Mes vers du deuxième quatrain ne me conviennent pas trop...je reprends si vous le permettez :

FK : Jamais je n’oublierai la villa de Faro,
FK: Les jours glissaient en nous leur douce providence,
CL : Les soirs sous l’olivier, le son du piffaro
CL : Promettait à la nuit un accord aussi dense.

FK : Je garde en moi l’aveu d’un cri désespéré,
CL : Un écho dans la brume, un sonnet bien peu sage,
FK : Le paravent du cœur, un Hermès en carré
CL : Où s’unissaient nos vers en un furtif message.






....ça va paraître étrange : 5 pages pour des remerciements

Cristale : « Oui oui...3 quatrains dont 2 pour l'instant très sages »

Oui je sais, ma timidité et ma pudeur m’ont toujours été fatales. Pour l’instant j’ai juste quitté mon pull-over, pourtant je suis seul et j’ai atteint 40°.

FK : Jamais je n’oublierai la villa de Faro,
FK : Les jours glissaient en nous leur douce providence,
CL : Les soirs sous l’olivier, le son du piffaro
CL : Promettait à la nuit un accord aussi dense.

FK : Je garde en moi l’aveu d’un cri désespéré,
CL : Un écho dans la brume, un sonnet bien peu sage,
FK : Le paravent du cœur, un Hermès en carré
CL : Où s’unissaient nos vers en un furtif message.

FK : Serions-nous enchaînés au charme vénéneux


Cristale : « ...ça va paraître étrange : 5 pages pour des remerciements. »

Et tous ceux qu’on voit pas, qui matent en loucedés… 734 vues !! Vous êtes bien l’olympienne de ces lieux.

Citation : Arrivé à un certain seuil de température attention, le cristal fond

FK : Jamais je n’oublierai la villa de Faro,
FK : Les jours glissaient en nous leur douce providence,
CL : Les soirs sous l’olivier, le son du piffaro
CL : Promettait à la nuit un accord aussi dense.

FK : Je garde en moi l’aveu d’un cri désespéré,
CL : Un écho dans la brume, un sonnet bien peu sage,
FK : Le paravent du cœur, un Hermès en carré
CL : Où s’unissaient nos vers en un furtif message.

FK : Serions-nous enchaînés au charme vénéneux
CL : Des roses et des lys sur des lits de lavandes ?

FK : Jamais je n’oublierai la villa de Faro,
FK : Les jours glissaient en nous leur douce providence,
CL : Les soirs sous l’olivier, le son du piffaro
CL : Promettait à la nuit un accord aussi dense.

FK : Je garde en moi l’aveu d’un cri désespéré,
CL : Un écho dans la brume, un sonnet bien peu sage,
FK : Le paravent du cœur, un Hermès en carré
CL : Où s’unissaient nos vers en un furtif message.

FK : Serions-nous enchaînés au charme vénéneux
CL : Des roses et des lys sur des lits de lavandes ?
FK : Aidez-moi, je vous prie, à défaire mes noeuds


Je vous laisse finir. Je vous préviens, pas de gaffe avec la dernière rime !! Ma réputation est entre vos mains.

...si j'osais, en référence à votre dernier vers de votre dernière publication... mais je perdrais le bénéfice de 6 années de bonne réputation mes lecteurs me jetteraient dans la broyeuse à déchets...

Merci Cristale d’avoir bien voulu accompagner un apprenti onirien. Je suis particulièrement satisfait que nous ayons réussi à cacher le sexe du narrateur sans aucun artifice de sex-shop. On était quand même partis sur une marraine de 14/18 !!

Va donc falloir que je lise tous vos poèmes ?

Au plaisir. Peut-être à renouveler ici un de ces quatre… On y est bien caché.

Merci à vous également FrenchKiss.

Vous suivre sur vos vers m'a été fort agréable et en accord avec vous concernant la réussite de l'anonymat du narrateur dont on ne sait s'il est masculin ou féminin, ni l'un et l'autre, dans un duo c'est fort !

Vous pouvez explorez tous mes poèmes, je pense que leur lecture est autorisée même après 22h. Vous ne risquez rien.

Au plaisir d'un autre duo sur une autre page peut-être.
Encore merci, vous êtes un bon partenaire et un excellent versificateur.

Un régal ces charmantes battles poétiques !!
FK, vous n'auriez pas été un peu cowboy dans une autre vie?
Bon! J'dis ça, j'dis rien!
Plumette qu'est pas poète mais qui les aime.

Mais c’est qu’il y a plus de monde ici que sur le fil des Gilets Jaunes. Comme je regrette de n’être point poète. Il y a quatre ans (en ’14 et non en ’18), je m’étais arraché les cheveux sur un sonnet traitant de la Grande Guerre. J’avais laissé tombé en en faisant une nouvelle dans laquelle je n’avais conservé que le premier vers (Te souviens-tu d’Amiens au cœur des champs de waide ?). Si j’avais connu l’existence de ce concours plus tôt, j’aurais peut-être pu faire une deuxième tentative. Tant pis ! Ou tant mieux ?

Pour être tout à fait honnête, j’ai aussi été interpellé par le post de FrenchKiss, post #19 / photo N°6, dans lequel j’ai aperçu une ébauche de luminaire éclairant le Feu de la Fournaise. Le luminaire étant une discipline me convenant peut-être mieux que la poésie, je traiterai en direct avec FrenchKiss sur ce sujet, et pour le reste, me contenterai de goûter aux vers des Maîtres, ce que je ne manquerai pas de faire en débutant par les tiens, Cristalle.