Bonjour à toutes et à tous et un grand merci à l'ensemble de la communauté Onirienne pour l'adhésion à ce texte.
Merci à celles et ceux qui oeuvrent constamment dans l'ombre pour faire en sorte que ce site perdure, se maintienne et vive au travers de celles et ceux qui souhaitent encore y croire.
Merci aux correcteurs (même s'il me semble avoir fait des progrès dans le domaine) ; merci aux lecteurs et un grand merci aux votants pour avoir (de manière surprenante à mon sens) mis ce texte en "haute-lumière".

J'ai beaucoup apprécié le thème qui a été choisi pour ce concours.
Je n'ai pas beaucoup de temps en ce moment, ni pour commenter, ni pour écrire, mais j'ai tout de même souhaité participé à celui-ci, par conviction, par envie, par... moment d'égarement peut-être ; peu importe.

Je ne suis pas certain que ce texte vaille toutes les louanges que j'ai reçues, mais je les prends avec le plus grand des plaisirs.

Encore merci à toutes et à tous, et peut-être à bientôt, qui sait...

Au plaisir de vous lire à nouveau,
Asrya

(et maintenant, les remerciements individuels (un peu rapides pour une fois, désolé))


Gouelan
Merci beaucoup pour ce commentaire qui touche profondément. L'essence que je voulais transmettre a été saisi, ces mots sur le style — “ciselé, minéral” — me restent en tête. C’est touchant. Merci d’avoir lu avec une telle attention.

Robot
Merci, Robot, pour cette lecture sensible. J’ai beaucoup aimé la façon de résumer l’idée du texte : cette “passivité apparente” des pierres, qui cache une forme de vie. Avoir perçu de la poésie dans cette lente respiration du monde minéral me touche beaucoup.

Perle Hingaud
Merci Perle, pour ce retour d’une richesse incroyable. Ces remarques précises — sur les négations, le choix des mots, le rythme — me nourrissent vraiment. Et cette image de l’oiseau comme lien entre les plans… magnifique ; je n'y avais pas particulièrement pensé. C'est une autre lecture de mon propre texte, et ça, c’est un vrai cadeau.

papipoete
Merci papipoete, ton commentaire est à ton image : sensible et profondément habité. J’aime ce “les pierres savaient !” répété avec conviction. On sent que tu les écoutes depuis longtemps. Merci pour ce regard complice.

Yakamoz
Merci, un message qui me touche par sa douceur, et cette idée d’une “force tranquille” des éléments, je la trouve très juste. J’apprécie l'idée gobale de la menace et de la poésie dans ce monde. Merci pour ce retour lumineux.

Cyrill
Merci Cyrill pour ce retour si bien écrit, si “stratifié”. J’aime beaucoup cette lecture géologique du récit, cette idée de couches qui s’accumulent, d’aspérités relevées. Et ce “la” donné par Grisaine et Morbleu… musical, authentique, qui crie dans un chant assumé au cours du temps ! Merci d’avoir prêté une oreille aussi fine au texte.

Charivari
Merci Charivari pour le retour ! J’ai souri à la remarque sur les fjords, elle est juste — j’y repenserai sérieusement. Et je suis content que Morbleu, Grisaine et Vieille-Silex t’aient plu : ce sont des personnages un peu spéciaux pour moi. Merci d’avoir pris le temps de me lire.

Donaldo75
Merci beaucoup Donaldo. Enfin ! C'est un commentaire qui m’a sincèrement fait plaisir. C’est la première fois que tu apprécies un de mes textes, je ne peux pas faire semblant : ça me touche vraiment. Ce passage que tu cites, avec le grand-duc, je l’ai écrit presque en chuchotant. Alors savoir qu’il t’a parlé… c’est un beau moment pour moi. Merci. Je commençais à perdre espoir sur le fait, d'un jour, parvenir à toucher ton âme (de manière positive). Je prends cela comme une réelle satisfaction.

(oui ça fait peut-être un peu bisounours comme remerciements, je le concède ; je suis peut-être d'humeur guillerette...)

Encore merci.

Parfois, des textes émergent d'on ne sait où, d'un trait, avec grâce. Ils existaient sans doute en vous et la naissance est naturelle. Je suis contente que ce soit sur ce sujet, et ici.
Le point de vue des oiseaux, c'est encore décentrer le regard. Vous l'avez fait avec les pierres mais l'exercice peut être tenté avec les autres personnages de l'histoire. Sur ce sujet, j'ai dans ma pile de livres à découvrir Une pluie d'oiseaux de Marielle Macé, mais trop à lire et pas assez de temps.
J'espère que ce concours réveillera l'envie d'écrire ce qui dort encore.

Un sujet pour lequel, je crois être calé comme lorsque j'écrivis
" La scala de Saint Germain "
mon ancien chez moi ; lorsque les merles de la contrée, se parlaient depuis cet épicéa sur la colline, avec un cousin un parent sur les fils électriques de mon poteau EDF;
Fallait les entendre telles commères, devant la sortie de la messe !
et ensuite mes canaris dans leur volière en plein air, partir dans des trilles à faire le Beau devant une jolie serine...
Il y avait aussi les faucons ( j'eus à affaire avec 3 spécimens ) ; un pris dans le grillage sous la haie, et 2 autres qui mériteraient tout un poème !
Je crois connaître le monde des oiseaux.
papipoète, qui fermant les yeux, se souvient

Eh bien, Asrya, non seulement j'ai beaucoup aimé cette nouvelle mais en plus je l'ai placée en tête lors du vote.

Bravo !