@Pal,

Je viens de faire un petit voyage en Corse, du côté du grai de sable.

Bon, on ne va pas se battre pour savoir lequel de nous deux a la plus belle mer...



Mais c'est un gros grain...
Tiens, ça me rappelle un petit truc que je vais aller mettre sur le fil Allitération de poldutor.

@Cristale,

Tu te vautres et tu te revautres dans le sable et tu roules du haut des dunes et tu chantes avec le vent. Que tu accompagnes la narratrice dans ce moment intense est le plus beau des commentaires.

@Don,

Je ne sais pas jusqu'où on peut se renouveler et je ne sais pas si ça va loin; Mais ça vient de tant de bribes qui resurgissent, on croit qu'on est aussi sec que l'oued, mais non, ça vient toujours !
Merci de ton passage, Don, surtout que tu te fais rare en ce moment :)

@Perle-hingaud
@Stony

Vous m'avez fait réfléchir...

Et en relisant, je me demande si je ne pourrais pas déplacer le § du grain, même si je n'ai pas encore la solution car je crois que
"j'ai tant aimé le désert" et les phrases qui suivent se trouveraient déséquilibrées et du coup, le caïrn s'écroulerait !
Mais la caravane avance... :))

Oui mais....je dois t'avouer que je n'ai pas pu résister, en sortant de la toile, à un grand verre de glaçons noyés dans une menthe à l'eau :)
Trop (sic) joli ton texte Hersen! j'ai plané sur la douleur voluptueuse de tes lignes.

@Cristale, ne bois jamais glacé dans le désert.
Un thé à la menthe ?

Coucou, Hersen.

Surpris que Perle-Hingaud et moi-même puissions t'apporter un élément commun, mais enfin, la fiction littéraire permet sans doute toutes les licences.

Bonjour Hersen,

J'ai lu hier soir les derniers posts de ce fil.
Je réfléchissais à ta proposition de déplacer le paragraphe. Toi seule peut tenter et « ressentir » si c’est préférable ou pas.
Une autre piste (tu en fais toujours bien ce que tu veux, hein ?) serait de ne pas opposer les éléments mais de travailler à la fluidité d’une idée à l’autre. J’ai repris tes explications en fil. Si tu transformais de quelques mots le paragraphe, est ce que ça ne permettrait cette facilité de cheminement ?
J’ai mis ton texte et celui légèrement modifié en dessous, Evidemment, ce ne sont que mes mots, donc, à revoir, mais c’est l’idée.

Tant de grains et un seul qui me convienne, un seul doté d'un reflet épousant mon âme et ses quelques regrets qui l'habitent, unique parmi des millions qui me verra telle que je suis : aussi imparfaite qu'un éboulis de rochers au pied de la montagne au milieu du reg. Un seul que j'emporterai avec moi.

Tant de grains et moi qui n’en suis qu’un seul, un seul doté d'un reflet épousant mon âme et ses quelques regrets qui l'habitent, unique parmi des millions qui me verra telle que je suis : aussi imparfaite qu'un éboulis de rochers au pied de la montagne au milieu du reg. Un seul emporté dans la multitude.

ah oui, dans ce cas, il y a aussi le "qui me verra' qu'il faudrait mettre au pluriel en considérant alors que les autres grains la voient telle qu'elle est.

@Perle,

ta proposition est très intéressante car elle permet de préparer le lecteur (ce qui semblait être le point où tu coinçais) et de ne pas déconstruire mon empilement qui suit, ce qui m'embêtait beaucoup.

merci beaucoup pour ce retour !

de rien ! (je me suis fait plaisir à réfléchir sur ton texte, à vrai dire…)