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Policier/Noir/Thriller
Jika : Petit, noir et serré
 Publié le 12/10/11  -  10 commentaires  -  10413 caractères  -  94 lectures    Autres textes du même auteur

"J'suis flic tout comme, sauf que j'suis pas vraiment."
Oué, c't'une drôle d'enquête qui charrie, point de doutes.


Petit, noir et serré


I


Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas croisé sa gueule dans un miroir, l’autre abruti. Alors quand il se réveilla la tronche enfarinée, l’haleine tue-mouche suite d’une ingestion de ragougnasse couplée d’un rouge bien rance, acide tel comme qu’il eût sué des litrons un dimanche d’août caniculos, exemple, et qu’il tomba face à un miroir trop net et sans aucune éclaboussure de quequ’ sortes, alors, virgule, il prit ses 40 ou 41 balais - il savait jamais trop, note - bien dans le jonc, jusqu’à la glotte. Il en toussa, bien gras, donc.

L’appart’ de la donzelle était coquelet et bien aligné de tous bords, et même un rayon de soleil matinal fort poussiéreux volatilement parlant lui rendit la réminiscence d’une photo de réclame, là même figurait une alcôve conjugale des plus douillettes, la même lui torcha le fion un soir qu’il avait oublié les feuilles roses au Super (faute au détour cervoises, mais c’est une autre racontade que voilà).

Toisant d’un regard inquisiteur ce visage défait, il se r’luqua la pomme jusqu’au fond des billes comme pour gagner enfin une castagne qu’il perdrait à tous les coups autrement, vu qu’il est rouillé comme une chariotte bien rouillée un hiver trop glacé, et vu qu’l’autre c’qu’un miroir, joli certes, mais qu'étain.

Expectore encore un coup.

Sa mémoire de moineau alcooqueliquot lui renvoyait des bribes décousues de la soirée d’hier, comme ce passage délicat d’entre la première et la deuxième heure d’la nuit, d’où que la prude avait dû jacqueter une engeance de la sorte :


- En fait t’es pas policier, t’es détective ? déclama-t-elle d’un ton quand même bien torché, la nénette, et désappointé, accessoirement.

- Oué chérie, j’t’ai mytho la tronche bien comme pas deux, m’enfin j’suis flic tout comme, sauf que j’suis pas vraiment car j’ai hérité de mon haut statut de détective - comme dans les romans, ma poule - juste le droit de pas être un abruti de poulet, à la solde des salpêtres du ministerium, et que j’m’occupe pas des PV et des putains (sauf certains samedis, sûr, j’suis qu’un homme moyen, vois), qu’donc j’suis un type bien, bien mieux qu’un bleu, j’te résume.

- Ah, fit-elle alors, mine faite et confite - dé en préfixe, j’oubliais.


Quoi qu’il en fût été, il avait eu vent de par son meilleur ami injustement logé au cachot d’la Bastoche, qu’à partir de 3-4-5 verres c’est bon, fille qui rit, ou pas même, au pieu passera, zou.

Il essaya en revanche de se recommémorer l’heure suivante, c’t-à-dire de 3-z’à-2, à l’envers donc, car il est bien universitaire en cette belle matinée poussiéreuse de remettre toutes les choses dans l’ordre adéquat, murge oblige, rappel.

Il avait réussi magistralement à infiltrer la couche d’la donze, pourtant qu’il se sentait laidron rapport à la pouffe qu’elle était, plutôt bien taillée de part en part. Bref, il avait zappé la deuxième leçon de son poteau pâlot, qu’à partir de 5-6-7 voire 8 verres d’alcool il tiendrait pas la dragée haute et rigide suffisamment pour aller au bout d’un accouplement consenti avec autrui(e).

Alors malin comme un bouc fétide, il avait feint au moment du turbin de s’endormir, cachalot échoué en feu mer Morte. L’autre crinière de cheval couleur blé n’avait pas réclamé son dû et partit au pays du pionce sans quémander quelconque reste.

En pleine nuit, vers 9 h 30 de la matinade, il avait été désendormi par un relent acide à tendance nauséique carabiné, ce qui le mit bipède direction Chiottes, sauf qu’il les avait pas vraiment situées lesdites dégorgeoires, et qu’il situa lors une douce flanquée de gerbillade fraîche où qu’il avait pu, n’ayant le contrôle sur son foie ulcéré. Dans un pot de fleur type yucca des Andes, crois. Ça l’avait soulagé force, pensait-il, toujours le pif dans c’beau miroir, qu’il remplissait de moins beau, sûr.

La psalmodie des piafs en c’te bonne heure lui évoquait la sensation hébétée du gonze qu’a trop tété du goulot peu précédemment, et qui comate, dents du fond pataugeant. Le calme banlieusard lui faisait du bien en ce jour-du-Seigneur matin, finalement. Oué.

Des cuis d’oiseaux fins et légers s’éparpillaient dans l’air adouci par un parfum bien de synthèse, remarque, mais pas trop puant, note.

À ce propos, les cloches de l’église carillonnent pieusement les 11 heures passées de mi-nuit, l’heure d’la messe, le temps s’étire bien vite qu’on mate sa sale gueule râpée dans du métal poli astiqué comme c’est pas permis. L’homme au cœur tendre et romantique se demanda s’il eusse pas mieux fait dorénavant de claquer le portique après avoir récolté 2-3 biscuits bien sécos pour le voyage jusqu’au chemin ferré.

Il flippait quand même un peu de la réaction à jeun du tendron quand elle eût vu sa gueule. À lui, entends.

C’t’à c’moment précis que notre Sherlock plus loque que Holmes r’ssentit c’truc pas banal qui avait fait sa réput’ dans le milieu du grand détectivisme, une sorte de boule au ventre et de flash dans les yeux qui lui disait “Il y a anguille sous roche ma foi”, ou plutôt “Méfie-toi toi, j’le sens point, et Dieu sait qu’j’renifle comme personne quand y a une merde de cachée sous l’sapin”.

Car oui, la merde c’était son dada, et il venait d’humer un bon gros étron fumant de derrière les fagots. « Oué », se dit-il, sourire en coin, légère bave blanche à la commissure du zygomatique orienté tribord.



II


Le poisson ainsi flairé, manquait plus qu’à l’extirper de la fosse septique pour voir de quelle gueule il jouit. Première chose à faire pour le concerné, arrêter sec d’se reluquer dans ce miroir de merde, arguant que de prime abord le spectacle est navrement vannant, s’il fallait exclure le caractère esthétique de la chose, ou, la Chose, situe. Pudique, il réajusta son slip mal encagoulé, l’enquête pouvait lors commencer.

Mais quel grand ‘quêteur de ce calibre pourrait décongestionner un mystère d’envergure sans s’attaquer primo à la chauffe d’un bon caoua noir bien des bas-fonds ? Certainement pas icelui.

Il se mit en quête de farfouiner les ordonnances de la salle à graille fin de dégoter un aimable filtre d’à café, serait point de trop pour recouvrer ses esprits, atrophiés en l’instance.

Il baragouina quelques pestilences salées tandis qu’il peinait à dégoter le sésame à noircir. La machine commençait à cliqueter de son haut tempérament Celsius, et il pensa bien y mettre son schlope pour assurer bonne décantation de mixture, mais sagesse recouvrant, il enfourna un quadrilatère recyclé (Sopalin, entends) dans le goulot de la gargotière électrique.

C’t’ainsi qu’une odeur caractère velouté des tropiques caressa ses naseaux broussailleux, note, et le mit disposé à déproblématiser l’insolutionnable énigme du jour.

Quequ’ lampées plus après, il se sentit fraîchement décramoistouille du bulbon, et initia donc tous styles d’élucubrations viables à souhait, imagine, fin d’élucider ledit étron dissimulé dans le logis de la rombière en somnolence.

À ce stade ci-présent, note que l’héros autant que Chroniqueur galèrent assidûment sur leur Pentécontore fin de trouver le mystère évoqué, devenant bien épais, l’étron gisant.



III


L’avait perçu l’entourloupe du coin de l’œil, comme qu’a déjà été dit, reconnais. Mais il était fin prêt à décalquer le vrai de l’ivraie. Au commencement, vois, était c’t’étrange verbiage d’la défunte.

Ah.

Ç’avait pas été dit précédence que l’excrémentation en question rapportait direct à la tôlière, inanimée dans son paddock. Sa carcasse gisait belle, moitié recouverte d’un drap chiffonné, comme de par hasard les jambonneaux large ouverts, pareil à une offrande au Ciel, et le détective d’y voir là Provenance de l’univers, référent pictural, situe, qu’il n’en connût pourtant point l’authentique dénomination.

C’te drôle de beauté occise présentait bien tous les dehors d’une camarde obscure. Repêchant d’un à un ses souvenances de la nuitée étoilée écoulée, il n’y situait rien d’explicatif rapport à la macchabée tout ouverte à lui. Force de reconnaître qu’éternellement dans son passif il n’avait eu de si belle proposition, c’étant bien dommageable que ce soye dans cette conjoncture mal-aisante, relié au manque de pulsations cardiaques chez ladite concernée. M’enfin, sûr qu’il s’en remettra prest’.

Le moins ordinaire, le plus étrange, ‘somme, c’est que le cachalot échoué ne portât aucunement quequ’traces de suffocation, de strangulement, de fêlures corporelles non-congénitales, de pharmacopée anesthésique issue d’codex dans la rate, d’ecchymoses signifiantes, d’humeurs dégoulinantes. Niet, que tchi, pas même une bafouille sur la table basset, juste son corps neuf comme qui dirait victime d’une avarie interne, la garantie périmant à l’heure zéro.

Le constat constaté, il gambergea fort sur une affaire qui lui troublait son harmonie intérieure si j’puis dire, car quand il avait débarrassé le lit de sa lourdeur v’là déjà un temps certain, il n’avait point pris garde à son hôte et à sa situasse toute raidie.

L’était-elle lors occise ou bien vivace c’moment venu ? Il n’eût pu désigner, vrai, quand qu’elle fit couic, la flancheuse.

La cadavérique sur l’dos, il s’questionna fort à savoir s’il urgeait de solutionner la mort ou s’il fallait déguerpir séance tenante sans revirer derrière, laissant la sèche à sa putrescence malfamée.



IV


Il aurait bien pris, c’moment arrivé, un autre caoua, le visiteur. Grand malheur lui prit, il avait gloupsé la dernière ration présentement dispo de triméthylxanthine. Fichtre bleu, dans ce faubourg de la rue Saint-Denis il risquait pas grand-chose d’avoir pénétré l’appartement d’une bagasse, une ribaude, une prostipute, quoi.

De plus l'assommoir au pied de la bâtisse présentait un percolateur qu’humait bon le café du Tchilli, après tout c’était pas l’bon jour pour sieur l’quêteur qui s’en alla siffler quequ’ degrés de combustible, une pensée quand même adoucie pour la pute crevée.

Il se f’ra 10 ou 15 balles en signalant une disparition suspecte au commissaire du quartier, qui connaissait d’ailleurs intimement ladite putassière, vois.



V


Souci du détail oblige, il faut confesser que ce bris de pipe resta à jamais insolutionné, mais qu’il faut point componction avoir, on n’a jamais alpagué une crise cardiaque, note.


Nota :

C’fut t-une enquête du Détective sus-indénominé, car innommable.


 
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   monlokiana   
14/9/2011
 a aimé ce texte 
Vraiment pas ↓
J’ai eu beaucoup de difficulté à lire cette nouvelle. L’écriture ne me convainc pas et elle est fatigante avec les abréviations comme :

« Oué chéri, j’t’ai mytho la tronche bien comme pas deux, m’enfin j’suis flic tout comme, sauf que j’suis pas vraiment car j’ai hérité de mon haut statut de détective - comme dans les romans ma poule - juste le droit de pas être un abruti de poulet, à la solde des salpêtres du ministerium, et que j’m’occupe pas des PV et des putains (sauf certains samedi, sûr, j ‘suis qu’un homme moyen, vois), qu’donc j’suis un type bien, bien mieux qu’un bleu, j’te résume. »

Beaucoup de difficulté à entrer dans l’esprit de cette nouvelle avec le premier paragraphe incompréhensible :

« Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas croisé sa gueule dans un miroir, l’autre abruti. Alors quand il se réveilla la tronche enfarinée, l’haleine tue-mouche suite d’une ingestion de ragougnasse couplé d’un rouge bien rance, acide tel comme qu’il eût sué des litrons un dimanche d’août caniculos, exemple, et qu’il tomba face à un miroir trop net et sans aucune éclaboussure de quequ’ sortes, alors, virgule, il prit ses 40 ou 41 balais - il savait jamais trop, note - bien dans le jonc, jusqu’à la glotte. Il en toussa, bien gras, donc. »

Le style ne me plait pas. Je n’ai pas terminé cette nouvelle à cause de l’écriture que j’ai trouvé indigeste.

Bonne continuation et bonne chance dans l’écriture.

   Anonyme   
19/9/2011
 a aimé ce texte 
Bien
Bon, il y a des trouvailles vraiment sympas : l'appart' "coquelet", la "mémoire de moineau alcooqueliquot", "fille qui rit, ou pas même, au pieu passera, zou", etc. Mais la langue écrite ici est très densément bousculée, au point que la lecture du texte a été parfois malaisée pour moi. Problème de dosage, je dirais.
Par ailleurs, j'aurais aimé qu'il y eût vraiment une histoire, pas seulement une anecdote prétexte à l'écriture débridée...

J'ai bien aimé le texte, mais je crois qu'il gagnerait à moins de déchaînement langagier.

   Margone_Muse   
30/9/2011
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
pfoui pfoui pfoui...
Que dire ?

L'intrigue est purement inexistante, tout est dans le style, particulier, c'est le moins qu'on puisse dire.

Ca ressemble à un exercice, que je dirais réussi : l'auteur va au bout du bout de ce qu'il voulait faire.
Mais bon, faut que ça plaise quoi. C'est pas du tout le cas avec moi (je suis une fille, peut être que les lecteurs masculins sont plus enclins à ingérer (puis digérer) ce genre de nouvelle... ?).
On me l'aurait lue, je ne réagirais peut être pas de la même manière mais là, j'étais trop occupée à déchiffrer un mot sur quatre, ne réussissant pas à prendre mon élan pour ce texte que j'ai mis (trop) longtemps à lire malgré ses "que 4 pages". Plus épuisant que jouissif, il faut le dire. Et puis à la base, même sans compter les tournures étranges, les "note", les phrases parfois à rallonge (la seconde, qui fait à elle seule quasiment tout le premier paragraphe, est des plus décourageantes), je ne suis pas adepte du langage familier (du moins pas en mode continu).

Donc voilà, je dirais que c'est réussi dans le genre, mais pas mon genre (du tout).

Bonne continuation à vous,
Margone_Muse

PS : j'aime beaucoup le titre ; et je mets pour vous que le résumé ne ment pas sur le contenu, c'est clair.

   caillouq   
2/10/2011
 a aimé ce texte 
Passionnément ↓
Quel souffle ! Quelle langue ! J'adore. Le résultat d'un accouplement contre nature entre Frédéric Dard et Julio Cortazar. De petites adresses au lecteur particulièrement réjouissantes. Je ne peux pas lister les trouvailles d'écriture qui m'ont ravi, avec les commentaires ça ferait plus long que le texte (allez, quand même, juste une, sobre mais parlante, juste pour dire: "la garantie périmant à l'heure zéro").
Quelques détails toutefois:
"... sur leur Pentécontore fin de trouver ...": là je n'ai vraiment pas réussi à déshiéroglypher ... Que veut dire l'auteur ?
La mention de l'étron un peu répétitive tant qu'on ne sait pas à quel degré le prendre (l'étron s'avère être la mort de la taulière, finalement. A la limite, on s'en fout :-)))) ).
"prostipute" qui est un emprunt direct à Vian
A la fin, on s'en doutait, point d'enquête policière réelle. Le défi serait d'avoir le fond en plus de la forme, d'où mon moins. Mais même comme ça, j'adore.

   brabant   
12/10/2011
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Bonjour Jika,


J'aimerais être plus positif pour ce délire verbal, mais abondance de biens nuit ; les trouvailles s'accumulant, le rythme de la phrase devient cahotique, et la lecture malaisée où l'on sent un peu un étranger, un intrus. On a envie de laisser votre héros à son verbiage, sa logorrhée, car il y en a des tics de langage et des constructions, des jeux de mots. Le texte n'en est pas à être hermétique pour autant mais vire à la sérénade pour initiés, salopes (au masculin) et cruciverbistes (des deux sexes). ça peut être amusant mais a priori on n'est pas là pour ça. Du moins pas moi. Vous avez pris votre pied en égoïste.


Je salue néanmoins une belle énergie, peut-être excessive, peut-être trop majoritairement scatologique. Est-il nécessaire d'en rajouter ainsi pour faire populaire des bas-quartiers, quartiers chauds, quartiers paumés ?

   Achille   
13/10/2011
 a aimé ce texte 
Bien
On sent qu'il y a un certain talent, mais mon avis est que la volonté de vouloir en faire trop alourdit le texte, et dirige l'attention uniquement sur la forme.

   Anonyme   
13/10/2011
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Jolie performance. J'avoue avoir ri à plusieurs reprises.
C'est un texte que je devrais bien relire une fois ou deux histoire de voir si j'ai bien tout compris mais il me semble quand même en avoir saisi toute la quintessence.
Pour être franche je ne lirai pas tout un roman dans ce style mais c'est l'avantage des nouvelles de permettre ce genre de fantaisie.

   victhis0   
24/10/2011
 a aimé ce texte 
Beaucoup
ben moi j'adore ceux qui osent écrire comme ça. Ils sont peu nombreux. Quelle langue amusante !
Que de trouvailles réjouissantes qui eussent plu j'imagine à Frédéric Dard ou à Chase. Bravo sans faille pour la forme.
Quelques bémols :
L'histoire n'est que prétexte au style et c'est bien dommage de ne pas avoir réfléchi un peu plus à ce que tu veux raconter.
Parfois on frise l'indigestion, surtout vers le dernier tiers où, plein de confiance, tu en rajoutes des pelles inutilement...

   Nachtzug   
14/1/2012
 a aimé ce texte 
Bien
J'avoue admirer la construction linguistique; il y a beaucoup de recherche et de maîtrise, un vrai pittoresque aux couleurs particulières.
Maintenant, elles ont aussi rendu ma lecture difficile, elles ramènent sans arrêt le lecteur à réfléchir le texte -c'est peut-être un des effets souhaités- et au fond, cette langue reste pittoresque comme une grande construction mathématique mais n'atteint pas la beauté poétique.

   Anonyme   
16/1/2012
J'ai aimé le style qui m'a fait sourire dans certains passages. Il est peu commun et c'est ce qui fait la singularité du personnage. Bien sûr, je ne lirai pas un roman entier écrit de cette manière là. C'est trop "épuisant". L'écouter serait plus aisé.
Merci à l'auteur pour cet instant original.


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