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cherbiacuespe
20/9/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Diable! Quel sujet passionnant, complexe, périlleux! Quel courage de l'aborder sous un angle si particulier. Je m'incline!
Une écriture d'une grande simplicité qui facilite lecture et reflexion. Pas ou peu d'erreur. Le style est celui d'un article journalistique et il est de bonne facture, ne se prend pas les pieds dans le tapis, ne s'éloigne jamais de son sujet initial. Mais est-ce une nouvelle? Oui, selon moi. Comme l'auteur le souligne, il y a deux finalités totalement opposées que fait ressortir ce texte : soigner d'abord, pour soulager et/ou guérir. C'est la base. Ensuite améliorer ses performances de manière "artificielle", alors que l'être humain possède en lui tout ce qu'il faut pour progresser, à une vitesse naturelle. Là, nous tombons dans un autre domaine, celui de la société qui n'accepte pas la mort, les difficultés, la défaillance et j'en passe. Le problème est donc moins la technologie que ce que l'on en fait. Fatalement, on retombe sur le vieil adage "science sans conscience n'est que ruine de l'âme". Le problème posé par ce texte est immense car il questionne de nombreux domaines et disciplines. Cherbi Acuéspè En EL |
jeanphi
20/9/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Bonjour,
Vous exposez un sujet qui ne manquera pas de capter les esprits, l'homme peut, tout au mieux, nier la fascination dégoûtée ou non qu'il éprouve à l'évocation du transhumanisme. Où cela a-t-il commencé, jusqu'où cela nous mènera-t-il. Je regrette que cette exposition ne soit pas suivie du développement et de la conclusion qui ajouterait de l'intérêt à votre dissertation. Je vois ce texte comme la quatrième de couverture d'un catalogue qui traiterait en détail du sujet. Je croise les doigts pour votre publication. |
Donaldo75
11/9/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Le texte est bien écrit car le style rédactionnel correspond bien à la catégorie « réflexion / dissertation » proposée au lectorat. Le sujet est très intéressant. Je trouve que le traitement reste en surface, avec quelques raccourcis – du genre celui sur la série intitulée « l’homme qui valait trois milliards » - pas forcément heureux au vu de la profondeur attendue sur le thème. En fait, ce dernier mériterait plus que quelques considérations et des points d’interrogation en fin de texte. Les points d’interrogation, à la longue, ça donne moins une impression de réflexion que de questionnement. Et ça tue un peu la dissertation.
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Marite
22/9/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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" La société post-humaine peuplée d'individus avantagés par des implants technologiques est à notre portée. Un pas de plus vers l'esclavage de notre propre corps pour assouvir nos rêves et notre recherche du bonheur."
Réalité de notre époque actuelle bien définie dans ce paragraphe et les questionnements en conclusion sur l'être humain en devenir rendent compréhensibles les "frissons d'effroi" du narrateur. Déjà nous glissons sur cette pente lorsque nous consommons, souvent sans prescription médicale, des pilules sensées rééquilibrer nos fonctions vitales ... c'est le début de la mise en "esclavage de nos cellules". Thème de rélexion vraiment intéressant et l'écriture fluide, sans vocabulaire compliqué en facilite la lecture. |
Salima
4/4/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Sujet très intéressant et bien traité dans la forme, le développement
des idées, le langage, je trouve. Pourtant, il me semble qu'il y aurait eu matière à aller plus loin dans la réflexion. L'auteur ne se contente-t-il pas de décrire des faits ? Il y a une sorte de censure qui retire au texte de son engagement et de sa faculté à provoquer l'émotion chez le lecteur. Peut-être aurait-il été adéquat d'intensifier la description des possibilités positives de transhumanisme, puis à l'inverse : les negatives également. Mais cela reste un bon article, naturellement. |
Damy
2/8/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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La tech progresse pour le bonheur des milliardaires de la Silicon Valley. On cherche une exoplanète pour sauver l’espèce des radiations atomiques. On invente une autre intelligence (je ne dis pas artificielle, c’est interdit) pour penser à notre place et pour pouvoir paresser tranquille, un cerveau dont les neurones à nouveau connectés se reproduisent dès qu’ils meurent, on invente un métalangage binaire, une cryptomonnaie pour maintenir la valeur du dollar et du rouble. Les sociétés n’existent plus, c’est les yeux dans les yeux. On a remplacé le besoin d’amour par un besoin plus lucratif. Il n’y a que 2 genres : le fort et le faible. La poésie ne rime à rien, elle n’est plus libre d’expression ni classique de courtoisie depuis longtemps. On ne sait plus communiquer que par les émojis, et encore, un pouce levé ou un pouce baissé suffiront pour 5 plumes. Le glyphosate n’est interdit qu’en France, mais BR vaincra.
Jeune, je me suis nourri de la philosophie de Jacques Ellul et Bernard Charbonneau, des pionniers de l’écologie politique, des chercheurs sur la dialectique des rapports entre l’homme et les outils qu’ils créent. Ils craignaient alors que l’homme put se servir de la voiture pour s’émanciper de la vitesse… L’avenir est à la spiritualité quantique. |