Merci au comité de lecture d’avoir publié ce texte ainsi qu’aux correcteurs, lecteurs et commentateurs.

Provencao, AntoninMartaud, EtienneNorvins ainsi que Bodelere ont beaucoup aimé. Antonin a trouvé le thème très original et y perçoit beaucoup d’humanité, de poésie et de tendresse. L’écriture qui pourrait être plus « slammée », je retiens et reconnais, merci. Etienne salut une transformation de « l’ordinaire en matière poétique, (…) une forme d’humanité et de beauté qui ne demandait qu’à apparaître. » Merci d’apprécier cette poésie de rue, rue qui parfois me semble bien plus humaine et vivante que les salons où l’on cause. Bodelere perçoit une dénonciation de « la précarité et la surconsommation » et a apprécié « un maniement réussi du tragique et du comique ».

Lebarde, Papipoete, Cyrill, Ornicar et Boutet aiment bien.
Lebarde perçoit l’originalité de ce poème « loin des moules habituels qui ne manque ni d’ humanité ni de vérité. » Papipoete apprécie cette « poésie douce ». Vous sachant tous deux très férus de classicisme, je salue votre ouverture d’esprit et le fait de reconnaitre quelques mérites poétiques et des créations qui en sont éloignées. Cyrill a apprécié quelques « perles et maladresses lexicale » et, un peu comme Papipoete, trouve de la tendresse dans ce texte, quand Ornicar évoque un poème « tendrement provocateur » ; Boutet en a trouvé la lecture « amusante ».

Robot aime un peu et n’est pas « convaincu par les tentatives de faire "parler populaire" ou par l’humour."


Animal et RaMor n’aiment pas et n’y trouvent aucune poésie. Bon. À la limite une chanson, concède généreusement Animal. Les auteurs compositeurs apprécieront ce dédain pour la chanson qui ne serait en somme qu’un mauvais poème, un sous-poème ou un poème raté ?… Ceci mériterait débat et explications, tout de même.

Merci pour votre retour.
Cordialement
Véronik