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Robot
9/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Une fable bien conduite et plaisante.
Les rimes ne sont pas toujours trés riches pour un sonnet, mais je trouve l'exercice globalement réussi. |
Lebarde
11/10/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Ne pas de satisfaire de son sort et du physique dont on vous a doté et envier ceux des autres peut conduire à de cruels déboires comme l’a vécu le serpent de cette petite fable gentillette.
« Las souvent, l’obsession, du danger, nous distrait « ( je trouve le conseil intéressant mais la formulation un peu maladroite et alambiquée pour ce vers et certains autres aussi…pas vous ?) J’aime assez le jeu de mots du titre, un peu moins les fautes sur les rimes dans les quatrains qui pénaliseront ce sonnet présenté en classique. Dommage il y avait sans doute mieux à faire. En EL |
Eskisse
19/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour
Un sonnet que l'on pourrait placarder dans les salles d'attente de chirurgie esthétique ! :) Je trouve à ce sonnet un ton mordant. L'obsession est bien marquée par les indications de fréquence dans le deuxième quatrain, et la succession de verbes à l'imparfait d'habitude, l'illusion bien rendue par la métaphore " l'ouate du mirage" , le dépit initial marqué par les hyperboles " quelle caricature", " ce forfait". Le recours à la magie ( "des abracadabras" ) pointe bien le désespoir de ne pouvoir supporter son apparence. En revanche, je trouve à la morale (dernier vers) un côté " évidence" qui me déçoit un peu. J'aurais aimé quelque chose de plus percutant. .. |
Boutet
19/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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J'aime bien cette fable en forme de sonnet néo. Comme quoi, il faut souvent se satisfaire de ce que la nature nous a donné. On aimerait toujours un peu plus ou autre chose sans en mesurer les conséquences éventuelles.
Les puristes regretterons quelques approximations pour un sonnet mais comme il est proposé en néo, ne boudons pas notre plaisir. |
Provencao
19/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Ascar,
La dure vérité de ce serpent est éblouissante : vraie mais inhabitable. La déclinaison des dangers rehausse les rêves et espoirs et ses nuances. Elle rehausse l'écriture. Belles réflexions en votre poésie : Nous faut -il le corps, nous faut-il les sens pour pouvoir percevoir l’esprit? Nous faut-il les mues du corps pour que l’âme s'élève? Au plaisir de vous lire, Cordialement |
papipoete
19/10/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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bonjour Ascar
Un animal qui songe, et qui parle... - je ne dis rien " Mais maman, comment tu m'as fait ? j'suis pas beau, et si l'on m'attaque, je ne pourrai même pas me sauver à toutes jambes ! - abracadabra, Dieu des serpents, fasse que pendant mon sommeil, tu me greffes des pieds ? NB un récit drolatique à nos yeux, mais pas à ceux du rampant sur qui louche un rapace, venant clore la rêverie de cet animal " pas fini ". j'aime bien la trame développée, hormis au premier tercet ce " simplet " qui rend péjorative cette ligne. Je ne peux m'empêcher de songer à Philippe Croizon, privé de tous ces membres, et qui pourtant " marche et gambade " le second quatrain a ma préférence. techniquement, le premier vers et el son " serpent/arpent " est douteux ; au 11e vers, selon qu'on lit " ouate " en synérèse ou diérèse " ou/a/te " son mètre put changer |
EtienneNorvins
19/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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La fable sympathique, drôle d'abord puis cruelle - mais je dois avouer qu'elle m'a déçue - au sens de trompé : le titre et le premier quatrain, avec ce serpent qui promet un sonnet, et multiplie les doubles sens 'métriques' m'a fait espérer une chute moins 'banale' - où le serpent serait devenu poème. Mais à y revenir, je ne boude pas mon plaisir de lecteur.
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RaMor
20/10/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Ton poème a une idée simple et chouette : un serpent qui rêve de pouces pour devenir “comme tout le monde”, et la fable qui rappelle qu’à trop rêver on oublie le danger. Ça se lit avec le sourire : le rythme file bien, les rimes sont nettes, on entend presque la voix du serpent. Là où ça accroche un peu, c’est que l’ensemble reste très sage : certaines rimes sentent le “il faut boucler le vers” (“abracadabras/bras”), et la morale finale explique un peu trop. Tu gagnerais à glisser une petite surprise une image drôle, un mot inattendu et à laisser la chute faire le boulot sans commenter. Par exemple, au lieu de “l’utopie et réel…”, fais voir la scène : le serpent qui, les yeux pleins de rêve, ne voit pas l’ombre qui passe, puis le battement d’ailes, silence. En resserrant deux ou trois vers et en choisissant une image de fin plus suggestive, tu gardes le charme et tu ajoutes la piqûre qui reste en tête.
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A2L9
20/10/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Pieds, mains, jambe, bras et quatre pouces. Je relis votre poème dans ma tête et voilà les mots que j'ai retenu, cela devient un personnage multiforme.
S'accepter avant tout. |
Bodelere
21/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Déjà le titre est très astucieux
Je trouve ce poème en forme de fable réussi et agréable à lire Et bien sûr une morale sur notre insatisfaction à vivre notre condition humaine Le thème est un peu connu mais les mots sont là |