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| Robot  15/12/2013  a aimé ce texte  Beaucoup | Toutes ces images sont d'une grande beauté évocatrice. Moins apprécié "de ce côté d'Antilles" dont l'approximation jure avec le reste de la strophe et l'inversion "d'une inquiète écriture" qui pouvait être évitée puisque le poème n'est pas rimé en classique. Par contre, je me suis régalé de la sixième strophe, la plus réussie de l'ensemble à mon goût. Cette image des enfants d'Haïti, au delà de la misère, nous apporte par sa pudeur évocatrice, une forme d'espoir pour l'avenir de ce pays. | 
| Arielle  15/12/2013  a aimé ce texte  Beaucoup | Beaucoup de grâce et d'élégance dans la danse fragile de ce cerf-volant qui tente d'échapper à la misère du monde terrien.  L'ensemble du poème paraît s'articuler autour de la troisième strophe particulièrement touchante. Je trouve cependant la conclusion affaiblie par son image : Le reflet que renvoie un miroir n'est-il pas l'exacte réplique de la réalité ? Il me semble que vous la sous-entendez trompeuse, la légèreté du jeu aérien ne correspondant pas à la lourdeur du quotidien de ces enfants, c'est du moins ce que j'ai compris grâce à l'exergue et le reste du texte. | 
| Miguel  15/12/2013  a aimé ce texte  Bien | Quelques belles images et une tonalité un peu mélancolique qui convient bien au fond du sujet. Mais pour évoquer la danse céleste du cerf-volant cet hexasyllabe étriqué manque par trop de souffle. C'est dommage. | 
| Anonyme  15/12/2013  a aimé ce texte  Beaucoup | Bien joli tableau ! Ce " bel oiseau de frisson de couleur " qui symbolise le rêve de quitter une condition misérable " L’enfant, dans sa poussière, À poursuivre les nues." De fort belles images, légères comme ce cerf-volant en quête de l'inaccessible. " En dévidant le fil L’enfant veut-il voler ? " | 
| Anonyme  15/12/2013  a aimé ce texte  Beaucoup | Bonjour Edgard. Les cerfs-volants d'Haïti après ceux de Kaboul (de Khaled Hosseini) traitent en fait du même sujet... Un moyen pour des gosses d'échapper momentanément à leur sombre quotidien, à la misère comme à la guerre, par le biais de ces oiseaux de couleur et de liberté que représentent ces "Alcyon de pacotille"...   J'ai lu de nombreux articles sur la Cité Soleil mais j'ignorais Bel-Air, en fait deux noms ô combien poétiques qui cachent une triste réalité. Pour en revenir à votre poème, beaucoup de belles images, un développement bien mené et une chute qui nous interpelle. Merci ! | 
| leni  15/12/2013  a aimé ce texte  Beaucoup | Bonjour Edgard Une poésie réaliste triste imagée Une plume d’amour Qui se pourrait glaner, Ou s’en viendrait feuillir De ce côté d’Antilles ? ce passage me plait particulièrement: Le fier voilier de feu, Au-dessus des misères, S’amuse, ondoie, sinue, L'expression est sobre elle touche d'autant plus Terminer par figure humaine est un joli choix Bravo et merci salut cordial Leni | 
| hanternoz  20/12/2013  a aimé ce texte  Beaucoup | De jolis mots pleins de sens. Une belle lecture ! "Il danse et s’évertue, L’enfant, dans sa poussière, À poursuivre les nues." Comme ces enfants qui jouent au foot avec une boite en ferraille. J'ai aimé la fluidité de ce poème, sa sonorité. Cordialement Hz | 
| senglar  21/12/2013  a aimé ce texte  Beaucoup ↑ | Bonjour Edgard, Classieux ! Où l'on assiste à l'envol des âmes, où le texte et son vers court épousent la virevolte de ces âmes dont on sait que le fil ténu ne se brisera pas, protégé par Ezilie, mais où "L'étranger" est appelé à ne pas rester un simple touriste égoïste. Il y a de la vie là. Brisons les appareils photos ! Et aidons à conduire les cerfs-volants ! Merci pour le message :) Brabant | 


 
  
											 

