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À propos de 1837 en chemin de fer.
Visiteur 
Bonjour et merci à vous qui avez pris le temps de lire et de commenter cette fantaisie. Je suis heureux qu'elle ait provoqué un sourire chez la majeure partie d'entre vous.
Je dois faire mon mea culpa à propos des libertés chronologiques que j'y ai prises en installant George Sand et Alfred de Musset dans le premier train de Paris à Saint germain en 1837. Effectivement leur passion s'est officiellement éteinte en 1835. Elle n'en demeure pas moins, brûlante et charnelle aujourd'hui dans la mémoire collective. La fameuse lettre de George à Alfred est toujours aussi torride et montre quel point de sensualité ces deux génies avaient su atteindre. Je n'ai pas voulu écrire en historien mais laisser aller mon imagination et créer une situation qui à 2 ans près aurait pu se produire. Après tout, A. Dumas ne disait-il pas que l'on peut violer l'histoire pour lui faire de beaux enfants ? (Là, je sais que je suis un peu présomptueux!)
En revanche je dois avouer une erreur (que je n'ai remarquée qu'après envoi) au plan de la structure que j'entendais mettre en place dans ce poème. Ecrit en octosyllabes et strophes à rimes embrassées, je souhaitais que les intérieures de la précédente deviennent les extérieures de la suivante. J'ai évidemment perdu le fil de mon propos entre la 6ème et la 7ème, ce qui m'amène à changer cette dernière par :

"La machine qui caracole
A travers forêts et pâtures
Est complice, soyez en sûr
De notre idylle tendre et folle."

pour rétablir l'alternance.
Je tenais également à le boucler en finissant par un rappel du premier vers.
Eh, c'est loupé de chez loupé!
Merci encore pour votre lecture et vos commentaires qui globalement m'incitent à persévérer dans ce bel art(isanat) qu'est la poésie.
Bien amicalement
Merseger

Contribution du : 22/11/2012 15:24

Edité par David le 22/11/2012 15:46:39
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Re : À propos de 1837 en chemin de fer.
Visiteur 
L'ami merseger, "petite faute" avouée est aussitôt pardonnée ! Ca n'est pas bien grave et si je n'avais pas lu ce poème j'ignorerai encore à l'heure qu'il est que leur rupture datait de 1835 tout comme j'ignorais que la première voie ferrée française avait été inaugurée en 1837. En quelque sorte c'est moi qui suis ton débiteur et comme pour, je le suppose, beaucoup d'entre nous ça m'aura permis de mettre à jour mes connaissances.
Je m'en vais de ce pas accolé une appréciation à ce plaisant poème qui le mérite bien ! Amicalement, Alex

Contribution du : 22/11/2012 16:04
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Re : À propos de 1837 en chemin de fer.
Onirien Confirmé
Inscrit:
20/10/2012 10:34
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Post(s): 408
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A deux ans près ! Il paraît qu'en poésie, l'authenticité historique est le cadet des soucis des auteurs. Je ne suis pas d'accord, mais ça ne semble pas en gêner certains.
C'est vrai que je m'imaginais mal George et Alfred en train, mais comme les dates ne sont pas franchement incompatibles, je n'ai pas approfondi la question.
Dumas, par contre, ne serait pas allé jusqu'à mettre ses mousquetaires en Eurostar pour traverser la Manche ! Ou alors c'était un grand visionnaire !

Contribution du : 25/11/2012 10:10
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Re : À propos de 1837 en chemin de fer.
Visiteur 
Bof !

Contribution du : 25/11/2012 23:52
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