ne manque pas de charme.

De belles promesses de lecture pour l'avenir.


Bonjour Hananke,
Après un tel commentaire, je me dois de me surpasser... si j'en suis capable !


Cristale a écrit :
C'est un très joli poème Sarah.

Je vous ai suivie tout au long de la construction de votre pont, j'y ai vu deux corps "s'étreindre", des "oiseaux de tristesse" disparus dans le "Styx", des "roses" éclore d'un "roncier" et la "rivière" aux flots tumultueux devenir le "filet d'eau fragile" abreuvant "un jardin merveilleux".

Quelques petites maladresses ont été relevées, je n'y reviens donc pas.

Une ambiance féerique toute de douceur qui ne peut que me plaire,
avec mes encouragements concernant une meilleur application de la prosodie, donc flèche vers le haut (^-^)

Merci Sarah

Cristale


Oh merci Cristale, venant de vous ce commentaire me comble. Je sais que j'ai encore bien des chemin à faire en prosodie avant d'atteindre votre niveau. Et surtout il me faut combattre mon incorrigible distraction (vers 6) !
Je vous remercie pour vos encouragements.


senglar a écrit :
Bonjour Sarah_K,

Cette poésie m'a laissé pensif... L'amour par-delà la mort, la fusion amoureuse après la mort - sereine -, l'éternité d'un amour exclusif - simple -.

Mais pourquoi y convoquer ces pontes - je m'interdis poncifs - que sont le Styx et Charon.

Je préfère le quatrain suivant où l'on arrache le roncier - sale bête (lol) - qui éradique la rose. J'aurais écrit dans les sonorités d' 'étouffe' à qui il manque un pied. Vos mots sont trop forts à ripe et à râpe, rocailleux, de nécrose. J'aurais vu quelque chose de plus doux avec moins de R et de RR. Je préfère l'apaisement de la quatrième strophe au filet fragile, au havre apaisant, à l'oasis tranquille (bien sûr il y a effet de contraste entre la douleur et la quiétude retrouvée mais c'est quasiment du 3/4 contre 1/4. Le temps d'être quiet avec ça). Vous voilà comme l'eau, enfin, comme l'eau de Béart.

Bravo pour les "oiseaux de tristesse" :)

senglar


Bonjour Senglar,
Votre commentaire me donne beaucoup à réfléchir.
J'ai effectivement voulu exprimer la quiétude après la rage d'aimer, mais peut-être de manière exagérée, comme vous le dites.
Pourquoi Styx et Charon ? Probablement une déformation due à ma formation classique...
Merci pour vos conseils, j'en tiendrai compte à l'avenir.


Robot a écrit :
Belle vision métaphorique. Ce pont enjambe le cours d'une vie avec poésie.

Le premier quatrain nous présente la construction de cet édifice qui structurera le destin souhaité.
J'ai moins accroché au second mais beaucoup apprécié les deux suivants, surtout le quatrain de conclusion.

Bonjour Robot,
Je suppose que, comme Senglar, ce sont le Styx et Charon qui vous ont moins plu dans le 2ème quatrain. J'en suis désolée pour vous.
Merci de votre commentaire.


Bises à tous.

Contribution du : 21/02/2019 10:30
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