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Poésie contemporaine
fried : Nos jardins glacés
 Publié le 12/10/17  -  9 commentaires  -  788 caractères  -  210 lectures    Autres textes du même auteur

Suite à une panne de chauffage en hiver, j'ai retrouvé le plaisir de la couette.


Nos jardins glacés



Serre-moi fort, mon amour
Contre ton corps de braise
La lune est gibbeuse autour
Et sur nos jardins il neige.

Embrasse-moi, mon amour
Oui, mets le feu à ma nuit
Car au-dehors le vent court
Et un loup rôde sans un bruit.

Sous la couette, on s'est enfouis
Aime-moi encore, mon amour
Je t'ai dessinée nue et givrée
Sur notre vasistas gelé.

Sous des reflets de lune mordorée
Aux glacis de nos jardins secrets
Dans mes bras mon amour, encore tu frémissais
Épanouie de tes défenses évaporées.

Dans la tendresse matinale de ce dimanche
Je t'ai retrouvée ma toute belle-de-nuit
Du cristal en ta chevelure devenue blanche
Et sur mon bras la trace d'une morsure d'insomnie.


 
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   Anonyme   
12/10/2017
Je n'ai rien décelé de bien original, hormis le dernier vers, dans cette poésie que je trouve encombrée de poncifs.

A vous lire une prochaine fois.

   papipoete   
12/10/2017
 a aimé ce texte 
Bien
bonjour fried,
embrasse-moi, serre-moi, réchauffe-moi !
NB aimons-nous tout simplement ! Ce poème ( et c'est peut-être le cas ), semble écrit par un adolescent jusqu'à l'avant-dernier quatrain qui évoque soudain une chevelure blanche ...
Dans cette même strophe, j'aurais mis une virgule après " belle-de-nuit " .
j'aime bien " je t'ai dessinée nue et givrée / sur notre vasistas gelé "

   Vasistas   
12/10/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bonjour Fried,
C'est un poème qui commence le soir et se réveille un matin, comme une vie d'amours, qui a froid, qui a peur, qui grandit, qui vieillit.
C'est comme un tableau naïf, avec une lune, "nos jardins", le dessin d'une femme nue sur la vitre, la neige ... très juste et très beau
j'aime particulièrement la forme de ce vers : "épanouie de tes défenses évaporées" et "la tendresse matinale de ce dimanche", "une morsure d'insomnie".
Que de douces, tendres et chaudes émotions.
Il neige, on a pas envie de sortir du lit, il manque que l'odeur du café.
On connaissait déjà le coup de la panne ;-)
Bravo

   Anonyme   
12/10/2017
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour,
Je passe un instant juste pour " la trace d'une morsure d'insomnie".
J'ai beau lire et relire, le reste n'est guère original, les mots (trop) simples ne retiennent pas l'attention.
Désolé, c'est trop léger à mon oreille, à mes yeux...

Je repasserai peut-être un autre jour, sur autre chose...

   Anonyme   
12/10/2017
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Je suis mitigé après avoir lu et relu votre écrit.

Les trois premières strophes sont simples, mélodiques,
plaisantes à lire, j'aime l'évocation du chaud/froid, mais
soudain avec la quatrième strophe puis la cinquième,
le rythme semble cassé. Et je suis complètement
déstabilisé par cette dernière strophe.

Dans son ensemble, ce poème, a un beau phrasé,
accompagné d'une certaine douceur, on se laisse
convaincre par ce moment "inoubliable".

   Donaldo75   
13/10/2017
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bonjour Fried,

J'ai bien aimé ce poème.
Il est réellement passionné.
"Serre-moi fort, mon amour
Contre ton corps de braise"

Quelquefois, la rime n'est pas au top:
"La lune est gibbeuse autour
Et sur nos jardins il neige."

Mais ça passe, parce que tu as mis des vers puissants.
J'adore celui-ci (plus je le lis, plus je l'adore):
"Je t'ai dessinée nue et givrée
Sur notre vasistas gelé."

Bravo !

Donaldo

   FABIO   
14/10/2017
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour

Ca se lit bien et ily'a de belles images , la fin est un peu de qualité moindre que les deux tiers du poème notamment au niveau de l'équilibre qui était respecté a la lettre.

Merci, agréable lecture a lire au coin du feu

   solo974   
28/11/2017
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour Fried,
J'avoue - et j'en suis désolée - avoir moyennement aimé votre poème dont le titre m'avait pourtant attirée.
Des expression très prosaïques ("mets le feu à ma nuit", "Sous la couette, on s'est enfouis") y côtoient tantôt des termes savants mais peu poétiques (gibbeuse), tantôt des mots dits nobles (mordorée/glacis/cristal) et ce mélange de registres de langue ne m'a - personnellement - pas convaincue.
Mais ce qui m'a le plus gênée demeure le rythme même de votre poésie : peut-être aurait-il été préférable de vous en tenir au seul heptasyllabe ?
Très bonne continuation à vous en tout état de cause car, encore une fois, ce n'est que mon point de vue !
Au plaisir donc,
Solo974

   Tychillios   
15/7/2018
 a aimé ce texte 
Un peu
La versification n'est pas une contrainte insurmontable, elle donnerait de l'élan à votre texte. Taillez, élaguez les images superflues, la poésie est un concentré d'essentiel.


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