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Expert Onirien
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29/03/2021 22:01 De La Rochelle
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Bonjour tout le monde,
Excellente fortune pour ce texte en commentaires, j'y viens ci-après. J'ai écrit cette brève pour célébrer une rencontre, de celles qui marquent à tout jamais. Une telle malice c'était inédit pour moi. On aurait cru cette jeune fille tout droit sortie d'un cartoon. Chacun ayant repris sa route, ce texte a pu me servir d'exorcisme, emporté que je fus par cette tornade miniature. Merci au Comité Éditorial, tenir le haut de l'affiche sur Oniris on s'y fait pas, c'est toujours aussi exaltant de recevoir le mail, et gratifiant d'être publié. Merci à vous. Merci à l'Équipe de Correction, j'ai encore en tête votre travail sur "Pontesrocs", où j'accordais "frottant" quand il ne fallait pas. Sans avoir compris la leçon, j'ai, cette fois, tenté un s au pif sur "grimaçant", aux cotés de "subissant", c'est un raté. Je sais écrire S.O.S. maintenant. J'espère ne jamais avoir à m'en servir... Merci ! Je lève une patoune à mes Lectrices et mes Lecteurs comme toujours. Puis enfin, je remercie vivement : ANIMAL : cinématographiquement parlant, je suis assez client moi-même des œuvres qui se dénouent à la toute fin, un exemple avec Usual Suspect. La chute c'est le plus important pour moi, j'aime donner sens aux textes de cette manière la plupart du temps, et ça bouleverse le schéma de lecture habituel, pour surprendre bien sûr. Vous êtes plutôt rare en commentaires alors je mesure ma chance. Moi qui rêvais de briser la glace... Merci Poétesse ! Donaldo : des champis hallucinogènes... si lointaine soit cette planète 7N-B2, et perdue soit ma colonelle, tu sembles pourtant avoir percé l'un des secrets de sa survie... 2001 ? un sacré manque à ma culture ciné pour le coup. J'avais tenté, mais j'étais trop jeune, j'avais plutôt l'âge tourné aux dessins-animés, et j'ai lâché en cours de route, sans jamais y revenir. Je sais, honte à moi. Un amateur et surtout un écrivain de sf tel que toi ne pouvait qu'être piqué dans sa curiosité par ce texte. Je suis heureux que tu aies laissé une trace de ton passage sous mes lignes. Merci Don à la prochaine. Pierre : "cela se passe peut-être sur une planète... où l'on ne souhaite guère lancer un S.O.S.", voyager sur une planète luxuriante et inconnue, en petit détachement, avec tout à découvrir... ça laisse rêveur... ( avant les pépins en tout cas ). De plus on peut estimer que ces voyageurs du futur auront fui ce qui s'apprête à devenir en ce moment même sur Terre, le règne du faux. Tout ceci n'augure rien de bon. Pas de panique Pierre, je te garde une place dans ma navette ! À la prochaine. Myndie : et bien cette mystérieuse demoiselle porte le même patronyme que ma colonelle ! Voilà pour la ref'. Le texte est tiré du titre en définitive, je l'avais avant d'écrire le premier mot. J'ai voulu ce rapport pesant, faire ressentir la vie sauvage et impitoyable à travers les mots de ma narratrice, avant sa condition propre, aussi le descriptif que tu fais de cet "exotisme langagier" est juste. La nature tient une place prépondérante dans le récit. "extravagance des vocables", c'est voulu, avec un titre et un contexte pareil, il fallait bien sortir l'artillerie science-fictionelle dans un large ensemble, avec ce qu'elle comporte d'exotisme et de liberté créatrice ; nul ne pourra prétendre, par exemple, que les carabrands et les likas n'existent pas... c'est purement par confort que j'écris sur des époques lointaines. Merci Myndie. À bientôt. Malitorne : je privilégie les textes courts car cela me permet d'offrir une écriture dense, et de ne pas me perdre en des passages inutiles, rallongés, ou non maîtrisés ( la "maîtrise" est relative et à corréler à mes capacités toutes propres ), on peut donc considérer cela comme un cache-misère. Jamais je ne serai capable d'écrire sur 30k caractères comme vous. Je suis d'accord avec vous sur le "vite consommé, vite oublié", les Oniriens en sont exempts, mais dans d'autres domaines, la société regorge de ces affres de la "modernité". Les réseaux sociaux et leur traditionnel scrolling frénétique en tête. Merci à vous Malitorne. Etienne : tout est dit dans votre commentaire, vous posez des mots sur mes intentions. Vous notez la "descente sensorielle", m'ayant permis d'amener le lecteur, non ballotté, mais circonspect, jusqu'à la chute de la brève. Des phrases étudiées, mais parfois trop bourratives selon vous, si je résume votre pensée. Je suis plutôt d'accord. La raison est toute indiquée, la fameuse longueur limitée imposée par le genre, avec comme approche d'y caler un maximum de littérature en un espace très limité. C'est votre première venue sous l'un de mes textes, je marque ce jour d'une pierre blanche. Merci Etienne à bientôt. Cyrill : ta perspicacité me surprendra toujours, et je parle pas spécifiquement de ce commentaire. "Journal de bord fantasque", que oui, prenant en compte le fait que ma colonelle en écrit surement un par jour, de rapport, elle se sera fendue, pour ce 647ème jour de perdition, d'une page assez "lyrique", disons-le comme ça. "La colonelle était sans doute à deux doigts de ployer sous le joug de fièvres tropico-exoplanétaire", exact, surement dû à ce danger latent et omniprésent, ou à la lassitude, la distance encore que sais-je. Elle aura dû chopper le mal de Terre... Merci Cyrill. J'avance, j'évolue, je progresse en votre compagnie. Merci pour votre attention. Bonne soirée. Vadim.
Contribution du : Hier 20:11:39
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