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papipoete
4/7/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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bonjour Donaldo
15h06, toujours pas de commentaire ? alors j'y vais du miens ! - dis ciel, te rappelles-tu de notre jardin, quand les fleurs se courbaient sous le poids du bourdon, faisaient la révérence devant Maman qui se baissait pour humer leur parfum... Au jourd'hui, ne reste qu'une herbe rase que le soleil grille, et des ombres en plein jour, projettent des personnages effrayants et cette machine qui crache sa lumière verte comme un fiel... qui ne comprend pas, ne saisit rien même mes prières liberté fraternité NB non, point d'Eden en France ou ailleurs, mais ce que à quoi pourrait ressembler notre planète, quand des apprentis-sorciers peroxydés, se seront succédés à la tête de pays, durant combien de décennies, avant de porter le coup de grâce... à la vie. Je pense que le héros parle " d'outre tombe ", car ce tableau peut être une Pierre de Rosette, où l'on découvrait l'Avant, le Pendant, et plus de Futur. Un thème que Spielberg pourrait imprimer sur une toile. Le prêtre et ses psaumes pas très catholiques, me fait sourire ( jaune ) |
Provencao
5/7/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Donaldo75,
"J’avance pieds nus sur ce sol moite dont chaque brin d’herbe semble vouloir me parler, me raconter son histoire." Le titre de cette poésie " Le jardin" fourvoie le profil et gangrène ses douleurs. Il s’accapare de verbes et les maltraite, en détourne le sens, les échancre et leur aboule une charge instinctuelle, brusque et brutale. Une réflexion forte sur l'abîme et le coup du sort. Au plaisir de vous lire, Cordialement |