Je remercie vivement Oniris et le C.E. d’avoir accepté d’intégrer "Le retour" au catalogue.
Mes remerciements s’adressent également aux lecteurs et commentateurs qui m’ont fait l’honneur de me laisser leurs appréciations.
Merci à :

Myndie,
Rien que pour le plaisir :
Barbara
Et mes vives remerciements pour ce commentaire en espace lecture. Lire « l'auteur(e) réussit l'exploit de ne pas faire de ce sujet maintes fois abordé en poésie un thème éculé. »  m’est des plus agréable.
Je suis ravie si je t’ai offert un bon moment de lecture.

Lebarde,
Une appréciation en espace lecture qui ne peut que me plaire. Effectivement ce poème semble tout simple, et il l’est.
« J'aime bien l'atmosphère décrite sobrement avec une poésie peinte comme une "douce aquarelle" »
Une observation qui me conforte dans mon désir d’utiliser la poésie des mots à défaut de savoir peindre.
Merci de votre présence sur ma page.

Robot,
Merci pour ce commentaire en espace lecture. Vous avez aimé « l’ambiance intimiste » puis la « profonde intimité » du poème, un peu moins "la banalité du quatrième vers" mais lire « l’ensemble porte une véritable poésie » rattrape les petites imperfections et me fait grand plaisir.

Papipoète,
« Un texte tout simple » mais oui, et publié dans ces colonnes.
Vous évoquez, en espace lecture, tout comme Myndie la jolie chanson de Barbara et c’est un honneur pour ma modeste plume.
La simplicité de l’écriture vous est agréable, une observation qui m’est tout autant agréable..
Merci de votre présence sur cette page.

Ornicar,
J’entends que l’automne ne vous laisse pas indifférent. Vous avez suivi mes lignes dans l’intimité de cette rêverie qui accompagne souvent l’attente, de quelqu’un, de quelque chose, jusqu’à ce que l’imaginaire « s’échauffe ».
Merci d’avoir su accompagner mon cheminement poétique.

Boutet,
Les poètes ont de tout temps été inspirés par l’automne, c’est un fait. Il faut dire que la saison se prête à la rêverie, au spleen également.
Chez moi aussi le ballet et l’orchestre symphonique des grues est très émouvant. Une merveille de la nature offerte aux yeux de ceux qui savent que le ciel est le plus bel écran naturel qui puisse exister.
Bel automne au coin de la cheminée.

Cyrill,
Languissant, oui, comme les heures qui passent lorsque les jours raccourcissent à l’approche de l’hiver.
« le mouvement se résume à peu de chose et la pensée fait son œuvre d’associations. »
C’est tout à fait le rendu que j’ai voulu partager. Tu as compris l’association d’image des oiseaux migrateurs et du voyageur dont le personnage féminin attend le retour.
Merci pour cet agréable commentaire.

Provencao,
Merci chère poétesse pour la délicatesse de vos appréciations.
Voir une peinture en mes vers me fait vraiment plaisir. Ah ! Si je savais peindre… je n’écrirais plus.
« teinter cet horizon amoureux en écoutant le vent »
Vous avez l’art d’associer l’image et le son.
Encore merci !

Vincent,
Qu’un artiste peintre comme vous me fasse ce compliment «  j'ai lu une peinture de Vermeer »
et je fonds de gratitude.
Vos mots sont si jolis.
Mille mercis à vous qui accompagnez mes vers depuis tant de temps sans vous lasser.

Tome15545,
Ah ! Les vieilles rengaines ! « C'est convenu, avec quelques étrangetés amusantes, mais surtout très bien exécuté. » Ouf !
Je vais citer quelques uns de vos mots : « Le dernier vers effrayant, l’image d’une démone, le songe diabolique, une éternité infernale, délectation sadique assoiffée de corruption, une éternelle condamnation à celui qui se laissera séduire par la Bête, il faut inventer des mondes infinis pour que la mort ne soit pas une fin mais une souffrance supérieure, première, que la mort ne meure pas elle-même, à l'envers de la vie éphémère. » Waouh! c’est puissant !
Et « vous ne m’aurez pas »
Mais oui, je vous ai eu car, vous me croirez j’espère, c’est tout a fait l’intention primaire et démoniaque de ce poème, votre clairvoyance est tout à votre honneur. On peut dire que vous savez lire, non pas entre les lignes, mais pire, les lignes qui ne sont pas écrites. Merci, ne changez rien.

Corto,
« N'ai-je pas perçu des qualités cachées ? Promis, je chercherai mieux la prochaine fois... »
À condition qu’il y aie une prochaine fois... qui sait si d’ici là je ne serai pas partie avec les oiseaux migrateurs ^^ ?
J’aime beaucoup vos observations concernant le dernier quatrain.
Merci de votre aimable présence sur ma page.

Kirax,
Je suis heureuse de vous lire sur cette page, et je comprends que vous appréciez le romantisme au vu de vos appréciations sur le dernier quatrain.
Je vous souhaite de recevoir plein de câlins poétiques.
Merci de m’avoir offert ce joli commentaire.

Bodelere,
Votre lecture de ce poème ne peut que m’agréer, d’ailleurs votre commentaire est particulièrement poétique, je vous en remercie, cela est très agréable.
Ah ! si chaque jour pouvait être un dimanche… mais peut-être qu’on s’ennuierait, les dimanches sont parfois longs et vides ^^
Mille mercis pour vos appréciations étayées.

RaMor,
J’ai commandé, pour l’accrocher sur un mur de mon salon, un grand cadre doré à l’or fin afin de mettre en valeur mon premier « perfectible - n’aime pas » en 13 ans de publications.
Le « langage » est « très sage », … forcément vu le tableau. Difficile la « prise de risque » entre le fauteuil, la fenêtre, le coin de la cheminée (à moins de m’y cogner, là mon langage serait moins sage) et le lit.

Laurent-Paul,
Vous avez suivi le cheminement de mes vers et vu la vraie couleur de ce poème.
Ici le chaos n’est pas de mise, vous avez raison.
«  "De la douceur, de la douceur, de la douceur" écrivait le prince des poètes : on est dedans ! »
Votre commentaire est lui-même très doux et très réconfortant.
Merci d’avoir posé votre regard paisible sur ce poème avec autant d’attention.


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Mille mercis à vous tous et toutes, de continuer à suivre mes lignes et de m’offrir vos mots.
Au plaisir de vous lire, toujours.

… et n’oubliez pas : « Soyons sérieux, mais pas trop. »
Rien ne vaut la peine de se faire de la peine.

Cristale

Oui il était bien : hier soir, je l'ai lu à ma compagne avant de dormir.
Elle aussi elle a bien aimé.

Voilà voilà voilà. Petite berceuse.

Oh ! c'est trop mignon !
Au moins mes vers font battre des coeurs à l'unisson.

Merci Kirax, transmettez mes meilleures pensées à votre compagne.

Merci pour ce retour comme à ton habitude plein de délicatesse, Cristale.
A mon tour :

Je t'offre cette version que j'aime beaucoup :
La Grande Sophie

Merci Myndie pour cette autre version.

La voix de Sophie est très douce. Le thème de l'attente est prégnant, autant en poésie qu'en chanson.

Bien à toi

Merci pour votre retour .

Comment ne pas être sous le charme de vos poésies. Oui, J'ai souvent cet oeil " pictural" à la lecture des poésies. Une rêverie qui me permet de mettre des couleurs sur des images, et créations littéraires.

Véronik.

CriSTALe,

Il n'est pas d'usage de citer entre guillemets des propos modifiés. Cela peut même être très mal reçu pour la personne dont les phrases sont déformées.
Si vous décidez de modifier mon commentaire à votre gré, et que votre gré est de me faire commenter ce que votre poème ne contient pas en germe, vous pouvez arriver à n'importe quelle conclusion que votre volonté impose au monde.
Néanmoins, si vous n'avez pas voulu infuser une humeur démoniaque dans votre poème, la construction ainsi que son dernier vers en sont une représentation majeure. Peut-être cela vous a-t-il échappé, peut-être le Mal parle-t-il à travers vous, peut-être malgré vous, peut-être êtes-vous possédée par quelque entité ténébreuse, auquel cas je vous invite à en discuter en privé, mais c'est bien à travers vos vers que l'incantation démoniaque a cours, pas entre les lignes, ni ailleurs.

Premier quatrain : la nature insuffisante.
Second quatrain : l'invocation à l'ange à travers le feu.
Troisième quatrain : la capture éternelle.

C'est d'une grande limpidité, mais la plus grande des ruses du diable étant de faire croire qu'il n'existe pas, vous ferez mine que cela ne concerne pas votre poème.

Je ne stigmatise aucunement l'anosognosie, mais soyez fière d'être au service de forces cruelles et infernales, votre gloire n'en sera que plus belle, et vos écharpes de lave brilleront de mille feux. Votre âme est de rubis, vous la mentez de diamants, mais soyons sérieux le temps d'un temps : nous nous comprenons. Mais je n'adhère pas aux charmes de la Destruction depuis que je suis mortel.

Bonjour et merci Véronik.

Seriez-vous poète et artiste peintre ? Cet oeil "pictural" est un bel atout.
Quelle chance de pouvoir ajouter des couleurs à vos lectures.

À bientôt sur d'autres vers

Tome15545

Comme quoi on ne se connait pas soi-même.

Il me faut vous relire avant modification de mon état de conscience.

Seriez-vous psykelkechoze ?