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Poésie néo-classique
arnoallar : II
 Publié le 27/04/08  -  3 commentaires  -  964 caractères  -  24 lectures    Autres textes du même auteur

Deuxième et dernière rencontre avec l'amour envolé.


II



Parfois j'en rêve,
Cette lumière sur ta robe
Parfois j'en rêve,
Cet éclair dans tes yeux,
Puis l'explosion de chaleur
Qui remplace ton corps, ton visage...
Parfois j'en crève
Je m'oublie, je t'invente
J'ai pas su quoi te dire,
J'ai pas dit...
Des chaussures à la main,
C'est con, c'est drôle.
Plus faim, plus soif, plus rien
Parfois j'en bave
Quand je tombe dans leurs bras
C'est toi ? Non. Bon.
Alors je fais ma route.
Parfois je sombre, et je te dis de partir.
Parfois je meurs, et je te dis où j'en suis.
Souvent je veille
Tu ne m'empêcheras pas de vivre
Si je ne peux te toucher, je ne ferai que t'écrire
Puisque tu es partie, je les aime, mais c'est pire.
Parfois, je t'aime encore,
Amanhite trompeuse, princesse enchanteresse
Parfois je t'aime encore,
Dynamite foireuse, ô divine prêtresse.


 
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   Couette   
27/4/2008
 a aimé ce texte 
Bien
J'aime ton poème car il me "parle" comme on dit... le ressenti est bien exprimé...

   clementine   
27/4/2008
 a aimé ce texte 
Bien
Parfois j'en rêve, parfois j'en crève...J'aime bien les mots et la musique de ce poème.

   daphlanote   
3/1/2010
 a aimé ce texte 
Un peu
L’amorce est difficile (mais sans doute est-ce plutôt parce que je suis fatiguée). Le texte coule bien, glisse sur la langue, même s’il n’a pas ces sonorités savoureuses dont e raffole tant.

Quelques remarques (humble avis, j’insiste ^^) :

« Parfois j'en rêve,
Cette lumière sur ta robe
Parfois j'en rêve, »
La répétition est de trop

« Parfois j'en crève »
De même, le parfois me gène, comme s’il alourdissait les vers. Non, il les ralenti plutôt.

« Des chaussures à la main, »
J’aime.

Images simples. Le parfois, le pourquoi et la ballade.

Merci à toi pour ce texte. Agréable, sans complexe, doux dans la forme. J’ai aimé le lire. Je ne le retiendrai peut-être pas, mais a valu la peine d’être lu.

A plaisir de lire autre chose, avec ce quelque chose en plus qui fait que j’ai aimé, sans doute.


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