Bonsoir,

Je tenais à remercier avant tout le Comité Editorial d'avoir permis la publication de ce texte, tant j'étais sûr - à tort - qu'il ne figurerait pas dans le catalogue d'Oniris, tant le style d'écriture s'éloigne des "canons" habituels du site. Notez bien le fait que "canons" se trouve entre guillemets, et que le terme n'est en rien péjoratif (ceci pour ne pas traduire une pensée qui ne serait pas la mienne).

Voir apparaître "Urban City" ici-même est déjà une grande victoire en soi et je salue vraiment le CE de m'avoir donné cette chance, ce qui prouve l'ouverture d'esprit de celles et ceux - bénévoles - qui oeuvrent en coulisse tout au long de l'année afin de permettre à des textes parfois un peu décalés d'être lus.

Queribus : Merci pour les références à Jack Kérouac et Allan Ginsberg que je vais m'empresser de dévouvrir. De mon point de vue, le texte n'est pas trop long dans la mesure où il se lit facilement et où l'intrigue suit naturellement son court, même si j'accepte bien sûr que vous puissiez le trouver trop long à votre goût. En tout cas merci d'avoir pris le temps de commenter car tous les avis me sont précieux.

Robot : Je me suis fait la même réflexion que vous sur le fait que ce poème aurait pu prendre la forme d'une prose mais je n'aime pas vraiment ce style et j'ai préféré adopter le format actuel par simple goût. Merci de votre passage car je trouve vos remarques très pertinentes.

ANIMAL : Une chanson dites-vous !? Ah non, cela gâcherait tout, à mon sens ! Mais merci d'être passé par là...

Lebarde : Je ne pensais pas que "Urban City" pouvait faire pléonasme, comme "Cité Urbaine" mais je le prends avec optimisme car pourquoi pas, après tout ! Vous avez tout de même un peu aimé et avez pris le temps de commenter en me dévoilant vos impressions et en les étayant, et je vous en remercie.

claiborne : Merci d'avoir pris un peu de votre temps et d'avoir apprécié ce texte. La longueur du récit ne vous a pas rebuté, comme quoi les impressions des uns et des autres peuvent varier, dans le bon sens cette fois.

papipoete : Je vous promets un poème plus calme la prochaine fois, mais non moins pessimiste. Et non, je ne connais pas ce monde pour n'y avoir jamais vécu, car cette oeuvre n'est que pure fiction. J'espère ne pas vous avoir déçu pour cela...
Merci pour vos remarques toujours étayées.

Corto : Vous êtes l'un des rares à qui l'on ne sait jamais si tel ou tel poème aura votre faveur (sourire), mais cette fois j'ai mis dans le mille. A tel point que je me suis même demandé si ce n'était pas une mauvaise blague de votre part (sourire), mais il semble que non. Je vous remercie donc pour votre enthousiasme et la note que vous m'avez attribué.

Poétiquement votre,

Stéphane

Bonjour Stephane,

"Une mauvaise blague" de ma part ?
Que nenni !

Ma passion: l'aventure humaine sous toutes ses formes:
Paisible, enchantée, crue, sulfureuse, hurlante, déchirée, délabrée, violente, rêveuse ou même déprimée.

L'Humain qui se débat dans sa vie, qui fait sa vie, qui la casse, la détruit, l'enchante, peu m'importe.

La vie vous dis-je

Autant dire qu'avec "Urban City" vous étiez au cœur du sujet.

Encore bravo et bonne création.

Corto.

Je remercie également hersen, Donaldo75 et Pouet. Je suis content que ce poème vous ai plu, et merci pour vos commentaires très détaillés.

Stéphane

Merci également à sauvage !

Je remercie également Recanatese. Votre commentaire est intéressant et je vais y réfléchir !

Merci encore,

Stéphane