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Re : La Lampe magique
Onirien Confirmé
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19/07/2011 13:59
De Paris, France.
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Argot (ou inspiration Audiard et Simonin)

Le mecton, allé aux champignons dans la zone, badaudait peinard et balançait ses châsses à l’accueillant d’une violette pour sa guêpe. Voilà t’il pas que s’affale devant lui un bouclard, une vraie casbah à la paillasse gonflée d’accessoires et d’antiquailles. L’aumônier, pas l’air à avoir du crime, l’arrose à reluquer ses bastringues. Il y avait là une calebombe bien crade, du genre arbiche. Le gonze alla fissa à l’aspic, bifton à la pogne. Un arcan à la redresse, argoteur de première, s’affranchit à sa barbe et annonce la couleur. Il lui fait l’article de trois soixante-quinzes qui pourraient abouler à notre as de pique d’allumer son pétrole, d’avoir l’assiette au beurre et de devenir de marque. Sans faire un pli, l'apache fait tapis et se retrouve un as morgane avec du foin plein ses bottes. Se rambina-t-il pour autant ? Devint-il jouasse et aux anges. Pour sûr c’était pas Byzance.

Contribution du : 28/05/2012 10:26
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"Je crèverai les yeux des hommes, qu'ils ne puissent te regarder, leur scierai le bas des jambes, qu'ils se prosternent à des pieds" Karim Berrouka.
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Re : La Lampe magique
Onirien Confirmé
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19/07/2011 13:59
De Paris, France.
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Et pour continuer sur cette lancée :

En largonji des louchébems :

Un lommehoc louvatras sur son leminchem une lampelé. Il la lottafrem et il en lortisic un léniguche qui lui lidic: « loitrattes lœuvics, tu liradés, ils se léaliseronrem. » alors l'hommeloc, lansics léfléchirrem, lononçapras ces loitrattes lœuvics: « je loudraivems être licheratte, lamoureuqués et lélèbreçoque ». Le léniguche laccompliqué ces louhaissocs. L'hommeloc létaipuche-il pour lautanoque plus leureuhattes que lavanem?

Contribution du : 28/05/2012 10:36
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"Je crèverai les yeux des hommes, qu'ils ne puissent te regarder, leur scierai le bas des jambes, qu'ils se prosternent à des pieds" Karim Berrouka.
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Re : La Lampe magique
Visiteur 
Toucher

Le cuir des sandales frotte douloureusement contre la peau moite. Et voilà que l’orteil bute sur un obstacle imprévu, bien trop dur !
La main prend le relais, frotte le métal surchauffé. Brûlure. Qui s’aggrave quand une bourrasque vient tournoyer autour du corps. Son abrasion irrésistible porte ineffablement le message.
Trois vœux caressants suivent, trois souffles en réponse redressent les poils partout sur la peau : le contact de la soie dans laquelle péter, celui des mains timides de la foule voulant se faire guérir des écrouelles, celui enfin, enivrant, d’une autre peau douce, si douce.
Mirage de l’épiderme enchanté ! Cela suffit-il ? Quid de l’être sous la surface ?

Contribution du : 28/05/2012 10:47
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Re : La Lampe magique
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Javavavanavais

Avun havomme mavarchavait savur avune ravoute. Avil vavit avune lavampe avet, pavar davésavœuvravemavent, lava fravottava. Avun geavénavie avappavaravut.
« Pravonavonce travois vavœux avet jave laves avexavauçaveravai. »
Lave clavampavin s’avexavécavutava. Chavose pravomavise chavose davue, avil avobtavint l’avamavour, lava ravichavesse avet lava çavélavébravitavé. Aven favut-avil plavus haveuraveux pavour avautavant ?

Contribution du : 28/05/2012 11:02
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Re : La Lampe magique
Maître Onirien
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08/02/2011 17:15
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Version flash-back

Un homme bronze sur un yacht, entouré de sublimes blondes barbotant dans des liasses de billets...

Fais trois voeux, murmure le génie.

L'homme sirote une bière dans un verre en cristal, le regard perdu au loin. Le yacht se rapproche du quai et au loin, sur le ciel azur, se détache la silhouette de sa villa, une immense bâtisse de 35 pièces.

Il bute sur quelque chose qui le fait presque choir... Son pied le fait souffrir ! Il regarde par terre... Une lampe ! Il la ramasse et la nettoie un peu de sa poussière... Un génie en sort !

Installé dans sa villa, l'homme passe quelques coups de fil : un au Président, pour confirmer sa venue dans la soirée. Un autre à son agent artistique, il faut absolument que sa biographie sorte pour la prochaine rentrée littéraire...

Perdu dans ses pensées sombres, se demandant comment, au chômage et sans le sou, il va pouvoir rembourser ses douze crédits, l'homme déambule dans les rues, au plus profond de la ville...

Contribution du : 28/05/2012 11:20
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Re : La Lampe magique
Visiteur 
Définitionnel

Un être humain mâle adulte rencontra par hasard sur une route utilisée pour aller d'un point à un autre un ustensile en métal qui sert à l’éclairage, rempli d’un liquide combustible et muni d’une mèche. Il y passa sa main à plusieurs reprises, en appuyant, et un esprit qui selon l'opinion des anciens préside à certains lieux, passa de l'intérieur à l'extérieur et exprima par la parole ce qui suit : "Des expressions de ton désir au nombre de l'entier naturel suivant deux tu énonceras oralement et je les rendrai effectives." L'entité magique bonne ou mauvaise ayant selon la croyance traditionnelle une influence sur la destinée humaine réalisa complètement ces désirs qu'une chose s'accomplisse. L'être qui, malgré sa sagesse, montre toujours quelque faiblesse jouissait-il du bonheur à cause d'une telle situation ?

Contribution du : 30/05/2012 23:13
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Re : La Lampe magique
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La Mégère apprivoisée

— Salut ! J'ai de bonnes nouvelles !
— C'est à cette heure-ci que tu rentres ? Tu as plus d'une heure vingt de retard ! Pour qui tu me prends ? Et en plus tu me dis bonjour en frétillant ?
Elle le gifle.
— Je suis heureux de te revoir !
— Oui, heureux. Une heure vingt que je t'attends. Tu étais une loque, et maintenant, tu es une épave. Je démissionne. Ça y est, j’ai craqué pour de bon. Allez, dégage. De toute façon, cette discussion est stérile, tout ça ne mène à rien. Toi, tu vas voir ta télé, moi je finis d’éplucher les légumes et tout va bien et on recommencera demain et les jours suivants jusqu'à ce que mort s'en suive. Les légumes, dans deux jours, ya plus rien à manger alors je ne vois pas pourquoi je parle alors s’il te plaît épargne-moi tes excuses débiles parce que cette fois, je ne sais pas ce que je te fais.
— J’ai trouvé une lampe.
— Et ?
— Elle était par terre. Je l’ai frottée et un génie a exaucé trois vœux, au choix.
Elle est consternée. Un silence.
— C’est l’excuse la plus bidon et la plus énorme que tu m’aies jamais faite. Tu as dépassé les bornes. Autrefois, il y avait des bornes, eh bien, tu les as dépassées. Autrefois, tu me fournissais des excuses crédibles. Maintenant tu me prends pour une idiote et tu te fiches ouvertement de moi. (D'une voix tragique.) Tout honneur a définitivement déserté cette maison.
— Le génie de la lampe a fait exploser notre compte en banque. J'ai vérifié. On a un milliard d'euros. Nous sommes allons pouvoir vivre la vie dont nous rêvons et j'ai d'autres surprises dans mon sac !
Elle s’en va. Il la retient par la main.
— Lâche-moi, j’en ai assez entendu pour aujourd’hui, merci, j’ai eu ma dose, je ferme la boutique, au revoir, merci et à demain. Si je suis encore de ce monde.
— Mais laisse-moi t’expliquer !
— Tu ne vois pas la vie infernale que tu me fais vivre avec un SMIC pour deux ? Encore heureux qu'on n'ait pas d'enfants ! C'est le seul point positif ! D'ailleurs avec les gènes que tu as, ils seraient nés malformés avec des tares et ce serait encore pire !!!
— Mais justement, c'est ce que j'essaie de te dire ! Maintenant je suis riche et je vais devenir célèbre ! Nos problèmes sont terminés ! C’étaient les trois vœux !
— Bien sûr. Et le troisième vœu, c’était quoi ?
— Tu vas finir par t’en apercevoir.
— Tu as pris de la drogue ? Et tu crois que ça va arranger les choses de prendre de la drogue ? Tu me prends pour qui ? Pour ton infirmière ? Et tu crois que je vais faire tout ça pour toi gratuitement ?
— Mais je te dis que tout est arrangé !
— Mais tu es une épave, mon pauvre ami, regarde-toi ! Tiens, regarde ! Il y a un miroir juste là ! Mais bouge-toi ! Je vais pas te l'apporter sur un plateau, non plus ! Bon, je te laisse t'admirer, moi, je vais me coucher. Tu mettras ta pizza surgelée au four tout seul, si tu en es encore capable.
— On laisse tomber la pizza. Je t’emmène au restaurant !
Il sort des billets de sa veste et les brandit.
— Quoi ? Tu es fou ?
— Oui, de toi. Et encore, je ne t'ai pas dit le nom du restaurant ! C'est la surprise ! Ensuite, demain, nous irons faire les boutiques ensemble comme deux amoureux, toute l'après-midi, et le soir nous irons au cinéma, où tu veux, c'est toi qui choisis. Ensuite, nous prendrons trois mois de vacances aux Seychelles, où tu veux, quand tu veux.
— Ah bon ? Tu veux faire les boutiques avec moi ? C’est nouveau, ça !
— Oui, c’est nouveau.
— Et avec quel argent on fera les emplettes ?
— Je te dis qu’on est riches. J'ai un salaire mirobolant depuis cette après-midi. C'est moi qui présente le journal de 20 heures !
— Qu’est-ce que tu racontes ?
— Allume la télé.


Contribution du : 04/06/2012 16:18
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Re : La Lampe magique
Onirien Confirmé
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03/06/2012 18:18
De Charente-Maritime
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"Pardon Barbara"

Un beau jour ou peut-être une nuit
Près d'une lampe je m'étais endormie
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part,
Surgit un Génie noir.

Lentement, les yeux émerveillés,
Lentement, je le vis tournoyer
Près de moi, pareil à l'Eternel,
Comme tombé du ciel
Le Génie vint se poser.

Il avait les yeux couleur rubis
Des cheveux couleur de la nuit
À son front, brillant de mille feux,
Le Génie couronné
Me proposait trois voeux.

Dis Génie, oh dis, exauce-moi
Fais-moi riche, plus riche que les rois,
Etre aimée, comme dans mes rêves d'enfant,
Devenir en tremblant
Une étoile, une étoile.

De sa main, il a touché ma joue
De l'amour, des colliers sur mon cou,
Et la gloire d'être enfin reconnue
Mais mon bonheur passé
Jamis n'est revenu.

Quatre plumes, couleur de la nuit,
Une larme, ou peut-être un rubis
J'avais froid, il ne me restait rien
Génie tu m'as laissée
Seule avec mon chagrin

Contribution du : 09/06/2012 00:39
_________________
Les mots qui vont surgir savent de nous ce que nous ignorons d'eux. (René Char)
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Re : La Lampe magique
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Le génie au bord de la déprime

Oh merde!!! seulement cinquante années de sommeil, je pensait que ma demeure était mieux planquée. Encore des souhaits ennuyeux, toujours les mêmes, je suis un génie de haut rang, je mérite mieux que de rendre riche, célèbre et amoureux. En deux milles ans, trois cents hommes ont croisé mon chemin, et seulement cinq différentes demandes.

J'ai du talent, major de ma promotion à l'école de Magie Sorcellerie et Occultisme, un avenir que tous mes comparses m'enviaient, le plus jeune à atteindre l'honorable dignité de "génie de la lampe".

Je me souviens de mon entré dans ma fonction, mon premier homme, le plus beau jours de ma vie. Et après, la routine, l'ennui et les cauchemars. L'homme, l'imagination vivante, m'a déçu, mon potentiel n'a pu éclore et ma carrière qui s’annonçait lumineuse est terne, mon étincellent uniforme n'ébloui plus personne.

La barbe! celui là, comme les autres, me fait perdre mon temps. Heureusement que ce fut bref. J’espère, dommage nous ne pouvons réaliser nos propres voeux , que le prochain me replongera dans l'enthousiasme de ma jeunesse ou me réveillera avec moins de brutalité.

Contribution du : 12/06/2012 22:40
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Re : La Lampe magique
Visiteur 
Synonymes

Premier passage

Un hominien découvrit sur sa route un luminaire. Il le frictionna et il en émergea un démon qui lui parla ainsi : « Trois promesses, tu parleras, elles s’accompliront ». Donc l'hominien, à l'exclusion de refléter, formula ces trois promesses : « Je commanderais d’être aisé, passionné et commun ». Le démon réalisa ces désirs. L'hominien était-il pour autant davantage chanceux qu'auparavant ?

Deuxième passage

Un humain vit sur sa chaussée un lustre. Il le massa et il apparut un diable qui dialogua ainsi : « Trois serments, tu dialogueras, ils s'exécuteront ». Subséquemment l’humain, en l'absence de briller, énonça ces trois serments : « J’ordonnerais d’être facile, fervent et collectif ». Le diable exécuta ces attraits. L'humain était-il pour autant encore aventureux qu'antérieurement ?

Troisième passage

Un humanoïde aperçut sur sa digue un éclat. Il l’assembla et il parut un dieu qui s’exprima ainsi : « Trois jurements, tu converseras, ils se feront ». Après l'humanoïde, en la carence de rayonner, formula ces trois jurements : « J'arrangerais d’être commode, enthousiaste et communautaire ». Le dieu fit ces attirances. L'humanoïde était-il pour autant aussi hasardeux que préalablement ?

Quatrième passage

Un androïde entrevit sur sa jetée un bout. Il le réunit et montra une divinité qui se manifesta ainsi : « Trois paroles, tu deviseras, elles se créeront ». Ensuite l'androïde, à défaut d’irradier, émit ces trois paroles : « J’ordonnancerais d’être pratique, emporté et général ». Le divinité créa ces attractions. L'androïde était-il pour autant aussi hasardé que précédemment ?

Cinquième passage

Un automate entraperçut sur sa môle un morceau. Il l'unit et présenta une déité qui se extériorisa ainsi : « Trois élocutions, tu diviseras, elles s'engendreront ». Ultérieurement l'automate, sans éclater, exhala ces trois élocutions : « J'arrangerais d’être adapté, violent et habituel ». Le divinité engendra ces appétits. L'automate était-il pour autant aussi aléatoire qu’autrefois ?

Sixième passage

Un robot devina sur sa brise-lames une part. Il la rejoignit et exposa une démiurge qui se révéla ainsi : « Trois dictions, tu partageras, elles se procréeront ». Puis le robot, sans exploser, sentit ces trois dictions : « Je rangerais d’être ajusté, agressif et coutumier ». La démiurge procréa ces appétences. Le robot était-il pour autant aussi incertain que jadis ?

Septième passage

Une machine repéra sur son embarcadère une portion. Elle la rattrapa et présenta un bienfaiteur qui se divulgua ainsi : « Trois articulations, tu distribueras, elles s’accoucheront ». En arrière, la machine, sans sauter, perçut ces trois articulations : « Je disposerais d’être collante, combative et quotidienne ». Le bienfaiteur accoucha de ces faims. La machine était-elle pour autant aussi contingente que naguère ?

Huitième passage

Un appareil borna sur son débarcadère une ration. Il la ressaisit et montra un ami qui se dévoila ainsi : « Trois jointures, tu arbitreras, elles se produiront ». Postérieur, l’appareil, sans franchir, discerna ces trois jointures : « Je classerais d’être serré, accrocheur et coutumier ». L’ami produisit ces besoins. L’appareil était-il pour autant aussi accidentel que récemment ?

Neuvième passage

Un outil limita sur son quai un lot. Il le regagna et étala un allié qui se publia ainsi : « Trois joints, tu concilieras, elles se fabriqueront ». Suivant, l'outil, sans traverser, distingua ces trois joints : « J’agencerais d’être étroit, bagarreur et ordinaire ». L'allié façonna ces nécessités. L'outil était-il pour autant aussi casuel que dernièrement ?

Dixième passage

Un instrument marqua sur son appontement un segment. Il le récupéra et étendit un apparenté qui s'imprima ainsi : « Trois accolés, tu réconcilieras, elles se perpétreront ». Subséquent, l'instrument, sans passer, différencia ces trois accolés : « J'aménagerais d’être étréci, batailleur et conjoint ». L'apparenté fabriqua ces exigences. L'instrument était-il pour autant aussi occasionnel que nouvellement ?

Onzième passage

Une mécanique pointa sur sa plate-forme une section. Elle la recouvra et allongea un parent qui s'empreignit ainsi : « Trois embrassés, tu rapprocheras, elles se commettront ». Conforme, la mécanique, sans circuler, distingua ces trois embrassés : « J'installerais d’être resserré, tenace et épouse ». Le parent forgea ces revendications. La mécanique était-elle pour autant aussi fortuite que fraîchement ?

Douzième passage

Un réflexe contrôla sur son estrade une cellule. Il la reconquit et prolongea un père qui se grava ainsi : « Trois enlacés, tu ajusteras, elles s’effectueront ». Approprié, le réflexe, sans outrepasser, discrimina ces trois enlacés : « J'établirais d’être limité, adhérent et compagnon ». Le père effectua ces requêtes. Le réflexe était-il pour autant aussi casuel que fraîchement ?

Je pose la question.

Contribution du : 24/06/2012 17:35
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