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Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
Maître W
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Shalom les gens !


Putain, z'êtes drôlement exigents, vous autres !

Tant mieux, cela me permettra de travailler davantage pour aller au plus juste, au plus près de ce que je cherche à faire. Exprimer les sentiments humains, c'est un exercice ardu, mais passionnant. Donc merci pour cette "sévérité utile", cela m'aide c'est certain (ce texte sera relu encore plusieurs fois et corrigé avant son édition papier) et je vous en remercie encore. Je ne vais pas vous répondre individuellement, mais au vu des premiers commentaires, il semble que l'objectif soit partiellement atteint (ou partiellement raté, c'est selon l'humeur). Je navigue donc entre une déception relative et une joie contenue.

Revenons au texte (je serai bref, rassurez vous).

Flash Gordon se veut être une histoire certes sans prétention (comme le souligne à raison Margone ), mais importante pour moi du fait du thème notamment qui m'a toujours intéressé. On peut le voir de deux façons soit d'un point de vue généraliste : une histoire sur la place (de plus en plus vacillante ou de moins en moins défini selon moi) de l'Homme dans la société ou dans son couple, son rôle (parfois ambigu et même menacé) et ses (pertes de) repères. A cela s'ajoute cette éternelle épée de Damoclès au dessus de sa tête, ce cadeau (empoisonné diront certains) sur ce qu'il doit être/symbolisé/represénté à tout prix, bref ses responsabilités, les attentes, espérances qu'ils suscite, cette fameuse étiquette estampillée "sexe fort", cette pression qui ne semble pas l'autoriser au moindre fléchissement (statut qu'il a accepté, assumé voire même dont il s'est enorgueillit, soyons honnêtes).

On peut le voir de plus façon plus individuel, plus intimiste aussi : l'histoire d'un homme, Gordon, qui dès sa naissance s'est vu attribué un statut, une sorte de mission , qui l'a poussé inconsciemment à s'oublier en tant qu'individu. Pour faire un clin d'oeil à Douglas Kennedy, c'est un peu l'homme qui aurait voulu vivre sa vie ou plus précisément, celui qui voulait être comme tout le monde. J'en conviens, en parlant de la remise en question des choses (souvent après l'annonce d'un évènement fort), de ce qui est important, des priorités de vie etc....je ne révolutionne rien. C'est un fait Mais je n'avais d'ailleurs pas cette prétention. Mon but, comme quasiment à chaque fois, n'étant pas de diffuser un quelconque message (je laisse ça à d'autres qui savent faire) ou de porter un jugement (pas envie d'être pointé du doigt par les féministes ou les machos), juste de raconter une simple histoire. De divertir. Maintenant, si cette histoire devait produire auprès d'un certain nombre un écho personnel, une répercussion propre, bah, tant mieux (ou tant pis). Mais je serais prétentieux et malhonnête de dire que "faire réflechir" était mon but principal car c'est très rarement le cas.

Je reviens sur le texte, alors. Il n'est jamais évident de traiter de la Nature Humaine, et sa complexité car vous le savez comme moi, les pièges sont si nombreux et parfois tentants. Trouver le bon dosage, l'équilibre pour aller vers l'authenticité et l'identification (content que cela ait fonctionné sur toi Victhis et faire poindre l'émotion. Le plus souvent il s'agit de faire en sorte de ne pas tomber dans le pathos (ou misérabilisme) et en même temps à force de retenue veiller à ne pas étouffer l'émotion dans l'oeuf (c'est là où une technique trop froide peut aller à l'encontre de l'objectif cherché). De plus, je me suis mis une nouvelle contrainte en tachant de créer de l'empathie pour quelqu'un qui visiblement a tout pour lui. Tu as raison, Caillouq , ce n'est pas simple d'émouvoir sur un gagneur. Mais, il est temps aussi pour moi de sortir d'une certaine zone de confort et de la facilité (comme j'avais tenté de le faire - avec plus de réussite cette fois - en me mettant à la place du bourreau dansQuelque chose de beau)

J'ai souffert en écrivant cette nouvelle. Techniquement surtout. Comme l'ont souligné certains commentateurs (merci à Caillouq </b> et toc-art dont pour ce dernier, je préfère retenir davantage le fond constructif de la critique que le plaisir assez perceptible à la rédaction de celle-ci), j'ai eu du mal à trouver le bon timing sur l'utilisation des temps (déjà, pour ceux qui m'ont déjà lu, ce n'est guère plus un secret : j'ai un mal fou avec les temps du passé).

Mon intention était de raconter une histoire sous le ton de la confidence, sans jamais rien affirmer (d'où les précautions d'usage du narrateur lui-même, prudent dans sa façon de relater les faits - pour répondre à toc-art sur le pourquoi des "je pense, je crois, je présume" - le narrateur ne pouvant se mettre totalement dans l'esprit de Gordon, ce refus d'asséner des arguments ou des spéculations fumeuses me semblait original comme approche, ainsi Gordon gardait - même aux yeux du conteur - sa part de mystère, sa profonde intimité), mais en gardant cette proximité que confère le présent et donner ainsi l'impression au lecteur de suivre le film de cette journée presque en temps réel. Jongler avec tous ces temps - et pour moi, c'était une prise de risque - en sachant combien je suis (nul) néophyte dans ce registre, c'était le meilleur moyen de me tirer une balle dans le pied, mais en dépit des erreurs et des maladresses (merci à Pol-Henri d'en avoir également repéré) que je reconnais, je pense que le jeu en valait la chandelle.

Ce texte avait été présenté une première fois et j'avais demandé (entre autres motifs) de le revoir en tenant compte des premiers comms qui me reprochaient d'impliquer de façon trop insistante le lecteur. Je pense avoir allégé ce défaut là dans cette seconde mouture mais il me reste encore du travail pour fluidifier le récit (pour moi c'est une des bases d'un plaisir de lecture - faire en sorte que la mise en bouche n'accroche pas, que ça coule tout seul) comme notamment ces abus de "et puis.." justement souligné par Caillouq , je crois.

On ne m'a pas encore reproché, mais je m'y attends aussi sur le fait d'avoir dupé le lecteur en faisant croire à une relation adultérine. On me dira - et je suis prêt à l'entendre - que cet artifice ne s'imposait pas, certes, mais c'est plus fort que moi, le plaisir de jouer (avec le lecteur) reste dans mon ADN (et puis secrétement je me disais que cela permettait au dernier moment, peut-être, au lecteur de changer de point de vue sur ce type). Sur la notion de super-héros (assez symbolique ici), je ne vais pas insisté juste dire que j'ai un peu pensé au film "Incassable" avec cette dualité intérieure entre le fait d'être une personne extraordinaire (le héros vu au travers d'un regard d'enfant dans le film de Shyamalan ou d'un retour à l'enfance - par les yeux de Layla dans mon texte) et la vulnérabilité propre à tout être humain. Pour montrer ce contraste, sans doute (comme semble le penser toc-art) ai-je eu la main lourde et manqué de subtilité avec en prime et bien malgré moi l'infantilisation du lecteur.

Voilà ce que pouvais dire brièvement (?) sur ce texte avant de passer à un autre que je vous promets très (mais alors) très différent.

Merci de votre attention, du temps consacré à sa lecture et de vos avis présents et j'espère futurs.


W.

Contribution du : 25/10/2011 14:32
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Re : Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
Maître W
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Je vais peut-être revenir sur certains commentaires qui m'ont interpellé, mais avant de se faire, je vais tout de même préciser une chose qui me semblait pourtant relativement évidente (comme quoi, il ne faut pas sous estimer la créativité de son lectorat... ).

Flash Gordon est un juste un surnom (donné par sa sœur) et non sa véritable identité. Je dis cela car au vu de certains retours, il me semble que certains commentateurs ont cru que le personne était réellement Flash Gordon, un comic.

W.

Contribution du : 25/10/2011 19:49
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Re : Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
Maître W
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Suite à un questionnement tout à fait intéressant de placebo sur l'absence d'enfant de Gordon, comme il est possible que ce point revienne, je copie-colle la réponse que je lui ai faite en MP.

Concernant l'absence d'enfant, mon choix n'était pas clairement délibéré, cependant au final je me dis que cet homme là réalise (alors que sa fin est quasiment inéluctable, les chances de guérir d'un cancer du pancréas sont très infimes) qu'il est (ou va) sans doute passé à côté de l'essentiel de sa vie (soit avoir un enfant - avis totalement subjectif et fortement tronquée - en effet je suis un jeune père).

De plus, ce "manque", cette "non transmission" si vous préférez, colle, je pense, assez bien à l'idée que cet homme là, à l'instar d'un comic ne peut-être dédié à une personne ou un groupe restreint (famille, collègues...). Finalement et c'est bien cela son drame et symboliquement la malédiction de tout super héros : il est universel.

Il appartient à tout le monde...sauf à lui.

En espérant avoir été plus clair à défaut d'avoir été (au vu des derniers commentaires) convaincant.

Widjet

Contribution du : 25/10/2011 21:17
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Re : Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
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Et comme j'avais pas vu le forum, je copie aussi mon mp :)


C'est très clair, vi :)

- il ne s'appartient pas vraiment
- il a peut-être raté sa vie (mais noooon, c'est pas biaisé, c'est super d'être père :D)

C'était une idée qui m'était venue comme ça :) parce que justement, cet enfant apporte un certain nombre de contraintes supplémentaires (ça dépend de comment on l'élève et je suis pas très calé sur les mœurs américaines aussi) qu'il aurait pu avoir du mal à gérer en plus :
- ça l'humanise, ce gosse
- ou il arrive à gérer ce gosse et ça renforce encore le côté extraordinaire
- ou c'est un de ses échecs relatifs dans sa vie.

Dans tous les cas, il en ressort plus grandi que rapetissé, je trouve.

Contribution du : 25/10/2011 21:31
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Re : Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
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toc-art dont pour ce dernier, je préfère retenir davantage le fond constructif de la critique que le plaisir assez perceptible à la rédaction de celle-ci


affirmation absolument gratuite. j'ai hésité à vous commenter pour éviter ce genre de sous-entendu. pas de souci, je ne vous commenterai plus.

Contribution du : 26/10/2011 16:07
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Re : Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
Maître W
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toc-art a écrit :
affirmation absolument gratuite. j'ai hésité à vous commenter pour éviter ce genre de sous-entendu. pas de souci, je ne vous commenterai plus.


Ah susceptibilité quand tu nous tiens....

C'est fort dommage de réagir ainsi (et c'est un peu facile, je dois dire et prévisible aussi : le piège de la victimisation, trop peu pour moi) car comme je l'ai indiqué, je n'ai retenu que le fond qui m'a réellement et sincèrement aidé.

Comme quoi, je suis et reste demandeur de ce genre d'intervention.

Maintenant, sur la forme, je pense (et il faut me croire - ou pas - mais je le dis sans colère et même avec un certain amusement)que j'ai ressenti un plaisir évident dans la façon dont vous avez commenté. Il faut dire que nous avons tous deux un "historique" qui a tendance à fausser aussi les perceptions (mais il ne tient qu'à nous deux de modifier cela si nous y tenons vraiment).
Donc, je n'ai pas dit que j'avais raison, ce n'est qu'un ressenti, mais vous le savez comme moi : il est difficile de reprocher à quelqu'un de ressentir quelque chose même si cette chose s'avère infondé.

Néanmoins, si vous souhaitez cesser de me commenter, c'est votre droit le plus strict.

Sans rancune aucune.

W

Contribution du : 26/10/2011 17:05
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Re : Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
Maître Onirien
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Je crois très honnêtement que la plupart des auteurs dont j'ai commenté le(s) texte(s) pourraient vous confirmer que vous n'avez pas bénéficié d'un traitement spécial. Et je suis sûr qu'avec un peu de recul, vous en conviendrez sans mal.

Mais ça n'est pas le sujet de ce forum, désolé pour cet aparté, et bonne continuation.

Contribution du : 26/10/2011 20:17
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Re : Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
Maître W
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Bon.

Ayant maintenant un peu plus de matière pour me faire une idée plus précise de l’accueil de ce texte (il est vrai que j’ai sans doute dégainé trop vite en ouvrant un forum après seulement 5 interventions), il semble acquis qu’au vu des derniers retours – même si la mode du mimétisme fait encore des émules – que « Flash Gordon » n’a pas convaincu et que je n’ai pas réussi à vous embarquer. Je l’accepte, cela arrive et ce n’est pas un drame.

Certains retours m’ayant interpellé (positivement le plus souvent) ou déconcerté, je pense qu’il est normal que je réponde à certaines interrogations comme il me semble également justifié de demander aux commentateurs de me dire, au vue de mes explications ci-dessous, si l’intention du texte (ou ma propre intention) s’avère plus clair à défaut de ne pas avoir été séduisante sur la façon employée.

Sans citer systématiquement de façon nominative les commentateurs (qui se reconnaitront), merci de me dire si j’ai pu répondre à vos points. Je répète, il ne s’agit pas de vous convaincre (loin de moi l’idée de vous faire aimer ce que vous avez « rejeté »), mais seulement de comprendre si mes justifications éclairent un peu plus votre lanterne. Enfin, je ne vais pas m’expliquer trop en détail sur le fond du message (j’avoue être étonné de voir que certains ont vu l’histoire d’un type qui s’acharne à tout prix à paraitre « un héros » aux yeux de sa sœur, mais bon… J’ai forcément dû merder quelque part…)

Sur les mises en exergue : j’entends le point et j’en prends note. Je ne me cherche pas d’excuses, mais j’essaie peut-être de comprendre pourquoi ces « appels de phares » ont déplu. Etais-je inconsciemment marqué par la liberté d’interprétation excessive – qui m’a été aussi reprochée - laissée sur un texte précédent (Monsieur Victor) pour avoir de souffler quelques pistes au lecteur ? Je ne sais pas, je ne pense pas (je suis assez têtu et je « n’achète pas » tout et aveuglément de la part des lecteurs). Quoiqu’il en soit, mon but n’ai jamais de sous estimer le lecteur, mais c’est vrai que je suis assez gourmand d’italiques.

Sur l’emploi des temps (passé notamment): j’en ai déjà parlé, c’est une de mes lacunes. C’était un challenge de mélanger tout ça. Entre raconter une journée qui se déroule dans un passé très proche, l’utilisation de l’imparfait et d’un autre côté le fait de mettre le lecteur dans la confidence et créer une proximité avec lui (comme si je discutais avec lui en temps réel) en utilisant le présent, est-ce que ce choix si bancal est-il est plus clair pour vous ?

Sur l’implication du narrateur : je me suis expliqué sur les hésitations et la prudence du narrateur (« je crois, « j’imagine », « je présume »…). Est-ce que cet éclairage est plus compréhensible sur le pourquoi de ce que certain ont appelé « la mise en scène » du narrateur (même si je ne partage pas ce point de vue, en tout cas pas dans le sens du « tirage de couverture à soi », mais bien dans l’idée de créer une sorte de complicité avec le lecteur en disant « ok c’est moi qui raconte, mais je n’ai pas toutes les clés, non plus »)

Interpellation du lecteur : comme déjà dit, je pense avoir allégé cet aspect et après lecture du texte, je n’ai pas la sensation d’avoir étouffé le lecteur avec ça. Mais ensuite, c’est affaire de perception.

« L’empreinte sur le banc ». Toc-art (pour le coup, vous étiez seul à remarquer ce point), en quoi, cet effet vous a semblé manquer de subtilité ? J'insiste pour savoir sur ce point particulier car c'est une scène importante à mes yeux, le genre de scène qu'on a pas envie de foirer, vous comprenez ?

Que signifie cette empreinte ? (question de Barbant). Là pour le coup, je ne réponds pas car chacun peut-y voir un sens différent même si celui-ci à mes yeux me semble assez évident (après avoir lu et compris la fin).

Gordon, « un être laborieux ». Barbant, Peux tu développer stp ? Qu’est ce qui t’as fait penser cela ?

Enfin, je pose LA question qui me taraude le plus car beaucoup de commentaires m’ont réellement surpris par la perception très « premier degré » de Gordon (sans doute ai-je écrit des choses qui ont crée ce malentendu, mais là sincèrement je ne vois pas bien) : Qu’est-ce qui vous a fait croire que cet homme là était vraiment un « super-héros/comic » ?

Merci encore. Je précise une nouvelle fois que je ne cherche nullement à vous piéger ou à vous convaincre que vous avez mal lu ou mal compris (d'ailleurs, s'il m'arrive de le penser, la plupart du temps, je le garde pour moi), mais bien dans le but de progresser et d'améliorer ce texte qui est destiné à être édité sur papier. Je ne dis pas non plus que je modifierais celui-ci pour autant (je suis tenace et comme déjà dit, je fais le tri sur ce qu'on me dit en fonction de pleins de paramètres) mais je veux être clairement certain de ce qui a motivé votre "désamour" sur cette nouvelle.


W.

Contribution du : 26/10/2011 21:58
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Re : Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
Maître Onirien
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De La Thébaïde
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Salut Widj,


laborieux = qui s'est fait par le travail (dans le cadre de cette nouvelle), donc en s'appliquant, en suant sang et eau ; si ''Gordon'' a du mérite et peut être admiré pour cela, ça n'est pas un être brillant au départ, naturellement doué, il n'a pas un magnétisme naturel, donc présenter ce personnage comme un avatar de Flash Gordon me semble inapproprié, ce dernier est d'avant-garde et magique. Il a une facilité naturelle.


Je ne suis pas le copain de Conan le Barbare, hein !
Lol ! Je plaisante !


ps: Si tu avais choisi de présenter ton héros comme un avatar de Superman, je n'aurais pas fait cette remarque.

Contribution du : 26/10/2011 23:42
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"L'homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête."

Blaise Pascal
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Re : Flash Gordon, l'homme qui voulait être comme tout le monde (ne pas lire avant le texte, si possible)
Maître W
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OK, je comprends mieux, merci Brabant.

W

Contribution du : 26/10/2011 23:59
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