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| papipoete
1/12/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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libre
Il était parti loin au-delà des mers, au-delà des montagnes ; elle savait qu'il reviendrait, mais quand ? pas trop tard si elle vint à s'éteindre... NB n'attend-t-on pas une fois dans sa vie, celui que l'on ne put retenir ? et le soir venu, éteindre la lumière pour enfin l'apercevoir, et le garder à condition de ne pas s'endormir... extrêmement poétiques lignes sur l'attente, jusqu'à " ne plus vouloir vouloir " je suis très touché ! papipoète |
| Ornicar
11/12/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Un prénom de femme en guise de titre, des vers libres un peu énigmatiques, les thèmes récurrents de l'absence et du temps qui passe, de l'oubli peut-être, tiens... il me semble reconnaître cette plume là.
Cette fois pourtant, je reste pourtant mitigé. J'ai un peu de mal à embarquer dans ce poème et je ne saurai dire précisément à quoi ça tient. Cette impression de "déjà vu", justement ? Heureusement, mon intérêt s'éveille à nouveau dans la deuxième partie, à partir de "Rester dans le noir". J'ai bien aimé, glissée à ce moment là, cette formule du lâcher-prise : "Ne plus vouloir vouloir". Et surtout, l'irruption de cet "interrupteur" qu'il ne faut pas toucher sous peine de rompre la magie du songe. Un objet d'une banalité confondante de nos jours, mais chargé d'une puissance symbolique quasi divine puisqu'il permet à la main de l'homme de "faire la lumière". En résumé, je trouve la première moitié un peu faible avec une poésie qui a du mal à décoller. La deuxième me semble nettement meilleure en comparaison. |
| EtienneNorvins
24/12/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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A l'espagnole, cela murmure comme une lumière à l'imparfait... A l'italienne, on entend le canto d'Un bel dì, vedremo... Je ne me lasse pas de vous réitérer mes remerciements pour tant d'émotions contenues.
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| Eskisse
24/12/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Aldo,
Haute poésie qui ne se laisse pas commenter facilement... Regarder dans l'obscurité un "il" , son double de lumière... Un poème en clair-obscur où la solitude pleut au-dessus des bateaux et des berceuses. Bravo ! |




