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Fantastique/Merveilleux
Liry : Au-delà de l'aurore (2)
 Publié le 26/07/08  -  4 commentaires  -  15434 caractères  -  6 lectures    Autres textes du même auteur

Cette histoire est la mienne. Je suis un chasseur du crépuscule. Je n’ai pas toujours été ainsi mais j’ai fini par accepter et aimer cette nouvelle vie. Et depuis, j’ai toujours pensé que rien de pire ne pourrait m’arriver et pourtant…

Solstice d'été, au cœur de la nuit la plus courte...


Au-delà de l'aurore (2)


Résumé :


Cette histoire est la mienne. Je suis un chasseur du crépuscule. Je n’ai pas toujours été ainsi mais j’ai fini par accepter et aimer cette nouvelle vie. Et depuis, j’ai toujours pensé que rien de pire ne pourrait m’arriver et pourtant…


Tout a commencé à l’approche du solstice d’été. La veille de la nuit la plus courte. En fait, je n’ai pas même eu le loisir de sentir le soleil se coucher. Le clan des Fondateurs m’en a empêché avant de me chasser de ma demeure, histoire de me rajouter à leur liste déjà longue de victimes.


Mais j’ai réussi à leur échapper et ils m’ont poursuivi jusqu’à la frontière des territoires interdits…


Je n’eus alors plus d’autre choix que de franchir cette fameuse frontière


********


Je m’arrête, surpris. C’est étrange, j’aurais cru ressentir quelque chose de différent. Quelque chose de plus, comment dire ? Effrayant ? Extraordinaire ? Alors que là, c’est tout aussi banal que de traverser une rue ou de marcher le long d’un chemin de terre. S’il n’y avait pas ces quelques statues servant de bornes, je penserais volontiers être resté dans le même monde, celui où ce soir encore s’étendait mon ancien domaine. Pourtant, elles sont bien là. Je regarde le passage ou plutôt cette ligne muette qui nous sert de frontière. C’est si simple à traverser, si facile de passer d’une terre à l’autre…


Si simple ! Trop simple !


Attention ! Mes sens toujours aussi en alerte hurlent. Je bondis en arrière sans même comprendre ce qu’il m’arrive.


Sensation de danger, mon corps a une nouvelle fois réagi plus vite que moi. Et cette menace qui est toujours présente ! Elle est si forte qu’elle en devient presque palpable.


Je reste immobile, un moment. Quelque chose se passe. Je sais pertinemment pouvoir compter sur mes réflexes. Mais là, je suis plus qu’étonné. Des cris, des animaux qui fuient en hurlant. Je me dresse un instant, déployant enfin ma cape bleu nuit ornementée de motifs où l’argent le dispute au jade.


Enfin, j’y vois clair. Encore eux ! Là, je suis plus que surpris. Ils ont donc osé ! Eux aussi sont passés. Ma surprise est immense. Ignoreraient-ils donc ce que sont ces lieux ? Et les risques qu’ils encourent à franchir cette si fragile limite.


Clac ! Un craquement. Une branche qui se rompt. Un ricanement m’échappe malgré moi. Pas très discret pour un chasseur du crépuscule. Je m’éloigne, jetant un ultime regard aux statues ternies. Rester là ne sert à rien. Autant les attirer ailleurs et peut-être en vaincre quelques-uns. Ça a beau être des amateurs, fraîchement transformés, je dois quand même m’en méfier.


Je me fonds dans l’ombre mais elle n’est plus aussi rassurante. Est-ce dû au solstice ? Non ! Il y a autre chose. Ça plane dans l’air, vibre dans les courants, depuis que je suis passé de l’autre côté. Une fragrance presque familière qui me pousse vers le septentrion.


Soudain, je les vois. Des bois, là juste de l’autre côté d’une longue prairie à découvert. Des bois, un labyrinthe de verdure et d’épines où je pourrai enfin les égarer.


Je jette un regard circulaire, embrassant tout le périmètre. Rien, pas âme qui vive. Juste des chevaux, blancs, élégants sous la moiteur de la nuit. Ils sont seuls ! Personne pour les veiller ? Tant mieux ! En plus, ils sont calmes et ne devraient pas me gêner. Si j’arrive à jouer finement, ils n’auront même pas l’occasion de hennir et encore moins de se cabrer.


Que ? Une barrière se dresse soudain devant moi. Obstacle dérisoire ! Je l’examine en un clignement de paupières. J’avance pour enjamber ce drôle d’objet, étrangement sculpté. Comment dire ? C’est à la fois robuste et ciselé avec finesse. C’est bien la première fois que je vois un tel ouvrage pour de simples montures. Quoique, j’en ai rarement vu d’aussi resplendissantes.


Ma main se pose sur le bois et là, surprise ! Il s’éclaire. Ah ! Je ne peux retenir un gémissement tant cela est douloureux ! On dirait une sorte de lueur, presque aussi forte que celle du…


Je l’effleure encore, juste un frôlement, et un nouveau cri m’échappe tant ma souffrance à ce bref contact se fait intense ! J’enrage ! Autant de douleur que de surprise ! Là, si mes poursuivants n’ont rien entendu, c’est qu’ils sont tous devenus sourds !


Qu’est-ce que je disais ? Ils sont déjà tous sur mes talons ! Et progressent à vive allure ! Les chevaux semblent se réveiller. Ils s’agitent.


Pour l’instant, toujours aucun signe des propriétaires mais vu le tapage imminent, cela ne devrait plus tarder.


Face à l’urgence, je prends mon courage à deux mains, empoigne de nouveau le bois et, malgré la souffrance qui me vrille les bras, franchit d’un bond l’obstacle. L’herbe où j’atterris est douce et humide, les chevaux se rapprochent. À voir leur allure, étonnement placide, remuant à peine leurs longues crinières, je ne risque pas de prendre de coups de sabot.


Visiblement, ce n’est pas ma modeste personne qui pourrait les effrayer. Comme s’ils sentaient que le danger ne provient pas de moi mais des…


Je me frappe soudain le front.


Arrête de délirer et avance, triple idiot. Tu attends quoi ? Que le clan des Fondateurs te tombe dessus ! Fonce vers le bois ! Un dernier regard vers les fiers animaux. Leurs crins glissent et ondulent en une danse fluide le long de leur nuque ivoirine. Une telle sensation de légèreté, de liberté. Soudain, je réalise que les autres, les Fondateurs, ne les auront jamais.


**********


La forêt, enfin, je m’y engloutis. Des arbres frêles, aux écorces veloutées, m’entourent aussi sûrement que le silence nocturne. Et mes poursuivants ? Ils sont là, bien sûr, comment pourrais-je seulement en douter ?


Un son qui fend l’air. Une ombre file droit vers moi. Assaillant redoutable mais aussi lent qu’un gastéropode asthénique. Je l’esquive et le déséquilibre d’un unique coup. Il s’effondre au sol. Loin au bas des racines. Je jette un œil stupéfait vers le bas. Ça s’est passé si vite que nous nous sommes presque envolés au sommet des arbres. Ensuite, l’autre, mon adversaire, a lourdement chuté sur le sol. Assommé. Mais déjà invisible à mes yeux. Étonnant, presque effrayant sachant que, normalement, même les insectes ne peuvent se dérober au plus infime de mes regards.


J’hésite un peu, bien que je veuille tant descendre, récupérer cette proie de choix qui vient de m’échapper. Moi qui suis tellement affamé. D’autres suivent encore. Les cimes, je ne pensais pas être si haut. Il faut dire que tout s’est passé si vite. J’ai littéralement escaladé les écorces. Ces arbres sont vraiment gigantesques et c’est assez troublant. Puisque lorsque j’y suis entré, cela ne ressemblait guère qu’à un simple bois, délicieusement aéré et maintenant…


Je frémis. Moi, qui suis censé être plus mort que vivant. Si tous ces superstitieux savaient. Je hume lentement l’air si frais, délicat, vibrant. Une autre magie glisse sur les courants, les imprégnant de mille senteurs, plus enivrantes les unes que les autres. Certaines sont si capiteuses qu’elles me feraient vaciller. Du moins, si j’étais encore un homme.


Soudain, ma paume me relance. Je la regarde et une grimace m’échappe. Une trace de brûlure, presque au fer rouge, sur ma peau si blanche. Cette barrière était bien double. Et je viens de réaliser qu’elle m’a blessé bien plus que je ne l’aurais imaginé.


Des mouvements sur le sol. J’ai eu tort de relâcher ma vigilance et m’apprête à filer.


Stop ! Danger ! Un autre de mes réflexes et trois projectiles sifflent au raz de mon nez.

Je glisse et chute. Ce qui, paradoxalement, loin de me nuire, me soustrait à la salve suivante.


Et je plonge vers le sol avant de me rattraper enfin à l’une des branches. Et les autres qui arrivent. Mais je n’ai guère le temps de m’y attarder. Ça recommence et fuse de tout côté. Des archers ! Et pas n’importe lesquels. Si émérites que les arbres ne semblent même pas les gêner.


Ne plus s’éterniser ici ! Ma cape déployée, je me laisse enfin tomber sur le sol. Un autre choc alors que tout s’illumine le temps d’un souffle d’un éclat phosphorescent. Quelle que soit la source de cette magie, elle existe bel et bien et monte en puissance. Je m’affaiblis ! Alors que l’approche de l’aube est encore si lointaine ! Mais enfin, où suis-je donc tombé ?


Mon, heureusement, très court malaise dissipé, je décide de reprendre ma course sur une voie de branches et de sève.


Aussitôt, au premier geste, une nouvelle volée de flèches fend les airs tout autour de moi. Mais comment ? Ma cape est mimétique ! Et nous sommes quand même en pleine nuit ! Personne ne devrait me voir à moins de…


Totalement plongé dans cette course contre la mort et toutes ces pensées qui se bousculent dans ma tête, je me sens soudain happé vers le sol. Un peu comme si une sorte de puits venait de s’ouvrir juste sous mes pas.


À croire que les arbres se sont reculés ! Un bref rire m’échappe à cette pensée qui me semble si saugrenue ! Un retournement et hop ! Je suis un peu comme les chats, je retombe toujours sur mes pattes.


Je me redresse. Ce n’est qu’une clairière. Une simple clairière ouverte au milieu des bois. Soudain, une sensation de vertige s’empare de moi et tout se met à tournoyer. Je ferme les yeux et me calme. Je les rouvre et tout se fige enfin.


Je considère un moment les arbres. Ils ne sont pas si loin. Ce serait si simple de chercher de nouveau leur abri. Non ! Avec la magie qui les enveloppe, ce serait trop risqué ! Et puis, j’ai une autre idée, en jouant finement, j’arriverais peut-être à débusquer l’un de ces fichus archers.


En plus, je n’ai même pas à attendre, d’autres flèches filent vers moi. Toujours aussi vite. Je les bloque toutes. Elles sont précises et je ne peux me permettre la moindre erreur. Je les pare encore et encore. Toutes sont légères et brisent le silence de leur tranchant. Malgré la finesse de mon ouïe, je ne peux localiser leur propriétaire mais je sais qu’il est là.


Chaleur, vie intense, son corps est aussi brûlant que le mien est froid. Du moins, semble froid. Il hésite ?


Est-ce dû à ma résistance ? Ou bien se demande-t-il ce que je suis vraiment ? Au moins là, nous sommes à égalité ! Et bien que je rame dans le brouillard nocturne, au moins une chose m’apparaît dans toute sa clarté ! Il ne lâchera pas ! Eh bien, soit !


Je reste immobile, reprenant mon souffle. Puis, avec des gestes lents, je ramène ma cape sur moi. Plus qu’un simple tissu, en réalité, mon dôme protecteur.


Quoi ! Ma respiration se bloque d’un seul coup alors que je me fige sur place. Des traits passent au raz de mes tempes. Je reste un moment les yeux grands ouverts sous le coup de la surprise ! Il ne me voit pas. Non ! Il ne peut pas me voir et pourtant… Cela ne l’empêche pas de viser.


D’autres sifflements ! Encore ! Mais combien en a-t-il à la fin !? Mes bras les parent tous, ma cape jouant à la perfection son rôle de défense. Fluidité, rudesse, mouvements. Dans un seul élan, je m’envole et atterris à l’autre bout du champ.


D’autres flèches fusent. Pourquoi n’en suis-je même plus étonné ? Lui aussi se déplace. Mais pas encore assez ! Feinter, l’obliger à bouger. Tout en évitant ses traits de plus en plus aiguisés.


Incroyable ! Plus ça avance et plus je réalise que son habileté et ses réflexes sont comparables… aux miens ! Serai-je donc revenu sans le savoir sur le territoire de chasse des êtres de la nuit ? Mon propre instinct de prédateur se réveille. Une telle prise, je ne peux la laisser filer !


Soudain, je les vois !


Quelques éclairs très fins. Enfin quelque chose qui peut m’être utile ! L’éclat de la pleine lune sur une sorte de lame. Ce fut très bref mais cela ne m’a pas échappé ! Aussitôt, je me plonge dans le royaume des herbes. Des impacts sur le sol. Il ne sera donc jamais à court.


Mais une chose est sûre maintenant, contrairement à ses flèches, lui, il est bien seul ! Un solitaire comme moi ! Je rampe presque entre les tiges, dissimulant au mieux mon approche, tel un félin s’approchant de sa proie. Les herbes se ploient. Je décris tant de mouvements, ne perdant pas même l’espace d’une seconde l’origine de ses tirs brillants. Et il ne bouge pas !


Croit-il tant en sa force ? Ou ne me remarque-t-il simplement pas ? Plus ?


Sa chaleur, la seule chose qui le trahit. Je me concentre. Sur lui, bien sûr, mais pas uniquement. Cette chose qu’il tient en main. Qu’il imprègne de son odeur.


Mes yeux, la lune passe derrière les nuages. Les herbes me frottent la peau. Ma cape glisse sur mon ordre. J’enroule précautionneusement certains des pans autour de mes bras.


Ce disque d’argent au-dessus de ma tête encapuchonnée, l’air qui tourbillonne. Et puis, le vent qui se joint enfin à la fête, me caressant longuement avant de se couler vers l’autre. Je l’imagine déjà en train de humer mon odeur quoique je sache qu’elle est plus que légère, presque indécelable…


Masses sombres et cotonneuses suspendues entre ciel et terre. Et revoilà une nouvelle ombre enveloppant avec tant de jalousie l’éclat de la lune, nous replongeant au cœur d’une nuit aveugle. Comme des mains devant nos paupières. Ombre protectrice et alliée, complice de toujours.


Je bondis en un seul geste ! Aussitôt des pointes de riposte fondent droit sur moi. Je les évite toutes. Enfin presque puisque certaines d’entre elles traversent mon lourd tissu protecteur. Mais je ne ralentis pas. Je suis parti aussi vite que possible et je ne compte pas abandonner. D’autres, encore ! Il se relève surpris alors que je décolle littéralement. Je l’attrape presque. Il se dégage in extremis.


J’enrage ! Mais mes lèvres s’étirent le temps d’un bref sourire. J’ai quand même gagné quelque chose. Ce fil qui ne cesse de me menacer, de me faire voler en tout sens.


Clac ! Un bruit sec. Je l’ai sectionné. Et je ne compte certainement pas lui laisser le temps de réparer.


Je me concentre, rassemble mes forces. Une certitude s’est fait jour en moi ! Le reste de l’arme doit lui aussi voler en éclats ! Je le tiens toujours par un fil tenu. Je ne l’ai pas lâché. Je l’attire vers moi d’un mouvement sec et puissant.


Aussitôt, il le lâche. Surpris, je suis entraîné par ma propre force. Bien sûr l’autre en profite pour s’éloigner mais je tiens toujours son fichu arc entre mes mains.


Un geste, et je broie le tout entre mes doigts avant de replonger sous l’effet d’une nouvelle attaque. Bien sûr, il en faut plus pour l’effrayer ! Décidément, cette nuit qui devait être la plus courte de l’année est maintenant sur le point de devenir la plus longue de ma vie.


Deux autres gestes. Il se méfie. Les bois l’appellent. Oh non ! N’espère pas te remettre hors de ma portée. Je m’élance. Cette fois, nous sommes face à face.


Mes mains l’agrippent mais il me repousse, j’ai juste le temps d’entrevoir son visage. Et ô surprise, il est presque aussi pâle que moi !


Je reste un bref instant immobile sous le choc de cette si étonnante découverte alors qu’il se rue sur moi ou plutôt sur ma cape, faisant apparaître mon visage !


Et je peux voir alors les yeux de mon assaillant s’ouvrir tout grands, presque autant que les miens quelques secondes auparavant ! Découvrir l’étonnement qui se peint sur son visage au teint d’ivoire. Il faut reconnaître qu’en dehors de ses oreilles fines et pointues, nous avons pratiquement le même reflet !



À suivre...


 
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   xuanvincent   
30/7/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Après l'attente, la fuite...

Qui sont ces mystérieux Fondateurs ?
La fin m'intrigue...

Cette partie, comme la précédente, se lit bien et m'a intéressée (en particulier pour son côté fantastique).

Le côté visuel de la narration a retenu mon attention.

PS : - Je ne mets pas volontairement d'appréciation pour cette deuxième partie.

PS (2) : Dans l'attente de la fin de l'histoire, je mets finalement une évaluation, qui correspond à ma première impression.
- Le fait de lire le résumé au début de l'histoire, qui est assez détaillé, m'a un peu gênée. En effet, j'aime bien garder l'effet de surprise jusqu'au bout (mais sans doute est-ce ainsi que l'on fait d'habitude ?)

   Sebastien   
28/7/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
J'attends le site avec impatience ! On imagine parfaitement les couleurs de cette nuit de traque fantastique, bien joué. Mis je n'ai pas eu mes explications, donc je suis obligé de lire la suite ^^.

   Azurelle   
1/8/2008
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Je trouve que tu abuses des phrases courtes du coup quand je te lis je suis toujours en alerte... Essaie de plus marquer tes actions sinon ton histoire est original mais c'est quelque chose qui m'a gêné lors de ma lecture... Surtout s'il s'agit d'une histoire longue les paragraphes courts les phrases courtes à des moments à suivre ça me paraît lourd... Mais et je termine toujours par ce qui m'a plu ^^ on est à fond dans la tête du personnge. Le hic c'est qu'avec tes phrases courtes on peut avoir l'impression que loin d'être étonné le personnage manque d'entrainement or je ne pense pas que ce soit le cas... Il est toujours surpris. Dans ta première partie cela ne m'a pas choqué car je me suis dit il est surpris car ce n'était pas prévu... donc je ne sais pas mais voilà à peut près ce que je pense...

   xuanvincent   
19/9/2008
erreur de post... Message à supprimer.


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