J'ai deux questions sur la présentation des dialogues dans les textes soumis :
- pourquoi exiger un saut de ligne avant et après chaque dialogue ? Cela ne correspond aux règles typographgiques d'aucun éditeur pour qui j'ai travaillé ;
- même question pour les tirets en tête de chaque réplique : le tiret simple, en-dessous du "6" ("-"), n'est pas utilisé dans l'édition, il faut au minimum le semi-cadratin "–" ou le grand, là, "—" ; je comprends que ces deux caractères ne sont pas directement proposés sur le clavier standard, mais je vous avoue que j'ai toujours du mal à lire des dialogues utilisant le petit tiret.
- pourquoi exiger un saut de ligne avant et après chaque dialogue ? Cela ne correspond aux règles typographgiques d'aucun éditeur pour qui j'ai travaillé ;
- même question pour les tirets en tête de chaque réplique : le tiret simple, en-dessous du "6" ("-"), n'est pas utilisé dans l'édition, il faut au minimum le semi-cadratin "–" ou le grand, là, "—" ; je comprends que ces deux caractères ne sont pas directement proposés sur le clavier standard, mais je vous avoue que j'ai toujours du mal à lire des dialogues utilisant le petit tiret.
Demandé par Anonyme et répondu par Maëlle le 25-Mar-2011 20:36 (1504 Lectures)
Les règles de présentation sur Oniris sont effectivement différentes de celles de l'édition courante, tout simplement par pragmatisme :
Le saut de ligne avant et après les dialogues est un repère visuel. En édition papier, il ne serait pas nécessaire, car les limites de la page constituent déjà un repère. Pour la même raison, on demandera aux auteurs d'éviter les "pavés" de texte. Autant il est simple de se retrouver sur un livre, autant sur une page internet c'est moins facile : la ligne du haute deviendra vite la ligne du bas. Il est donc important de structurer l'aspect visuel du texte, et cette mise en page est un moyen simple (mais pas suffisant) d'y parvenir.
Pour le tiret, il s'agit d'une adaptation aux usages : la plupart des logiciels de traitement de texte ne gèrent pas les tirets quadratins par défaut. Plutôt que de devoir expliquer à chaque nouvel auteur comment procéder - ou de devoir changer tout les tirets du texte, sauf les traits d'union, ce qui donnerait un travail considérable aux correcteurs, nous avons choisi la solution la plus simple, soit ce tiret "6".
Le saut de ligne avant et après les dialogues est un repère visuel. En édition papier, il ne serait pas nécessaire, car les limites de la page constituent déjà un repère. Pour la même raison, on demandera aux auteurs d'éviter les "pavés" de texte. Autant il est simple de se retrouver sur un livre, autant sur une page internet c'est moins facile : la ligne du haute deviendra vite la ligne du bas. Il est donc important de structurer l'aspect visuel du texte, et cette mise en page est un moyen simple (mais pas suffisant) d'y parvenir.
Pour le tiret, il s'agit d'une adaptation aux usages : la plupart des logiciels de traitement de texte ne gèrent pas les tirets quadratins par défaut. Plutôt que de devoir expliquer à chaque nouvel auteur comment procéder - ou de devoir changer tout les tirets du texte, sauf les traits d'union, ce qui donnerait un travail considérable aux correcteurs, nous avons choisi la solution la plus simple, soit ce tiret "6".
|
|
