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Poésie néo-classique
Chenier : Ô Ma douce vierge, née enfant, que tes rêves avaient brisée
 Publié le 07/02/08  -  3 commentaires  -  1452 caractères  -  27 lectures    Autres textes du même auteur

Nos rêves parfois nous submergent, face à cette femme
qui espère toujours à l'amour, et qui jette son écume d'or
à l'infini...


Ô Ma douce vierge, née enfant, que tes rêves avaient brisée



Ô Splendeur divine de la chair ! Ô vénusté idéale !
Ô Renouveau retour du printemps, aurore triomphale.
Elle courba la tête, et des larmes roulèrent aux pieds des Héros.
Et cette peau blanche que les antihéros.
Caresserons, couverts de neige, la mémoire des roses,
Les femmes en fleurs, sous leurs lèvres écloses !
Ô grande Ariane, qui jettera ici tes sanglots !
Sur la rive lointaine de tes souvenirs, oui là-bas sur les flots,
Blanche de pureté, sous le soleil, le corps nu de Thésée,
Ô Ma douce vierge, née enfant, que tes rêves avaient brisée,
Toi ! Ma déesse, d'or brodé de noirs destins,
Tes pensées amoureuses, promenées par des vers alexandrins.
Et les alizés lascifs feront voler au vent ta chevelure rousse,
Le long des fleuves coulent tes larmes, sur les sombres mousses.
Ton cou de cygne, se berce comme une enfant.
Ton corps nu désespérant, qui jette son corps blanc.
Aux ondulations nerveuses, frissonnant dans les vagues,
Et amour tu tourneras doucement vers moi ton œil vague ;
Et laissera, embrasser, tes lèvres en fleur.
Au front du ciel ; tes yeux seront fermés ; elle meurt.
Dans un râle divin, et ton baiser, et le flot qui me murmure.
De son écume d’or, qui fleurisse le printemps de sa chevelure.
Entre la rose si amoureuse et de ton cœur bénisseur.
Et je me glisse amoureusement, dans ce grand Cygne rêveur.


 
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   Anonyme   
7/2/2008
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
Mots savamment mélangés et accordés, d'images pieuses ou exacerbées, chastes en folie...

   Lariviere   
8/2/2008
Oui, c'est joliment écrit...

La veine est singulière... Les images puissantes...

A suivre...

   Anonyme   
1/10/2016
 a aimé ce texte 
Vraiment pas ↑
Hier, j'ai lu un autre de vos écrits, plus j'avance dans mes lectures, et plus je suis désappointé, même thème, même vocabulaire répétitif (amour, amoureuse, amoureusement, chevelure, corps nu, neige, rose, lèvres etc ... ) jusqu'à certaine même phrase identique, " de son écume d'or", entre autre, et hélas il y a en d'autres, aucune originalité. De plus vous venez encore à citer "des vers alexandrins".

Je ne peux que avoir un avis négatif sur ce texte sans surprise, il est fait telle une rengaine plate et ennuyeuse. Il faut à un moment ou à un autre changé de registre, l'esprit créateur et innovent, qui caractérise le poète, vient à vous manquer cruellement.


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